Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
L'eurasien avait envie de jouir, au contraire du nommé Michel... et il ne tenait pas à s'éterniser ! Il m'attrapa par les oreilles et manipula ma tête avec vigueur d'arrière en avant ... d'avant en arrière !!...
Il chercha à imprimer de la vitesse au mouvement saccadé dont il avait, à l'évidence besoin, pour éjaculer... et son gland protubérant ( voir article précédent ) finit par m'irriter la bouche, en dépit de l'enveloppe de latex ... Quand il éjacula , je perçus parfaitement la pression du jet en dépit de la capote ... Sa verge fut longuement agitée de spasmes ...
Quand il s'extirpa de ma bouche, la femme du couple que je n'ai pas encore présenté s'accroupit devant lui comme l'avait fait Clotilde tout à l'heure, mais pour l'exercice inverse : oter la capote pleine de la verge mollissante ...
C'était un préservatif avec réservoir ... et ce ne fut pas un luxe : la quantité de sperme évacué était impressionnante ! L'opératrice, une métisse aux cuisses puissantes et aux fesses charnues fit un noeud au bout de la capote et le tendit à Clotilde qui semblait tendre curieusement la main :
- " tu le veux ? "
- " Mouais ! on lui donnera demain matin, avec son café ! ça devrait lui plaire ! " ... l'observation fit rire ... Joseph lui tendit un mouchoir en papier , et elle enveloppa le latex plein de " sirop de corps d'homme " qui finit au fond de son sac !
La métisse appuya sur ma tête pour que je reprenne la bite de l'éjaculateur en bouche et que je " la nettoie correctement " ... mais aussi pour que je m'occupe d'elle ... que je lui fasse minette ... Elle me guida jusqu'à son bas ventre bombé et lisse ... Une forte odeur de marée se mélangea aux relents lourdement épicés émanant de sa raie... elle gémit vite et sans retenue sous mes coups de langue....
... elle aurait aimé aller jusqu'au plaisir , mais son mec qui se branlait sans façon juste à côté, aurait lui aussi voulu " profiter un peu " de moi !! ... il tira sur mes cheveux avec impatiente ... frustrant du même coup sa compagne ... mais au moment ou il glissait son gland poisseux et un peu de sa verge épaisse entre mes lèvres Clotilde l'écarta doucement et Joseph lui fit remarquer que j'étais " à eux " ... qu'on m 'avait suffisamment
laissé à disposition pour aujourd'hui ... et qu' "on" avait d'autres projets pour moi...
Là dessus c'est la séduisante brune, compagne du camping cariste, qui à son arrivée avait embrassé mon Maître sans gêne et sur la bouche, c'est cette petite mais pulpeuse beauté moulée dans un jean, qui, m'ayant attrapé par l'oreille, s'ingénia à me diriger vers le camping car ... puis à m'y faire entrer ...
Si j'avais été tenté d'hésiter, la main de Clotilde sur mes fesses nues et me poussant vers l'intérieur , tandis que son amie enfonçait rudement ses ongles dans le cartilage de mon oreille, serait parvenue à me convaincre de n'afficher aucune résistance ...
Le premier des couples que j'ai présenté ... puis celui formé par mes Maîtres et enfin celui qui invitait dans son camping car furent les six personnes qui certainement prolongeraient mes tourments... j'en vis d'autres par les vitres du camping car qui s'éloignaient vers les sous bois aptes à abriter ceux qui ne pouvaient bénéficier du " véhicule maison " faute de places en nombre suffisant .
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