Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Deux fines cannes anglaises trempaient dans une solution vinaigrée et j'ai compris que j'allais être battu par l'amant de ma Désirée, quand je les ai vus au bas de l'escalier ...
Battu très vite ! Il était alors sept heure et quart ... il n'y a pas encore deux heures !!
C'est lui, Jacques, qui m'avait réveillé et cela m'avait déjà alerté :
Normalement j'aurais dû me lever à sept heures et demi en raison de son départ matinal programmé depuis des jours ... voyage professionnel .
Mais là il avait devancé mon réveil ... il était rentré brutalement dans la petite chambre contigüe à celle de Joy, chambrette dans laquelle je ne séjourne plus que lorsque les amants veulent être totalement seuls la nuit ...
Il avait crié " Debout esclave ! " ... pas " tindick "... pas " cockette " ... ni même "jip " plus simplement ! ... non " esclave ... " comme lorsqu'il fait vraiment preuve d'autorité envers moi, ce qui arrive de plus en plus souvent et puis l'apostrophe s'était accompagnée d'un coup de cravache sur ma cuisse couverte d'un simple drap...
Lui était encore nu... verge ramollie mais longue et encore épaisse ... il avait sans doute fait l'amour à ma Future quelques instants plus tôt ... il sentait le sperme et le cul...
- " Dépèche toi de descendre .. je ne suis pas en avance ! ... je prends une douche je m'habille et je te corrige avant de partir ... C'est ta femme qui le veut, elle est très en colère contre toi ! "
J'ai été très brièvement tenté de demander une raison ... de demander pitié ... enfin de manifester quelque chose ... mais je savais déjà que ça ne servirait à rien ...
Ce n'était quand même pas comme avec le beau-père, que les supplications et pleurnicheries excitent davantage ... mais ça n'aurait pour but que de majorer la sanction...
J'ai tourné en rond, j'étais nerveux ... je déteste toujours autant être battu ... vous me connaissez ! ... si je suis maso , ce n'est certes pas sur ce plan ... mais la canne anglaise me panique particulièrement ...
Et puis je me demandais ce qui pouvait bien me valoir cette brusque colère de ma Maîtresse .
J'avais quand même décidé de poser la question à Jacques lorsqu'il descendrait, très poliment, sans gémir non plus ... mais je voulais savoir la cause de ce revirement :
.... dans la soirée d'hier elle s'était montré particulièrement douce avec moi, caressant longuement mon cou, mes cheveux alors que j'étais accroupi devant elle au salon... lèvres sur sa cuisse ... Jacques, assis à ses côtés, la pelotait, la faisait rire , la bécotait et pourtant avant de lui céder elle s'était ingénié à me manifester de l'intérêt ... de l'affection...
Quand il se présenta devant moi, chemise blanche à col ouvert, pantalon noir au pli impeccable tombant sur ses escarpins vernis et enveloppé du parfum de Gautier " le Mâle " j'eus du mal à déglutir ...
J'étais devant et sous l'anneau métallique scellé dans le mur du vestibule face à une longue glace murale qui révélait toute ma bassesse ... j'étais là parce que désormais c'était ainsi ...
Quand une vraie correction m'était promise et annoncée comme immédiate, c'est là que je devais me " poser " , bras levés , poignets menottés .., et attendre ... il avait déjà enfilé les gants avec lesquels il conduisait sa BMW : des gants de fine peau couleur cuir naturel et sans doigts... J'ai trop hésité à poser ma question. C'est lui qui a parlé !
- " Quand je t'aurai puni et détaché , tu porteras mon sac de voyage dans la voiture ... Ensuite, tu as le temps, mais tu dois être chez le fleuriste pour neuf heures, à l'ouverture et acheter ce que ta Maîtresse exige régulièrement ... l'aurais tu oublié ? ... comme tu seras dehors tu prendra deux croissants et vers neuf heures et demi tu lui monteras son petit déj. "
Au moment de la question il avait déjà relié et fermé la menotte dans l'anneau ... il avait aussi choisi la canne qu'il allait utiliser ... après avoir semblé hésiter quelques instants ... en les courbant pour évaluer leur souplesse ... Et il avait commencé à m'asséner les coups ...
- " Tu as droit à vingt ce matin ! c'est te dire si Joy est mécontente ... tu vas devoir te racheter rapidement ! "
Il frappait calmement , avec application, presque froideur, sur mon torse et mes cuisses et face au miroir encore , je voyais mon teint blafard , ma mine pitoyable ... allait il me faire tourner face au mur pour la deuxième dizaine de coups ? je l'espérais un peu : mon buste est beaucoup plus sensible, en particulier les tétons et le pourtour des seins , le ventre ... J'avais réussi à ne pas gémir jusque là ... nous en étions au dizième coup !
Je savais, même s'il ne l'avait pas répété, que deux gémissemants valaient le plus souvent un coup supplémentaire ...
et voilà que, de côté je vis Joy !! ... je crois que je la sentis d'abord ! ... dans le léger brassage de l'air provoqué par le déplacement chaloupé et félin de son corps nu je sentis ce mélange aigrelet des sécrétions de l'amour répété !
Maintenant... épaule appuyé contre le mur sur lequel je me tordais pour mieux étouffer le cri qui menaçait, elle croquait dans une pomme ... dans l'autre main elle avait un verre de lait... je réussis à articuler en grimaçant
- " Bonjour ma Reine ! " ... ces sons jaillissant de ma bouche comme un cri , m'évitèrent ... de crier ... Elle ne répondit pas ... elle avait maintenant ses deux épaules contre le mur et me regardait dans la glace ... J'étais comme elle dos au mur ... face au miroir ... elle ne me quittait pas des yeux ... elle buvait ma souffrance ! ... quand la pomme quittait ses lèvres , l'ironie dessinait un exquis et méchant sourire sur ses lèvres divinement ourlées .
La braguette de Jacques était terriblement gonflée ... c'est un regard très ciblé de mon Adorée qui attira mon attention sur l'entre-jambes de mon tortionnaire...
- " Vous en êtes à combien les garçons ? " Sa drôle de question induisait comme une complicité de jeu entre gars ... en effet !
- " Seize Amour ! " répondit Jacues en m'infligeant le seizième qui me fit d'autant plus mal qu'il prit la trace exacte d'un précédent...
Alors Joy s'approcha de " SON homme " son " bébé "... caressa vigoureusement l'endroit où elle avait posé son regard un instant plus tôt .
- " Je finirais moi même cet imbécile plus tard ... prends moi vite avant de partir bébé , je manque déjà de toi et de ta grosse bite ! "
.... Et après avoir ouvert la braguette et fait jaillir le chibre déjà dressé en effet, comme le donnait à voir la grosse bosse du pantalon , Joy s'accrocha au cou de son amant et enveloppa ses hanches viriles de ses cuisses de Femme avide ...
Mon heureux rival glissa ses mains et ses avant-bras derrière les genoux , au dessus des mollets de la belle dont les jambes et les pieds nus battirent l'air au gré des mouvements de reins saccadés qui lui venaient de la fougueuse étreinte ...
Cela avait pour effet de distendre les généreuses fesses de mon Idole et d'offrir à mes yeux ébahis et envieux le spectacle de l'anus palpitant d'un brun-rouge obsédant ...
Je ne sentais plus ma douleur... j'eus l'impression que, dans la glace Joy me regardait ... mais un regard absent et qui bientôt se voila ... Elle allait jouir ... ils criaient tous les deux ... ils gueulaient combien c'était bon !! ... combien ils s'aimaient ...
Des secondes d'éternité ...
Jacques laissa les pieds de son amante doucement regagner le sol ... il l'embrassa tendrement... ils se caressèrent du regard ... longuement sans un mot ... puis lui dit , laconique mais comme ébloui :
- " C'était bon ! Oooh Amour !
- " Reviens vite ! " ... Ce fut la réponse de Joy ...
Il leva ses mains jusqu'à ses lèvres, les embrassa en la fixant d'un profond regard sombre encore lourd de désir et d'amour ...
- " Oui ! Je reviens vite ! ... aussi vite que je peux ! "
Elle avait déjà saisi la rambarde le long de l'escalier et remonta se coucher en courant , fesses en bataille, seins agités ... belle comme jamais .
Lui avait saisi les anses de son sac de voyage et allait sortir quand il se souvint de mon existence et de ma posture... il rangea son " paquet " toujours volumineux avant de me détacher ...
- Non ça ira ! Essaie plutôt d'être plus attentif à ta Maîtresse et de ne pas la décevoir, ça t'évitera des ennuis crois moi ! "
C'est ce qu'il me lança avant de sortir alors que j'étais comme prévu, prêt à porter son bagage dans sa voiture .
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