asserviparmonex

L'odeur du sexe d'Armelle m'anesthésia complètement ( si je faisais dans la facilité, je dirais que c'était une odeur profondément marine ... et que cela n'était pas étonnant, vu que de la baie vitrée  entrouverte, le bleu de la mer se confondait avec celui de l'horizon et du ciel... - enfin : se seraient confondus  s'il avait été plus tôt... ou plus tard car à Marseille , à cette heure, le soleil éclabousse tout )

Son vagin, sa vulve , son triangle d'or aux reflets cuivrés de sa toison , ses lèvres épaisses, suintantes d'humidités suspectes ... tout sentait la mer sur elle et  autour de moi , tant que je restai à lui rendre hommage, agenouillé  à ses pieds ! ... et je n'avais pas envie de me relever ... pas la force peut être ... Oui !... " anesthésié " !!

 Elle  m'a plaqué d'une main impérieuse le front contre son ventre, joliment bombé ... l'autre main est venu renforcer la pression... et sans un mot, j'ai su que je devais la respirer plus à fond encore... puis la lécher ...

 Preuve que l' " humidité suspecte " était bien le fruit de pensées plus anciennes que mon arrivée :  elle a joui très vite sous ma langue elle n'a eu le temps que de faire claquer deux trois ordres  " Doucement ! " " plus vite "    " tes dents ... ouiiii ! lààà !!! DOUcement "  et elle a explosé !!

Jouissance brève mais sonore ... ( Il semble bien  que cette Femme se moque du point de vue de ses voisins sur sa vie sexuelle  ! ) un cri rauque , une brève réaction anale , qui, presque  simultanée, serait passée inaperçue derrière le cri , s'il n'y avait eu rapidement l'odeur, pour exploser à son tour dans l'air!... se répandre et bousculer  celle de mer, de mouille  et d'urine échauffée... 

Elle a attrapé mes oreilles et leur a imprimé un mouvement qui d'autorité m'a obligé à lever les yeux vers elle... elle m'a fixé intensément, profondément ...

A l'évidence  elle était déjà sorti de son " lapidaire " orgasme... puis ... sans le moindre sourire ... avec une gravité qui m'a fait frissoner  elle a lancé, d'une voix de gorge 

 -  " Toi ! maintenant tu es à moi p'tit homme,...  je le sais !  " 

... elle a tiré cette fois sur le haut de mes oreilles, en lançant  " Lève toi !  " Puis, alors que j'étais debout à côté d'elle, fuyant son regard, le visage sans doute cramoisi, pendant que sans rien dire elle  baissait  mon pantalon, elle m'a repoussé légèrement pour avoir un meilleur champ de vision et son regard s'est fixé sur ma CB ... Là elle a ri ... enfin !

- " Tu vois bien que tu es à moi ! hahhhahaha ! " 

Je ne voyais rien mais je sentais bien que ma verge toute tordue avait envahi tout l'espace intérieur de la maudite cage ...

Oh ! je sais bien ! Certains se diront que la conclusion de la Dame est fort hâtive ... qu'on ne peut , à partir d'un constat si ponctuel, tirer de conclusions aussi définitives ... mais c'est que je n'ai pas le temps de tout dire en si peu de temps ... et moi , en tous cas , sans être en mesure de convaincre ... je savais ... je redoutais ... j'espérais ...(  je ne sais plus très bien  ) bref je me disais  qu'elle ne parlait sûrement pas à la légère ...

Mais sans doute  de nouveaux détails, dans l'article à venir  vous rendront ils un peu moins dubitatifs... 

Pour l'heure c'est le service de Murielle et Grégory, chez ce dernier , qui m'accapare ... mais je reviens dès que possible vous raconter ce qui s'est passé concrètement, il y a tout juste huit jours  dans l'appartement de la corniche Kennedy  .