asserviparmonex

Comme je l'ai précisé dans mon précédent article ma punition était loin d'être  officiellement terminée  ...

J'ai donc été de nouveau exposé durant les premières heures de l'après midi, mais très simplement ... sauf que , debout, mes jambes étaient maintenues bien écartées par ce qu'on nomme justement une barre d'écartement ...

En l'occurence une barre de fer de  quatre vingt dix centimètres de long parait il, munie de bracelets de cuir aux deux extrémités, pour  en cercler les chevilles et maintenir les jambes bien ouvertes , et, par voie de conséquence les cuisses comme fendues ... et l'entre cuisses parfaitement  accessible ! ...

... de plus la position verticale était en la circonstance difficile à tenir...  et mon équilibre bien précaire dès qu'une " visiteuse " se plaisait à me glisser une main entre les fesses et quelque(s) doigt(s) dans le fion  !!

Ensuite , naturellement le ( ou les )  doigt(s) concerné ( s ) finissai(en)t dans ma bouche ... j'ai subi encore nombre de crachats, des serrages de couilles  et des manipulations de la verge, heureusement avec peu d'insistance  ...

Et puis pour moi la période n'était pas aux " blue balls " et je n'avais pas d'appréhension particulière en la matière ...

A la nuit tombante ... je me suis dit que la tension allait peut être retomber d'elle même ... après tout c'était le jour de Noël et les  passages dans la grande maison se faisaient beaucoup plus rares, les visites plus espacés ... De moins en moins de gens lisaient sur les feuilles remplies au feutre , les propositions de châtiment ... qui n'avaient d'ailleurs pas grand chose d'extraordinaire ... le plus souvent ...

Je fus donc à moitié surpris quand Daphné  et Samantha vinrent me chercher pour me conduire dans le garage .

Je vis très vite  jonchant  l'établi  des bouquets d'orties ... il y en avait beaucoup ...

Roxane les avait rejoint et c'est elle qui m'enfila une sorte de slip ... mais large , bouffant sur les hanches et les cuisses ... oui ! une culotte ample, mais cependant pourvue de forts  élastiques  qui marquèrent vite ma peau en haut des cuisses ... 

Il suffit qu'ensuite  Samantha et Dafy se saisissent de bouquets ou tiges d'orties au moyen de gants pour protéger leurs mains et leurs avant bras et me les glissent entre peau et nylon pour me mettre la zone en feu  !...   En folie ! ...   Mes cris et mes plaintes ... mes supplications ... mes prières  furent étouffées par une petite culotte de dentelle humide et odorante  enfourné dans ma  bouche par la main énergique de sa propriétaire  : Flavia ...

" Est en chaleur permanente ... en éruption continuelle...  et mérite cette   punition  " c'est la phrase qui en grosses lettres et au feutre fut notée sur le tableau de papier ... puis écrite sur mon torse...