asserviparmonex

Maître Joseph est revenu après plusieurs jours d'absence... comme la semaine dernière ... et comme la semaine dernière, Murielle  a joué les " saute au paf "!!

Non ! l'image n'est pas bonne ! pas exact !... elle ne s'est pas précipitée à genoux devant  lui, pour lui tailler une pipe !!

 Si elle a sauté, c'est dans ses bras, comme à plusieurs reprises déjà... comme je l'ai déjà raconté...Cette fois elle était nue... de nouveau... complètement nue !   ... corps nourri de crème solaire étalée par mes soins, jusque dans les recoins les plus obscurs de son affolante anatomie ...

... peau gorgée de soleil... de parfums d'été... de senteurs plus personnelles ...

Ses bras fermés , ses doigts entrelacés sur la nuque de son amant , alors

que ses genoux levés et ses cuisses jalouses  s'accrochaient aux hanches de  " Joss ".

Lui soulevait avec aisance les jambes soyeuses et de plus en plus halées de la belle ! ... 

Lui encore m'ordonna, une fois de plus et toujours aussi sèchement, de sa voix grave, de m'accroupir sous elle pour, sous ses fesses , puis d' extraire son énorme  bite de sa braguette ...

Lui encore dévora la bouche et les lèvres pulpeuses de son amante .

Comme la semaine dernière, sortie de sa guangue  textile fendue , sa bite explosa à ma figure trop proche, le gros gland humide n'avait plus  rien à cacher... et tout à cracher ! ... il manifestait tant d'impatience ... tant d'envie de s'enfoncer n'importe où , au coeur des chairs humides et onctueuses  de ma Maîtresse...

mais cette fois je n'entendis pas  " dégage " , je ne vis pas ses doigts, pouce et index , se serrer  sur la racine épaisse de son braquemard afin de viser la vulve luisante de sa chérie !...

Si ! je vis bien les doigts sur la bite me ce fut pour me l'orienter dans la bouche , ouverte sur ordre... 

Murielle reposa sur mon crane  son entre-cuisses - qui sentait encore " le propre " en dépit de son excitation -  pendant toute la durée de mon  inutile fellation ... inutile parce qu'il ne banda pas plus à la fin qu'au début : c'était impossible !...

Murielle sentait le propre ?... parce qu'après avoir tenu à ce que je la lèche pendant près d'une heure, pour faire disparaître toute trace matérielle et olfactive du séjour en ces lieux du premier amant de la journée... elle avait fini,  précaution supplémentaire , par me demander de la savonner copieusement dans son bain...

Joseph sentait le cul... parce qu'il avait du passer par celui ... allez ! disons de Jenna ! ... à " vue de nez " !... (  du mien de nez ) avant de venir possèder sa favorite...

 Il lui fit remarquer qu' " elle sentait le savon "

...  il s'en étonna même  un peu ... il la voulait plus " naturelle " lorsqu'il venait et ni Elle ni moi ne pouvions avouer bien sûr la cause profonde de cette senteur de propre quelque peu aggressive !

... lui ne sentait rien de tel ! ... et je pense avoir identifié, olfactivemen,t le dernier temple d'amour  pénétré par sa queue : l'anus de Jenna , dont je vous ai déjà entretenu je crois ... et qui est assez caractéristique pour ne pas trop risquer de me tromper en osant le nommer ...

... lui se fichait bien que Murielle sache d'où il venait ... à moins au contraire qu'il tienne  à cette forme de "  traçabilité "  ! 

Il lança un vibrant "  ASSEZ ! "  et  immédiatement je sentis la main de Murielle se refermer sur les cheveux  de ma nuque et les tirer durement vers l'arrière  !

Ce " assez " voulait dire qu'elle allait enfin pouvoir s'empaler  sur la bite orgueilleuse ! ... elle laissa la tête chercheuse du gland faire son job de zob ... et  écarté de l'action je sus cependant qu'il était entré jusqu'à la garde ... 

La voix de ma Maîtresse ne me trompa point ...

Elle a rapidement  été secoué par un somptueux orgasme ( le quatrième de la journée ... en ne comptant que ceux  connus de moi...  lui s'est " réservé " pour son cul...

 Il aurait bien sûr pu inonder  recto  ET verso ... et  sans trop de  délai ...

... mais il avait, à n'en pas douter, déjà offert sa semence aujourd'hui... et Murielle adorait quand le foutre du Maître était assez " sous pression " et  puissant pour " karchériser  les parois quémandeuses  de  son rectum "   ... 

 Je me suis évidemment occupé de ramener l'ordre et la propreté dans et sur ces instruments et membres précieux , dès qu'ils m'en laissèrent et  le temps et l'espace !