asserviparmonex

Je me faisais une telle joie, et depuis si longtemps ( vous avez pu le constater dans les articles rédigés depuis une semaine j'imagine : seize articles, sur cette période , même si plusieurs posts relatent des rêves  )...

Oui ! une telle joie vraiment ... que je ne pouvais sans doute qu'être déçu le jour venu ... au moins en partie ...

Je me l'étais dit d'ailleurs, de plus en plus souvent à mesure qu'approchait l'heure ... je veux dire le moment ! 

... et ce qui s'était passé  dans un cadre " vanilla " avec une très jeune Femme, Clara, supposée du même monde que le cadre considéré, n'était pas fait pour me rassurer ...

... pas plus  que  la " découverte  de ma tentative de vol "... car c'est hélas comme ça que ce sera perçu ... et raconté ...

En mettant  cette étiquette sur mes actes " condamnables ", qualifiés

" de tentative de vol " , par le mari de Mareen ou pire : de " vol  " par Clara ... j'avais pris conscience avant ces retours attendus de mes Maîtresses , que  ces deux êtres , que tout opposait pourtant, pouvaient me valoir de gros soucis...

Et si le premier  m'écoeurait, la seconde ... pourtant pas du même monde ... et à mes yeux bien plus fréquentable ... la " mignonne ", la " gentille "

Clara... selon les mots même de Flo de la superette ...

... oui Clara m'inquiétait bien davantage au fond ... quand je pensais aux retombées, aux conséquences de ces faits, de ces " vols "...

 Puisque malheureusement ils seraient , c'était à peu près sûr  maintenant , considérés comme tels !

Clara n'était pas ... claire ... même si le mot est facile, la réalité n'en est pas moins fort menaçante :

Que savait elle de ma condition ?... de mon état ?...  de cette situation extrème qui pour certains n'est qu'un jeu ... mais que je vis à plein temps !

Où en étaient les " échanges "entre Joy et elle  à propos de mon humble personne ? ... car enfin Clara ne m'aurait sans doute pas fait déshabiller ... uniquement pour voir la taille ou l'allure  du  sexe d'un ... SEXagénaire comme moi ! ... Non ! vraiment ... sans une incitation  supérieure ... elle ne m'aurait pas coincé là dessus ... De même pour mon dos...

Mais encore une fois cela ne me disait rien sur " l'étendue des connaissances " de la cruelle s'agissant de moi... et sur le degré de complicité entre Joy et elle ...

Je fus un peu mieux éclairé , enfin, quand le samedi après midi arriva ... 

Avec toutes ces réflexions , plutôt désagréables ... quelquefois inquiétantes , si je brûlais toujours du désir de revoir mes Maîtresses ... désir " physique " aussi, plus que désir réfléchi... raisonné ... j'avais conscience que l'inquiétude, certaines craintes même, venaient  peu à peu gâcher ce plaisir !

Et la réalité de ce samedi après midi fut hélas , conforme à ce que je craignais ...

J'ai été repoussé du bras par Mareen quand je me suis approché à genoux pour embrasser ses fesses , ce jour là couvertes d'une belle robe de velours qui  suivaient ses magnifiques courbes...

Embrasser ses fesses plantureuses , c'est ce qu'elle avait voulu...

C'est ainsi qu' elle avait voulu que ça se fasse  ces dernières semaines ... aussi bien lorsqu'elle partait que lors de ses retours ...c'était sa façon de dire au revoir ou bonjour à l'esclave , quant elle ne laissait pas tomber un filet de salive dans la bouche de l'agenouillé ( position obligatoire du soumis lors des départs et retours) 

- " Ah ! toi !! tu la ramène pas ! va plutôt monter toutes mes affaires dans ma chambre , pour celles de Joy on verra tout à l'heure ... on fera le tour par la route sans doute ...  

Ensuite c'est Joy qui m'a repoussé du pied dès que je me suis trouvé assez proche ...j 'étais si heureux de la voir!!...  tout énivré de son parfum !

 Elle a juste manifesté de l'agacement... d'un claquement de la langue .

Et Mareen s'est employée à mettre un terme encore plus séchement   à l'épisode " retour "...

  En faisant un geste de la main , comme pour chasser du menu fretin...

 Son mari, arrivé après moi, était aussi concerné par ce dédain ... c'était ma seule satisfaction .... sauf qu'il accéléra mon départ vers les bagages ... lui restait à proximité des deux Femmes ...allait il avoir le loisir de leur parler ?

Tout cela n'était guère  rassurant... ni encourageant  !