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                                             "Chez " Saskhia ! Troisième partie .

C'est l'esclave-baiseur ( selon l'expression de Saskhia pour désigner celui qu'elle faisait  venir , semble t il assez souvent, lorsqu'elle était Gardienne de nuit du Pavillon Administratif, comme cette nuit là) ... 

Oui ! c'est un de mes semblables , qui vint me " réceptionner " quand les deux Panthères frappèrent à la porte ... sans doute la Gardienne n'avait elle pas envie de voir sa fille dans cet état ....

Oh je sais ! l'ironie est facile quand je parle de "semblable" pour un étalon deux ou trois fois plus membré que moi ... il n'empêche que c'est un esclave lui aussi, et doté d'érections fiables et durables ... mais c'est aussi un esclave .... d'ailleurs Olinda , la fille de Doña Teresa , qui l'a réquisitionné trois jours plus tard pour un usage identique , l'a fait flageller en public le lendemain pour je ne sais trop quoi  ! ... et je vous assure qu'il n'en menait pas large ....

Bien moins que  pendant cette nuit au deuxième étage du bâtiment administratif ... Parce que là il  a jugé utile de faire son malin , son important par rapport à moi ! C'était si facile !

 Il avait refermé la porte sur les deux filles,  que j'ai entendues s'esclafer derrière - sans doute pour l'érection qu'elles surprirent  fugitivement - et il me rudoya  pour que je me mette à genoux immédiatement ... je dus ramper ainsi jusqu'aux abords du grand lit où Saskhia nue, lascive  semblait somnoler ... 

Face au silence de la Dominatrice , il prit la situation en main , tendit son ventre bombé vers moi et m'ordonna de le sucer pour le nettoyer ... il en avait besoin en effet !

Il avait sans doute longuement honoré la Femme alanguie dans son temple habituellement le plus fréquenté , sa queue sentait bien la mouille ... mais il avait aussi visité , sans doute juste avant mon arrivé, le cratère  et le rectum de la Gardienne , l'odeur  et les  traces colorées ne laissaient aucun doute ... je fus au bord de la catastrophe  pendant quelques secondes , avec sa verge qui de plus  ne donnait aucun signe de faiblesse,   puis je parvins enfin à déglutir... Dès lors je pus le sucer aussi longuement qu'il le voulut ...

Quand il en eut assez , il me désigna d'un geste la cramouille détrempée de la Femme  ... son foutre débordait de partout et il en dégoulinait sur le périné , vers la raie des fesses  !

Combien de fois avait il éjaculé pour laisser un tel champ de bataille , de tels marécages  ?

Je ne savais par où commencer .... Optant pour la partie haute de la fente, juste sous son ventre palpitant , je lui arrachai vite quelques soupirs rassurants , tout en lapant une part  déja conséquente  de la mixture virile...

J'étais heureux du réveil progressif de la Gardienne.... Sans en avoir la totale certitude, je me disais qu'un fois vraiment revenue à elle, et ma langue lui procurant quelques agréables frissons , elle réaliserait peut être qu'elle n'avait plus besoin de l'esclave-étalon ...  et qu'elle le renverrait !

D'ailleurs cette catégorie d'esclaves, que les Femmes , quel que soit leur statut, pouvaient réquisitionner, n'avait au maximum que " la permission de deux heures " ...  Ou même pour certains ... d'une heure  !

Cela signifiait qu'avant le milieu de la nuit, bien avant , il ne devait plus y avoir d'esclave dehors ...  chacun  devait avoir regagné sa couchette ,  où qu'elle soit, au milieu des autres soumis et esclaves.

Ma langue ne fit pas que nettoyer les replis d'amour de la Dominatrice , certes il y avait beaucoup à nettoyer !!... et avec ma bouche dans ce cloaque , je faisais des bruits étranges qui ne diminuèrent que quand j'eus assez lapé  et dégluti de foutre .... 

je me rendis compte alors que les grognements de la Femme  traduisaient de plus en plus un vrai plaisir ... quelque chose qui pourrait peut être la submerger, avec un peu de patience  ... quand elle réalisa  qu'elle était malgré tout assez fatiguée et que l'heure courait,  elle ordonna à l'esclave de partir ...

Il me regarda en train  de  me défaire de son foutre  , et  l'oeil mauvais , à contre-coeur, il grogna  " Bonne nuit Maîtresse ! " et fit claquer la porte ...

J'étais enfin seul avec cette Femme à laquelle je devais une soirée  terrible , mais je compris qu'avec un peu de chance et   si je me débrouillais bien , la suite de la nuit pourrait être tout autre , ou pour le moins reposante ... 

Elle a fini par jouir alors que  son vagin était presque débarrassé  du plus petit vestige  de  sperme    ... elle soupira , grogna , se tourna , s'étira ...  .....Sur le ventre, maintenant  ... elle écarta ses fesses à duex mains et me lança , presqu'amicale 

- " Lèche p'tit homme !!! tu n'as pas fini ! "  et elle lacha un vent  aussi pénible que ceux de  ma rencontre avec elle .. s'en rendit elle compte seulement ? 

Moi je savais que si je m'appliquais , si je ne faisais rien susceptible  de la " remettre en selle " ... je pourrai peut être m'endormir à ses côtés ... au moins pour quelques heures ( car évidemment j'ignorais tout de ces habitudes  et des caractéristiques de son sommeil )...

En léchant son anus  longuement , même lorsque ses mains ne retinrent plus ses grosses fesses,   en le débarrassant de toute trace suspecte , en le laissant tout luisant , tout net ... je parvins  encore à l'entrainer vers un orgasme doux , paisible , fait de murmures et de feulements ....

Après , elle ne bougea plus , se contentant d'un ;

- " Colle toi à moi esclave ! et monte le drap sur nous ! je déteste lefroid! "

s'adressait elle vraiment à moi ? ne me confondait elle pas avec l'autre esclave ? 

Je me disais seulement que si je me réveillais en pleine nuit , et surtout avant elle , il vaudrait peut être mieux que je m'allonge à ses pieds , sur la moquette ... je pensais tellement improbable qu'elle  s'endorme ainsi en toute connaissance de cause !

Je me suis bien réveillé dans le courant de la nuit ... et j'ai glissé le plus doucement possible hors du lit  douillet .... Cela me semblait préférable ...  mais j'ai aussitôt entendu :

- " Où vas tu chien ! Ne t'ai je pas dis que je te voulais collé à moi pour me tenir chaud ? tu as la peau comme une bouillotte et j'aime ça ! "

J'avais connu une atroce humiliation  pendant mon milking ... mais maintement je me surpris à penser que si je n'avais pas été " trait " quelques heures plus tôt je n'aurais  jamais pu tenir  toute une nuit, ainsi collé  à un imposant cul rebondi de Femme !  Qui de temps à autre continuait à lacher des vents mauvais !...

Finalement la terrible humiliation endurée m'assurait une nuit de vrai repos !... Et si je n'avais pas été tourmenté par une faim de plus en plus éprouvante ... j'aurais presque parlé d'une bulle , d'une oasis de bien-être .

Comme ma vie devenait étrange .!!