asserviparmonex

De retour de chez le fleuriste et le boulanger ( je peux assurer, encore une fois,  que dans la tenue qui était la mienne, je n'ai pas trainé en route ! ) jai mis les roses dans l'eau  et de côté celles destinées à ma Belle-Mère...

  J'ai préparé au plus vite le petit déjeuner de ma Maîtresse et le lui ai monté comme elle le voulait ... 

- " J'ai failli attendre ! "  me lança elle en me décochant un regard sévère, qui , comme à chaque fois qu'il en était ainsi, n'altérait en rien la beauté de ses yeux ... Elle était assise , buste nu dans son lit...

 Lorsque j'ai passé la porte, elle lisait ... J'ai posé le plateau sur le haut guéridon ancien qu'elle venait de trouver chez un antiquaire et d'installer  ... et j'ai remplacé, sur sa table de nuit,  le long vase uniflore contenant la fleur flétrie qui m'avait valu  d'être châtié par son amant tout à l'heure,  par un  vase  identique, contenant la rose pourpe et fraiche ...

( Oui ! je peux l'admettre, la fleur que j'étais en train de remplacer n'était plus très belle ... mais je crois pouvoir dire qu'il m'est arrivé d'en laisser plus longtemps de moins belles sans dommage...

 Peut être, s'étant montré très affectueuse et douce 

 ces deux derniers soirs au salon, a t elle éprouvé, à  l'approche  de notre mariage, le désir de souffler un peu le froid après le chaud, de me rappeler ma condition ... ) 

Elle me regarda poser la  belle fleur fraiche ..; son regard parcourait mon corps de longs frissons .

- " Tu sauras que je mérite les plus belles fleurs et que j'entends que cette rose qui, faut il le rappeler symbolise ton amour, soit toujours d'une grande fraicheur ... Approche ! ...  (elle avait l'haleine encore alourdie par la nuit, bien que réveillée depuis longtemps ... par la nuit et par ses premières cigarettes ) ... passe encore pour les autres roses mon p'tit mari  ... celles aussi que tu dois à maman... mais dans ma chambre vois tu, tu dois et devra  veiller constamment à  la fraicheur  de celle que tu  choisis est ce clair ? "

J'étais si près que je buvais son souffle  ... j'aurais aimé pouvoir l'embrasser mais ça m'était interdit 

- " Nous ne sommes pas encore marié que je sache ! " m'avait elle dit en riant  un jour où j'avais cru, fou de désir, pouvoir prendre sa bouche ...

- " Tiens !  commence par sortir ta langue et me toiletter   vaginet  trou du cul ... mon bébé y a laissé plein de sa bonne liqueur de corps d'homme et je sens que ça colle de partout  "....

Je me suis affalé entre ses jambes  ouvertes , splendides  et j'ai obéi ...  elle avait en effet encore du sperme grumeleux un peu partout  du nombril jusqu'à mi-cuisses... je n'aimais franchement ni l'odeur ni la saveur du sperme de son " bébé "  ( même si comparé à celui de mon beau-père c'était un délice ! ) mais mêlé à ses saveurs et parfums de plaisir à elle  c'était à vrai dire  quelque chose de très excitant pour moi... 

- " Cela me plait bien tu sais d'avoir un mari qui sait  vraiment bien  se servir de sa  langue et qui est  assez vicieux pour  se régaler du foutre de l'amant ou de ce qui tapisse mon trou d' balle ! " 

.... elle rit aux éclats et son spasme libéra  un vent fétide et chaud  qui me suffoqua un instant ... quand elle s'en rendit compte son rire redoubla ...

Calmée elle me demanda de continuer mais pour la faire jouir  cette fois ... Cela ne fut pas long ... Ell me montra une fois de plus que, sans l'être systématiquement ... elle pouvait être Femme-fontaine ... 

Ensuite elle m'ordonna de descendre réchauffer son thé ... Quand je revins  elle m'attendait debout , nue , accoudée à la fenêtre , une cravache à la main ...

- " Tu n'as pas oublié que je te dois  cinq coups de  cravache  p'tit homme ! " 

- " Quatre ma Reine " ... c'est sorti comme ça ! tellement  naturellement  ! Je me suis rendu compte aussitôt que c'était une bêtisemais trop tard . Elle pivota sur elle même et me gifla ...

- " Qui t'as permis imbécile ? si je dis cinq c'est cinq ! A genoux  ... Le dernier coup porté par mon chéri , pendant qu'il me répondait , n'avait aucune force! je sais ce que je dis ... d'ailleurs ce sera six ... ça t'apprendra ! je ne veux pas d'un mari qui me contredise pour un rien  ! "

J'étais à genoux , je la suppliais du regard ... non pas pour la faire revenir sur sa décision, mais pour lui demander pardon ... Je regrettai de la mettre ainsi  en colère ... j'allais passer des heures avec elle ... sans la présence de son amant ... et voilà qu'au lieu d'essayer d'y gagner quelque chose je l'avais irritée inconsidérement ...

Elle m'infligea les six coups ,sur le dos j'étais courbé vers l'avant  ... et même j'en reçus  un septième parce que sur le premier elle m'avait arraché un cri...

- " Pose mon plateau sur mes genoux ! "..... dit elle en se recouchant ensuite...    " Je comptais  ôter ta CB un bon moment et peut être faire l'amour avec toi ... mais tu m'as agacé... on verra plus tard ... peut être ... file ! tu as sûrement des choses à faire, avant d'aller chez maman  ! "

Je sortis la mort dans l'âme , regardant encore une fois ce corps magnifique dont le contact m'était refusé ... par ma faute ... J'étais bien un imbécile ... elle avait raison ...

Le mot est même particulièrement  faible !