asserviparmonex

 Le déjeuner d'Armelle, après l'avoir préparé, je le lui ai servi, nu ... ( A l'exception toujours de ma cage de chasteté , et de mon gros collier d'esclave )

 Entre les plats, j'étais astreint à l'immobilité, à genoux, à sa droite, tout près d'elle, comme elle le voulait... Ainsi elle pouvait m'abandonner quelques reliefs de son repas, tendus avec dédain, du bout des doigts, ou bien placés au creux de sa main, et que je devais aller cueillir de mes lèvres, sur sa paume creusée... moi !... écrasé par son sourire !

 Quand son regard satisfait  captait le mien, piteux, son visage s'éclairait d'un sourire plus lumineux encore !   bien hautain... rapidement triomphant !

Oui ! je lui mangeai dans la main ! littéralement ! 

Ensuite, elle voulut son café sur la terrasse ... me demanda d'ouvrir un parasol, pour la protéger d'un soleil trop insistant pour sa peau de nacre, jusqu'à la taille... réclama de nouveau ses cigarettes,  puis un digestif...

Elle prétendit, sèchement,  que je ne lui avais pas apporté de cendrier... j'ai répondu, sans réfléchir, qu'elle ne me l'avait pas demandé...

Double faute : ma répartie... " imbécile ", comme elle le souligna ... et ma proximité !... en sorte que je me pris une nouvelle torgnole !! 

Ensuite je l'ai massé, intégralement , longuement... recto verso et, compte tenu de la présentation que j'ai  faite d'Elle , vous ne serez pas surpris de lire que mon sexe, dans mon inflexible cage,  resta gonflé sans le moindre  répit, pendant la totalité de ce massage recto-verso !  gonflé et donc douloureux.

Quand elle fut sur le ventre , j'ai même cru que j'allais    " exploser "sans le moindre contact ... je fis des efforts désespérés , allant jusqu'à chercher  le " brouillage " de son image... ou même FERMANT LES YEUX , pour ne pas m'abandonner à l'émotion ... pour ne pas me laisser glisser  dans une fatale adoration ...

Si renoncer à admirer son superbe corps  était susceptible de m'éviter le pire , il n'empêche que je ne le faisait pas de gaieté de coeur !...

... mais le plus fâcheux, c'est que je me rendis compte que cela ne me mettait pas pleinement à l'abri :

Si je chassais LA VUE, il me restait... LE TOUCHER : l'onctuosité de ses chairs... son épiderme satiné, la souplesse de sa peau !... voilà qui me causait d'indicibles frissons... et un émoi qui ne me mettait pas moins en danger que celui  né du regard ! 

J'en suis venu - alors que c'était si bon ! - à espérer  la fin de ces exquises minutes !!... car voilà que jai  senti que le filet de liqueur séminal, au bout de mon gland, s'échappant du méat urinaire, n'était plus assez modeste pour être détourné discrètement, dévié , épongé... bref détourné avant d'atteindre ses reins, ses fesses ... sa peau !   - vous savez  cette bave  translucide dont Christophe et moi avons déjà plusieurs fois parlé -...

 Vint le moment où, désespéré, rouvrant un instant les yeux ... je vis le filet baveux, suspendu au bout de mon gland, tomber sur la fesse d'Armelle tendue vers moi !! 

La vue !! ... le toucher !!!  Et voilà que l'ODORAT s'invitait à la fête ! ...  Car pendant que je massais ses fesses charnues , elle me montra combien elle appréciait... en  soulevant... en surélevant ses reins ...

Avant, elle n'avait rien dit, tout au long de l'intense massage ... et j'en étais presque dépité ... mais là, cette façon de tendre en direction de mes mains ses sublimes hémisphères !!!... ces feulements modulés qui enflaient!...    tout me disait qu'elle aimait... qu'elle allait peut être,

 si je ne commettais pas de maladresse, vers un nouvel orgasme !!

Le malheur, c'est qu'en tendant ainsi ses redoutables fesses vers moi ... vers mon visage, il n'y eut pas que ma vue qui fut " gravement " sollicitée !! ... Un cocktail détonnant d'odeurs...  musquées , terriblement denses, riches, variées... lourdes... marines et intestines,  s'éleva de sa raie,  de son buisson ardent, de sa vulve, de ses reins !

Quand elle me demanda de darder mon bout de langue au centre de son anus palpitant ...

... quand j'obéis ...

...  et qu'un qu'un quatrième sens : le GOÛT  se joignit à la fête... ALORS...

JE N'EUS PLUS LA MOINDRE POSSIBILITé DE RESISTER ... mon gland rabougri, tordu, comme cramé !...  cramoisi, secoué...  cracha  un médiocre flot de sperme.  Oui ! médiocre certes... mais pas assez ... pour ne pas  être découvert ...

... trois ... quatre  spasmes !!!