asserviparmonex

Les heures continuaient leur lent, leur désespérant cheminement ! mais au moins les voyais je cheminer désormais !... je veux dire que j'avais la montre planquée, laissée par Cucky et que je pouvais consulter "à loisir"  ( quelle expression, dans ma situation ! ) ...

Je me demande d'ailleurs si le temps ne me paraissait pas encore plus long  ainsi !...je me suis surpris, parfois, à consulter le petit objet bon marché

 - non ! vraiment pas une Rolex ! - quatre fois dans la même heure !

 mais enfin je n'allais quand même pas me mettre à me plaindre de tout !

En fait j'étais préoccupé par ces différents reports : avaient ils une explication ? ... et quelque chose qui serait toujours plus défavorable pour moi ?!

 J'avais évoqué cette fâcheuse possibilité avec Cucky, en fin d'après midi... pas pu résister.. mais il n'avait pas d'avis tranché sur la question...

 Et tout comme pour la montre, je n'ai pas pu résister à l'attrait de la culotte d'Armelle, planquée qu'elle était au même endroit  : je l'ai pris en main , l'ai admiré sous tous les angles... j'ai de nouveau collé mon nez  sur le fond , riche de sécrétions ...

Je  l'ai humée !

Grâce à une petite astuce que tout le monde ne connaît peut être pas, j'ai ravivé les troublantes...les délicieuses odeurs  :    Allez ! je suis sympa !

je vous livre ma recette ... et pour ceux qui savent ce ne sera pas long

-   il suffit de mouiller un peu la ou les  parties maculées et  odorantes   pour raviver les senteurs déclinantes ... -

 Moi, même si j'aime Shalimar ( voir certains  articles précédents...  et aussi discussions approfondies à propos  des senteurs et parfums sur le remarquable blog de Madame.S )  c'est le mélange de senteurs naturelles  et de parfums de marque  qui me  mets dans un état second ...

... et là, le précieux sous vêtement, qui sentait encore vaguement la signature Guerlain avait besoin que je fasse ressurgir  les grisantes senteurs naturelles... et les plus  intimes, de la Dame auprès de laquelle j'aurais tant aimé être ...

...j'ai machouillé un moment le tissu dans sa partie étroite , le froissant dans ma bouche - j'en connais qui se contentent de cracher dessus pour créér la providentielle humidité ... mais moi j'aime bien avoir aussi la saveur en bouche 

- le vieux  pervers se disent certains... j'en suis sûr ... et tenez : l'amant de ma chère Ex m'avait une fois battu comme plâtre quand mon Adorée lui avait signalé m'avoir surpris dans cette activité ...

( ah ! ben oui ! ... on va pas y arriver !... si vous êtes toujours en train de me distraire et me faire penser à d'exquis moments quand j'en vis de si durs !!   ( sourire ... il faut bien quand même ! ) .

Bref ! si j'ai sorti la montre plusieurs fois dans la même heure, j'ai aussi un peu abusé  des vapeurs grisantes que vous savez ...

 Je sens qu'il y en a qui bouillonnent de me voir me livrer à de telles digressions !... Alors que ce qu'ils veulent, c'est savoir où je suis - et où j'en suis - maintenant !...

... mais je ne leur épargnerai rien de mes tourments, comme de mes innocents petits bonheurs d'esclave à la merci des Dominants...il faut bien que vous ayez une petite idée  de ce que j'ai vécu !

- l'enfermement, quand on ne sait ni combien de temps cela va durer , ni ce qui vous attend après , c'est atroce !... quand s'y ajoute

- la méconnaissance au niveau du temps qui passe , comme ce fut mon cas avant " la montre "...

-  les soucis du manque d'hygiène ...

-  le froid ( il ne fait pas encore très froid à Marseille, certes , mais c'est sans chauffage et  je vous rappelle que je vis nu et suis sans le moindre exercice physique apte à réchauffer ).

Et c'est alors que j'ai reçu de la visite !... mais pas Cuck !

C'était Janique , la légitime de Joseph ... celle qui ne m'a pas " à la bonne "  selon l'ami Cucky ... en entrant dans la pièce elle fronça le nez 

- " Pouah ça fouette ici ! " ...

 Oui ! tout était fermé et rien ne favorisait l'hygiène ! ...

Elle portait une robe longue qui moulait parfaitement ses formes généreuses... de partout ...

...elle revenait du cinéma , ou du restaurant ... elle, sentait très bon en revanche ... un parfum que je connaissais vaguement, mais que je ne sus identifier...  Elle vint directement  se frotter aux barreaux , releva  difficilement le bas de sa robe  sur ses hanches pleines , se massa le ventre en soupirant : 

- " Oups ! j'ai beaucoup trop mangé ce soir ... mais c'était si bon  ! Tiens lèche moi !  rends toi utile puisque t'es encore là... tu crois pas que je vais te nourrir à rien faire ! " 

 Elle éclata de rire en regardant " en biais " ma gamelle de chien dans laquelle traînait encore quelques  grains de riz séchés , de ce riz salé à l'urine ...

Je l'ai léchée ... j'y ai pris un coupable et honteux plaisir ! elle sentait fort ... elle sentait et avait la saveur du sperme  relativement frais !!

Avait elle " vu " son mari ce soir ? Je ne pouvais  imaginer Janique

" baisant " avec quelqu'un d'autre que mon Maître (  mon Maître ? hélas plus pour très longtemps , car dans les incertitudes du moment c'était le seul fait établi : Joseph ne serait bientôt plus ce Maître si excitant  ... il n'y avait même plus beaucoup de chances pour que je le revoie )

En tous cas , l'entre -cuisses de  la gironde Dame  était plein de semence... Elle mit assez longtemps à jouir sous ma langue  - à mettre au compte de sa position inconfortable ? .. Je connais assez peu Janique ... j'ai juste remarqué que ce qui la mettait en transe , avant tout, c'était la pénétration vaginale par des " arguments " aussi impressionnants que ceux de son cher époux !

Puis ... comme la raie de ses exquises fesses, qu'elle me tendit ensuite à nettoyer, toujours de ma langue... toujours entre deux barreaux, comme son sillon culier  était aussi badigeonné de  foutre , j'acquis la quasi certitude qu'elle avait passé la soirée avec Maître Joseph, son mari ... impossible et impensable qu'elle se laisse sodomiser par un autre homme !! 

Ensuite ? ... ensuite elle se rajusta... se tortilla de façon éprouvante - pour moi dont le petit membre protestait dans sa CB - se tortilla pour faire retomber les pans de sa belle et précieuse robe...

Puis elle sortit :

- " Quelqu'un viendra peut être t'apporter à boire tout à l'heure ... je ne sais pas s'il reste un esclave cette nuit dans cette maison pour le faire et moi j'ai trop sommeil ... C'est sans doute la dernière fois que nous nous voyons  107 ! Tu devrais quitter définitivement cette maison  dans le courant de l'après midi ... demain... je ne pense pas qu'il y aura un nouveau contre temps maintenant ... Je ne garderai pas un souvenir impérissable de toi ... et je ne suis pas mécontente que mon mari et Murielle aient enfin ouvert les yeux sur ton compte ... j'espère qu'un dressage approprié aura raison de tes nombreuses insuffisances !

     Se furent ses derniers mots à mon intention .