asserviparmonex

       Soeurette,

J'ai bien compris  ce que tu m'as dit au téléphone hier soir ma chérie, avant qu'une coupure dûe à l'orage ne vienne nous interrompre, m'empêchant de m'exprimer à mon tour,  alors je le fais maintenant, calmement :

Comment,  toi qui apprécies que mon mari - ton beau-frère ! comment l'oublier !! - soit devenu un " vrai larbin ", selon ton expression... comment peux tu, en certaines circonstances, faire preuve de cette sensiblerie déplacée  ? Voilà qui ne cesse de m'étonner !

Tu apprécies de le corriger au paddle toi même, comme tu l'as fait dimanche...  tu ne résistes guère à la tentation de l'abaisser, de l'humilier , comme le mois dernier, quand maman est venue  ! ... alors pourquoi diable aller dans son sens comme l'autre jour quand il m'a supplié de lui permettre de porter un vêtement dans la maison ? ... Ce sont de simples jérémiades de sa part, comment ne le vois tu pas plus clairement ?

Depuis qu'il a perdu le droit de se prétendre un homme, un mâle viril digne de ce nom, il a aussi perdu le droit de porter des vêtements  d'homme à la maison ... d'être habillé ... tout simplement ...

Cela faisait partie du contrat, du " deal " quand, poussé par lui et  son candaulisme effréné , j'ai opté pour l'adultère, comme on dit...

J'ai  fini par ( re)goûter au plaisir de vraies bites avec des amants de circonstances, puis quand tu m'as présenté ... " qui tu sais ", il est devenu évident que je ne ferais plus machine arrière ... évident AUSSI pour toi comme pour ton beau-frère, comme je n'ai cessé de vous le répéter...

Lui, ton " beauf " il aurait bien dû y penser avant !... d'ailleurs tu vivais à la maison alors ! tu as bien vu comment je le mettais en garde !! 

Il a tellement insisté ! que veux tu !... 

Je me rappelle quand il était à genoux, léchant mes pieds ... ou quand je trayais sa petite bite alors que je le faisais cocu depuis peu de temps  et que je n'avais pas encore complètement basculé  dans " l'infidélité   permanente " ... 

Te souviens tu ? toi ma soeur comme j'étais hésitante alors ? j'avais bien senti que le moment viendrait où je ne pourrais plus faire machine arrière !! ...

... et son insistance inouïe ! ... à lui ! ... affirmant  qu'il  "crevait de ce désir insondable " ... de ce besoin d'être  cocu  ... il me l'a écrit aussi !...

Je lui ai dit une dernière fois ... " SI JE LE FAIS ENCORE UN JOUR JE NE SERAI PLUS CAPABLE DE FAIRE MACHINE ARRIERE ! je   deviendrai accro à mon tour ! "

Nous en avons parlé de nouveau ... Maman  était aussi convaincue que toi  qu'il fallait que  je vive ma vie de femme ... " et tant  mieux si ça coïncide avec les fantasmes de ton bonhomme  " a même dit Mam... tu étais là non !

Et bien on y est ! voilà tout ... et maintenant il est nu AUSSI quand mon amoureux vient ... 

Est ce parce que tu le connais cet amoureux que c'est revenu sur le tapis cette histoire de nudité de cocu ??... 

Il faudra que tu m'expliques... même si cela ne change rien !  quand je dis à maman comment tu réagis parfois ... elle rigole ...

Suivent quelques mots affectueux ...

 Puisque j'ai commencé, sur ce thème à  publier quelques écrits, en voici un tout aussi édifiant . C'est volontairement que je ne dis pas de quel cocu il est question ... Simplement je rappelle que nous sommes trois à servir Maître Joseph aujourd'hui et que nous l'avons été ou le sommes  tous les trois ...

... je précise simplement que c'est  bien d'un de nous qu'il s'agit ! Celles et ceux qui me lisent depuis longtemps auront peut être des éléments d'appréciation .

Un lecteur, sur un autre site, mais à propos de mon article précédent me dit en commentaire laconique " tristre " tout simplement ... mais quand je mesure le succès des derniers posts ici ... je me dis que ce n'est pas un avis  ... généralisé .

Bien sûr vous avez la parole, sur ce sujet comme sur d'autres.