asserviparmonex

 Et dire que Murielle était en train d'expliquer à France :

- qu'elle avait déjà baisé avec le mec qui leur avait fait l'amour, à toutes les deux, un peu plus tôt dans la nuit !! 

- que cette " première " avait eu lieu devant Régis  son mari, agenouillé devant le lit conjugal ! menotté, dans l'impossibilité de se branler !!

... j'avais quitté, la mort dans l'âme, l'embrasure de la porte au moment où , répondant à une question de Marie-France, elle lui disait quelque chose du genre :

 " Oui ! bien sûr ! mon cocu bandait de voir Greg me faire des chose qu'il n'a jamais été autorisé à me faire !... la sodo ... la bête à deux dos ! ce vicieux bande toujours quand je lui permets d'assister à mes ébats... mes baises, mes parties de jambes en l'air quoi !... ahaha !  " ...

... j'enrageais  que la lumière trop vive du couloir se soit allumée à ce moment ! ... j'aurais tant voulu rester ! mais après ça ! impossible !... d'autant que des pas se rapprochaient maintenant de l'endroit où j'étais.

Des pas venant de ma gauche, c'est à dire de la direction des chambres  toujours emplies de murmures et de manifestations de plaisir ... de  jouissance.. mais aussi de la droite ... et là je reconnaissais le bruit des mules à talons de Guénola la Soumise  !

 Elle venait du dortoir ... ce que je redoutais  le plus, car approchant ainsi, à pas nerveux, elle ne pouvait que me chercher !

Elle avait dû finir par se réveiller... ne m'avait pas vu  près d'elle ... avait entendu les  Femmes, dont ses Maîtresses, prendre du plaisir !

- "  Qu'est ce que tu fais là esclave ?  " 

j'avais entrepris de faire demi tour !...à la recherche d'un salvateur recoin,  mais trop tard ... et puis je marchais de nouveau vers la porte  entr'ouverte sous l'effet de ma curiosité ! j'arrivai juste devant, quand Murielle et France , alertées par le bruit des pas, puis la voix de la Soumise sortirent  de la chambre , pour voir !!...  me rejoignant en quelque sorte ...  elles étaient à deux pas, au sens propre  !!

Mais Guénola était déja sur moi et me gifla sans attendre de réponse à sa question...

 - " je... j' ! "  impossible de produire un argument ! ... un regard  honteux en direction de ma Maîtresse m'indiqua qu'elle n'appréciait pas forcément que la Soumise m'ait giflé ... léger espoir pour moi  !... mais qui ne dura pas :

 France se chargea de le réduire à néant... la gifle de la Soumise de sa mère la fit rire ouvertement , en se blotissant, très chatte, contre le buste généreux de Murielle et en étreignant ses hanches ...

Emue, déconcertée sans doute par la réaction  de sa jeune amie, Murielle , finalement , n'osa pas tancer Guénola qui pourtant , à ses yeux, clairement  avait outrepassé ses droits... 

Alors pour Guénola, plus de raison de tempérer ses ardeurs : elle m'attrapa  l'oreille, en la tordant durement, et, tourner encore mon regard vers ma Maîtresse, comme pour obtenir l'appui qu'elle avait bien failli, un instant m'accorder, ne servit plus à rien... France avait fait la différence !...  

Et pour moi, humiliation maximum !

- " Tu crois pas que tu aurais dû me réveiller quand nos Maîtresses sont rentrées ? C'était pas de ça que tu avais l'ordre ?  " ...

... elle continuait à maltraiter mon oreille et c'est presqu'à genoux  que j'ai suivi sa trace...

Le pire c'est que Murielle et France sont retournées dans leur chambre sans esquisser un geste de sympathie ou de compassion à mon égard... mais au contraire en riant ... de voir la jeune  Soumise avoir ce type de comportement avec moi !