asserviparmonex

Après les belles démonstrations de virilité du nouvel étalon d'Armelle entre fin d'après midi et soirée. Il l'a prise:

- DEBOUT contre un mur du garage en arrivant... 

ASSIS... lui, entre les bras épais d'un fauteuil anglais, elle, lui tournant le dos et venant s'empaler sur son pieu turgescent  ( j'avais préalablement  léché, sucé puis lubrifié manuellement et dans ce but  l'anus et le chibre qui devaient s'interpénétrer sans coup férir)...

- ALLONGé... lui, allongé sur le dos... elle, le chevauchant royalement et cela   sur la moquette et l'épaisse  peau de bête, devant la grande cheminée... 

- ACCROUPIE, A QUATRE PATTES, elle en levrette, recevant avec un bonheur non dissimulé, les coups de boutoir énergiques et virils...

Dans chaque cas de figure  je les ai léché et sucé, avant... pour les préparer, après... pour les toiletter rafraîchir et détendre ...

Au cours de ces premières heures l'homme n'a joui que deux fois ( semblant appliquer, en matière d'orgasme, la règle du UN -lui- POUR TROIS -elle- )

 Les deux fois dans son cul ...

 Armelle a eu la bonne idée de lui dire qu'elle raffole des éjaculations dans son "trou de balle" car - c'est elle qui le dit - elle "ressent bien davantage les spasmes  et soubresauts de la bite dans l'étroitesse de son fourreau  anal" ... alors , fort de cette information, l'ex yougoslave, qui est un gentleman  s'est bien gardé de la contrarier...

C'est donc assise par deux fois sur mon  visage qu'elle a "laissé couler" puis évacué le sperme grumeleux, épais et très blanc qui s'échappait de son cratère dès qu'elle commandait et  renforçait brièvement sa dilatation...

Un sperme dont j'apprécie très modérément l'odeur et la saveur aigrelette et piquante mais voilà bien  un désagrément heureusement atténué par les saveurs et senteurs naturelles très musquées de ma Déesse.

Ensuite, dans la chambre qu'ont ils fait ? Eh bien la même chose tiens pardi !!! ... sauf que je me suis retrouvé aussitôt  dans le lit mural, objet de toutes les curiosités ...

Au début, Armelle était assez partante pour fermer la paroi coulissante, c'est à dire pour condamner la vitre... en m'empêchant de voir... de les voir !

Mais l'homme  a semblé moins favorable qu'elle à cette solution initiale.

Je n'ai donc été privé, du moins dans un premier temps, ni de sons ni d'images... ni de saveurs, puisque j'ai été appelé pour oeuvrer sur leurs intimités souillées et défraîchies, au moyen de ma bouche et de ma langue aussi souvent que nécessaire !!

La nuit ils ont repris leurs ébats après quelques heures de sommeil... pendant lesquelles j'ai fini à mon tour par m'endormir, même si ce fut moins rapide que pour eux , tant je les ai admiré dans le repos de leurs corps alanguis ...

Armelle admirable ! tellement excitante dans ses rondeurs appétissantes ! Lui séduisant, fascinant aussi  par ses  plaques pileuses noires , îlots hirsutes sur peau planche, par son sexe épais qui débandait à peine entre deux assauts, au point que le bout violacé de son gland ne disparut presque jamais complètement sous la peau informe - au repos - de son prépuce .

 J'ai pensé, juste avant de m'endormir, que j'avais enfin réussi à passer ma langue entre ses fesses poilues et à l'odeur scabreuse, sans dégoût  trop marqué...

Ce qui était de bon augure pour la suite, tant cela repoussait l'idée inquiétante d'un moment de nausée irrépressible qui m'aurait - qui sait ? - fait gerber de manière incontrôlable...

 J'étais d'autant plus soulagé qu'Armelle, à qui mon supplice n'avait pas échappé , en avait profité pour me menacer, avec un sadisme de bon aloi, des pires conséquences, si je manquais de respect, d'une manière ou d'une autre à (son) mec.

Oui ! cette nuit là j'ai peu dormi, mais   plutôt  bien !