asserviparmonex

Samedi " normal "  au sérail !  Ce matin je me suis réveillé le nez sur l'anus de ma Maîtresse , la tête dans l'étau de ses admirables cuisses ... l'odorat flatté par les riches senteurs générées et laissées par le couple dans leurs ébats nocturnes...puis macérées sous la couette d'été, si légère.

En effet , étrangement Murielle est restée couverte en cette fin de nuit .. la couette est restée " en l'état ", comme  lors du départ de mon Maître, vers cinq heures du matin...

Murielle, allongée sur le côté, venait de " m' inviter " en levant la cuisse, à prendre la place que je connais bien : en travers du lit et tête " dans son cul " comme elle dit . Maître Joseph l'avait embrassé une dernière fois  en s'appuyant sur mon corps . Du  cul  de la " Favorite " suintait encore un reliquat de sperme qui avait échappé à ma langue ...

La voiture  partie ... J'entendis ensuite, atténuée par le tissu, la voix chaude de ma Déesse au téléphone  ...

- " On ne se voit pas demain Trésor,  Joss ne travaille pas ce weekend, ce serait trop risqué, je ne sais pas quand il va revenir ... mais sans doute avant le soir . " ...

... un silence ... elle écoute " Trésor " - Gregory bien sûr - puis...

- " Bon ! O.K ! moi aussi j'ai envie de te voir amour mais .... ( de nouveau un silence prolongé ) ... mais bon ... oui ! ... on peut faire comme ça ! ... oui !  entendu !... c'est moi qui passe te voir demain en fin de matinée... d'ac... d'accord ..."

... Ainsi face à la nouvelle situation et au risque de voir débarquer n'importe quand Joseph, qui ne travaillait pas , mais aussi les autres Femmes du Maître ... Murielle allait pour la première fois - du moins à ma connaissance - rencontrer son autre amant hors du sérail...

Joseph l'avait épuisé physiquement et elle était rassuré par  ce coup de fil ... elle ne tarda pas à s'endormir.

Après avoir exigé un dernier service de ma bouche :

- " Lèche encore un peu ma  chatte " centsept " elle fait toujours du bruit quand je bouge ! ... tu n'entends donc pas ?! " 

... Eh oui j'entendais... je me forçai donc à extirper de la Féminine cavité  les dernières " lichettes " grumeleuses et poisseuses ... elle s'endormit juste après ... son souffle me l'indiqua...

Pour moi ce fut plus long... j'étais terriblement bien ! ...

Ma dernière pensée fut pour me demander si ma Maîtresse avait l'intention de m'embarquer  avec elle chez son amant...  je n'avais aucun élément de réponse : nous n'avions jamais fait !