asserviparmonex

C'est donc après quatre ou cinq heures de vrai sommeil - rarement plus - que le service intime de ma Reine m'accapare de nouveau pleinement et cela chaque fois, chaque nuit... quand nous sommes seuls...

Oui! cela mérite cette précision: même quand Armelle ne me veut pas dans sa chambre, au moment du coucher, quand elle va lire, puis dormir, ce que j'explique ci dessous est immuable lorsqu'elle est seule, sans homme : 

Que je dorme

 sur la moquette, en bordure de son lit, quitté à grand peine au coeur de la nuit,

ou sur le lit de camp de toile tendue, (détails dans de précédents articles)

 voire hors de la chambre, sur ma paillasse...

Armelle, lorsqu'elle n' "a pas  d'homme dans son lit" attend donc impérativement  que je retourne m'y glisser, au petit matin,  sur le coup de  sept heures .

Oui !  m'y "glisser"... c'est bien le mot qui convient ! En principe je ne la réveille pas vraiment si je m'y prend bien .

Et "bien s'y prendre" consiste à m'étendre en travers du matelas, après avoir délicatement soulevé la couette... et progresser latéralement jusqu'à  insérer ma tête "chercheuse" entre ses cuisses chaudes.

Scène somme toute aisée à visualiser je pense, même si quelque peu étrange à qui s'endort "normalement" dans un  lit  et s'y réveille sept à neuf heures plus tard en ayant à peine changé de position .

Armelle s'endort, je le confirme, sur le flanc droit, visage tourné vers l'extérieur du lit  et moi dans son dos ... tous les deux dans la moitié droite du grand lit ... ( voir précédent article )

... et cinq heures plus tard, quand j'insère ma tête dans la touffeur de sa fourche de chair palpitante , elle est bien souvent sur son autre flanc, visage disposé vers l'intérieur  de sa couche... ce qui fait que, quand  je trouve ma place dans l' "ouverture " qu'elle m'offre  en grognant ou gémissant ... quand mon crâne se retrouve coincé dans l'étau musclé de ses cuisses, ma bouche tutoie ses lèvres verticales, celles de son vagin, tandis que mon nez flirte ave son anus...

Vous voyez le tableau ?  Nos corps forment un angle droit... souvent, lorsqu'elle a connu un sommeil réparateur et paisible,  dans les heures précédentes, elle ouvre volontiers ses cuisses à l'approche de ma tête qu'elle sent dans une semi-inconscience ...

 Il y a là tout un concentré de senteurs nocturnes naturelles ... rien que les siennes !... et qui évoquent cependant du musqué animal à l'iodé marin ! Oui ! toutes les siennes .

Si elle a insisté pour que je lui fasse minette ou feuille de rose au coucher,   les odeurs, comme les saveurs, sont plus acidulées... et, si le plus souvent elle "se rendort" après mon intrusion consentie et même exigée, elle que ma tête chercheuse n'a au fond même pas vraiment réveillée,  pour moi c'est plus aléatoire ...

 Ce qui peut m'éloigner du sommeil alors ? Parfois, sans qu'elle ne l'exprime , je ressens sa satisfaction que je sois là... "lèvres à lèvres" avec elle... c'est facile: ses cuisses, pourtant pleines et musclées, se sont faites légères  et si douces... sauf si elle se rendort ... mais alors j'entends sa respiration caractéristique !...  la couette ne pèse pas davantage ... alors moi aussi je me rendors, en paix... si je suis très fatigué, mais parfois c'est justement cette douceur qui va cimenter  et exacerber mon désir et me faire veiller !       

Il y a dans ces jours balbutiants, un sentiment grisant d'abondance et de plénitude !!

... et si je vous dit que ce sont les plus nombreux ? ... alors je n'ai pas vraiment à lutter pour trouver assez d'air entre chair et tissu  et je suis sans inquiétude pour ma survie, durant l'heure  qui va s'étirer mollement ...

Armelle somnole...

 Armelle gémit, dans les bruits que font ses lèvres, à l'autre bout de la couette, bruits intermittents de succion...

Armelle dort... mais ses propos inarticulés, parfois en disent bien long ...

... et, quand avant huit heures je me mets à forer son anus du bout durci de ma langue ...quand un vent mou, et, à l'autre bout de la couette un petit gloussement mutin me répondent que je fais bien de me comporter ainsi... je sais qu'elle va me laisser la faire jouir, d'une manière ou d'une autre... j'ai la demi-heure suivante pour cela ... Armelle ne commence sa journée de travail qu'à dix heures.