asserviparmonex

Arlette, découvrant la CB sous mon pantalon, avait rejoint sa jeune collègue, pleine d'une curiosité amusée... - mais pas vraiment saine !  vous vous en doutez -

... elle aussi s'était accroupie au plus près de mon corps allongé et frémissant de honte ! 

...  j'avais eu le temps de la voir, me regardant en biais, regard rieur, mi-sarcastique , mi-méprisante... juste avant que la stagiaire ne confonde mon visage empourpré de honte autant que d'émotion et d'excitation avec un siège  " design " ... sans doute ...

 Si les relents des vents d'Arlette - voir post précédent - avaient une empreinte olfactive tenace ... la raie de la  jeune employée devait bien n'avoir pas grand chose à  envier à l'intimité odoriférante  de sa collègue : malgré le tissu, certes d'une légèreté toute estivale, de la robe imprimée de Chloé, une vive odeur de vulve émoustillée et à coup sûr humide franchissait sans encombre l'écran fleuri du vêtement...

S'y mêla , dès que mon appendice nasal se ficha, comme " naturellement "  ( vous savez ! le principe technologique élémentaire du tenon et de la mortaise ) ... oui ! tout naturellement entre ses fesses... s'y mêla le parfum plus sauvage et corsé, terriblement musqué  de sa fente culière  !! 

 Au ressenti - comme au senti ! - je fus prêt à parier qu'elle ne portait pas de sous vêtement ... c'est que voyez vous  mon nez se logea si facilement entre ses hémisphères... et  le tissu de la robe était lui bien trop léger pour amortir la pénétration !... 

Je ne risquais pas d'étouffer, à l'inverse du cocu de la cliente de cette boutique, Estrella , pour laquelle nous étions là, quand tout à l'heure lui suffoquait sous les fesses d'Arlette comme je l'ai conté précédemment ... et moi, oui j'ose l'avouer ... j'étais bien sous le fessier charnu  de celle qui avait craint, quelques minutes plus tôt, d'être tenu à l'écart de la petite fête et qui se montrait maintenant  si généreuse dans son abandon ...

Mais celles et ceux qui ont lu les deux articles précédents ,  ayant pour cadre le même lieu, savent bien que la situation, le contexte, ne permettaient pas, hélas, de s'installer dans la durée ...

 Nando revint . Je ne le vis pas : le merveilleux bandeau combiné à un tout puissant  baillon... c'est à dire le séant de Chloé, ne m'empêcha pas  pour autant d'entendre son retour !

Il fallu bon gré malgré revenir à " un peu de sérieux " ( c'est ce que lança, discrètement et avec un sourire, cependant,  " Madame "  à ses  deux subordonnées quand nous revînmes, avec quelques nouvelles boites ... )

Il y en avait partout des boites ... je repris ma place aux pieds d'Estrella, de l'autre côté il y avait Nando... elle réessayait des chaussures que nous lui passions tour à tour sur ordre ... " Madame "  donnait son point de vue ... Arlette qui  n' avait rien dit jusque là, pour cause d'absence, donnait aussi son avis ... Estrella voletait devant le grand miroir ... A nous trois - elle et ses deux esclaves - on devait " tenir " à peu près la moitié  de la boutique, pour une seule cliente , quand six autres client(e)s discret(e)s choisissaient tranquillements, dans l'espace restant  ... 

Moi j'avais en plus l'impression que tout le monde pouvait deviner ce que je venais de vivre, me regardant pour ce que je venais de  subir  et pour mon odeur ... la scabreuse odeur  intime   que m'avait " collée "   Chloé en s'asseyant sur moi !