asserviparmonex

 Hier samedi, le temps s'est couvert d'un coup, peu avant dix sept heures  trente ... 

... j'ai dû ranger parasols et chaises longues et les Belles Dames sont allées prendre bains et douches ce qui m'a donné pas mal de travail - mais là je n'ai vraiment aucune raison de me plaindre ! ... sinon que je prends quand même quelques claques parce que justement , je ne peux tout faire en même temps ... et que mes Maîtresses " ne ( veulent ) pas entrer dans ces considérations  !  " - 

Elles veulent d'autant moins  " entrer dans ces considérations " que, cinq heures avant la pluie, au moment de la préparation du déjeuner, la Soumise du couple Marie-Paule/ Emma...  Guénola, est arrivée .

 Elle a fait le déjeuner, après m'avoir envoyé faire quelques courses... ( C'est elle qui a décidé des menus ... et chez ces Dames tout le monde lui fait confiance et s'extasie devant sa cuisine ! )...

 Elle m'a dirigé  - chez mon Maître ! - pour dresser la table, servir les plats, faire la vaisselle puis un  brin de ménage dans la salle à manger, et, après le café, servi sur la terrasse... sur son ordre - chose que je fais généralement  très bien tout seul, tous les jours , quel que soient les présents et invités !! -...  Elle s'est installée elle aussi sur la terrasse pour faire bronzette !

J'ai dû lui sortir un transat... et puis tartiner tout  son corps potelé et très blanc d'une  crème solaire à très fort indice de protection ... 

Bref ! à part la cuisine - que de toute façon je ne fais jamais vraiment -

 je ne  prétendrais pas avoir été vraiment aidé ni soulagé dans mes tâches  par l'autoritaire Soumise !

... autoritaire seulement, bien sûr, avec les esclaves " d'origine mâle " comme elle dit et répète volontiers dans un sourire méprisant - pour ses Maîtresses elle est aux petits soins, admirative et ... visiblement zélée  ( sauf que si elle peut  " faire faire " par un mâle inférieur , elle n'hésite pas une seconde ! ) -

Donc avant que n'éclate l'orage, sa présence ne m'a été d'aucun secours, 

 au contraire, puisque j'ai eu une Femme de plus à servir, enduire de produits solaires, puis " après soleil "...  ( mais pour cela , vous le savez , je ne me plains jamais )

Donc  ce qu'elle m'a " épargné " un long moment... c'est hélas le plaisir de servir intimement, comme je le fais habituellement  lors des heures  de chaise-longue : je passe souvent pas mal de temps à masser et lécher les intimités des Maîtresses   présentes ... 

Là, elle m'en a privé ! et de magistrale façon  :

 Elle a d'abord estimé qu'il valait mieux ne pas m'ôter mon bâillon quand ce fut suggéré ... ce à quoi, dès le début, Marie-Paule a répliqué :

- " Si tu veux être plus tranquille ma chérie, il est vrai que c'est encore la meilleure solution ! " ... et avec ma boule en bouche, clairement impossible de lécher quoi ou qui que ce soit !! dès lors la maligne Guénola fut là et bien là pour les Maîtresses " dans le besoin "...

Ma seule vraie  chance sur ce plan, a été que Guénola elle même a ressenti le désir de se faire lécher " la craquette "... la sienne était toute grasse de désir...  et  ses Maîtresses ne virent aucun inconvénient à le lui permettre !

C'est bien sûr moi qu'on réquisitionna et dès mon bâillon oté, je me suis appliqué sur et dans ses rondeurs odorantes, pour laper  ses riches  sécrétions !

Mais ensuite, pendant qu'un gros orage est venu perturber la printanière et musicale  fête locale, les Maîtresses ont  eu recours très souvent à Guénola... 

Voilà d'autres perspectives qu'il me faudra reprendre  dès que possible, mais la nuit avance et j'entends deux voitures sur l'allée de gravillons ... Plusieurs Maîtresses sont en train de rentrer de boite ! ...

Là j'espère être un peu utile, même si Guénola dort à côté : elle semble avoir le sommeil profond... je me suis relevé tout à l'heure, pour écrire  alors qu'elle ronflait assez bruyamment et elle continue ...

Elle a finalement accepté de ne pas me remettre le bâillon pour la nuit, après que je lui aie donnée du plaisir avec ma langue en lui faisant " feuille de rose "... il me suffit donc d'aller me mettre à genoux dans le couloir pour leur arrivée ... je serai seul... je l'ai déjà fait avant l'intrusion de la Soumise ici... et ce jour là ma langue avait bien servi !