asserviparmonex

Le lendemain  de cette vente, assez fructueuse finalement , à en juger par la satisfaction des deux soeurs , je fus obligé de courir dans la campagne pendant un peu plus d'une heure ...

Partis alors que la nuit commençait à tomber ... nous avons fini à la lueur des phares de deux  voitures et de quelques motos trial .

Je dis nous car nous étions deux dans cette épreuve : Dick et moi , tandis qu'une escorte motorisée se chargea de nous stimuler ... de nous aiguilloner , parfois même  au sens propre .

Oui ! c'était bien ce mercredi  en fin d'après midi ! ...les gens qui vivent au nord de la Loire peuvent ouvrir des yeux ronds ! dans l'extrême sud-est, après l'épisode neigeux intense de la semaine passée, les températures s'étaient brutalement élevées dès mardi ( au point que la neige, pourtant encore abondante la veille , avait complètement fondue dans la matinée )

Bref, le lendemain mercredi , le thermomètre affichait au coeur de l'après midi les 19 degrés !

Aussi, quand sur le coup de dix sept heures Norma vint  ordonner sèchement, à son mari comme à moi de nous préparer  pour " un bon petit jogging nu dans les bois "  nous n'avons pas été aussi effrayés que si la proposition était venue deux jours  plus tôt ... même si, en une heure et à cette heure , à l'évidence la nuit serait tombée avant notre retour .

Dick m'avait déjà parlé de "ces courses affreuses dans les bois  à n'importe qu'elle heure "... lui en parlait presque avec  de la terreur dans

 la voix...  d'ailleurs quand sa Femme est venue nous ordonner de nous préparer, je l'ai vu clairement blémir.  

Il faut dire qu'outre que le bonhomme n'est plus tout jeune il n'a jamais été sans doute un grand sportif !

Moi, je cours régulièrement trois ou quatre fois par semaine une heure au minimum ... c'est un besoin pour me sentir en forme depuis que je ne pratique plus de sport co.

Durant mes années de mariage, il n'y eut aucune différence, sur ce plan  entre les débuts, période de relative liberté, et le moment où je devins vraiment soumis , puis esclave de ma Femme... Elle tenait autant que moi à ce que je sois en forme et en bonne santé et finit même par inscrire ces courses dans mes obligations, constatant qu'en hiver j'étais moins naturellement  motivé .

Enfin, tout au long de cette année, même si je n'en ai pas parlé , ni sur ce blog ni sur l'autre, " tindick", j'ai toujours eu droit à ces heures de courses : mes Maitresses n'en avaient pas fait une obligation ... mais lorsqu'elles m'avaient parlé de " quelques heures de loisirs " en cherchant à savoir ce qu'il me plairait de faire , j'avais annoncé la couleur, au risque d'en faire sourire certaines avec ces courses presque quotidiennes.

Tout ça pour dire que je ne perçus  pas cet ordre comme une épreuve ... ce en quoi , on va le voir j'avais un peu tort...

La nouveauté sur le plan physique c'est qu'ici les Maîtresses imposaient arbitrairement des poids " de forme ",  des poids à ne pas dépasser à leurs esclaves ... je dis arbitrairement, car la décision me concernant me fut annoncée dès le lendemain de mon arrivée  : mon poids devait être inférieur à 82 kg ... Chaque kilo supplémentaire révélé par les pesées bi hebdomadaires serait noté  et transformé en un coup de fouet lors de la séance mensuelle de flagellation  " capitalisée ".

 Vu qu'en arrivant je pesais  4 kilos de plus  que le poids qu'on m'imposait,  le  message était clair ! Il n'était pas question de subir une trentaine de coups de fouet  supplémentaires par mois !...   et si les privations de nourriture périodiques, et  punitives parfois aussi, auraient raison de quelques kilos ( je suis par exemple déjà descendu à 84 kg depuis  mon arrivée ici ) il fallait bien  songer à quelque chose d'un peu plus radical...

l'intérêt de ces courses était évident ...

J'ai vite compris cependant que Dick n'avait pas tout à fait tort d'être moins enthousiaste !   Je vais le préciser dans mon prochain article , mais pour l'heure, weekend oblige , il y a beaucoup de monde à la maison , et beaucoup d'obligations qui me laissent peu de temps ...

Désolé de devoir arrêter là, pour l'instant  cette narration ...