asserviparmonex

    Dans la  dernière boutique où Vanina m'a " trainé " on  vendait des bas, des collants, mais aussi des porte-jaretelles... et quelques tenues de sport affriolantes : shorts...jupettes de tennis, baskets ... - forcément affriolantes ! cette Déesse charnelle ne peut porter autre chose ! - et quand on sait le temps qu'il faisait à Marseille samedi dernier, comme d'ailleurs sur une bonne partie de la France .... passe encore pour les articles de sport... mais pour ce qui est  des sous-vêtements et autres collants, j'imagine que beaucoup penseront que c'était pour la pulpeuse congolaise une ultime occasion de me donner la fièvre en faisant chauffer encore une fois ma carte Visa ...

Et bien non ! pas seulement  : J'ai appris de ses coups de fil d'entre boutiques que l'obsédante noire partait dans les jours suivants pour l'Argentine ...

... or , tout le monde n'est pas obligé de le savoir , mais cette partie du monde, dans l'hémisphère sud est entré depuis une semaine dans ... l'hiver ! ... D'où l'intérêt pour la Belle, qui devrait fréquenter, toujours d'après ses coups de fil, quelques soirées " croustillantes " d'avoir des parures de fête digne d'elle, jusque sur ses reliefs et antres les plus intimes !

Nous avons donc repris l'émouvant ( pour moi )... oui ! l'émouvant  petit jeu des rideaux de cabines allant de " mal fermés " à " ouverts " !...

...et encore  mes mises à genoux pour faire glisser le long des deux colonnes de chair parfumées de la Belle, tantôt sa culotte - que je lui avait remis aux toilettes de la boutique que le chausseur l'avait autorisé à utiliser - culotte de plus en plus odorante !... tantôt un collant scintillant ... un autre de laine précieuse mais épaisse ...

Pour qui s'étonnera de ces essayages je précise qu'il ne s'agissait pas de simples collants du quotidien... mais de pièces de lingerie... griffées ... 

 de nos jours  produits de " marque " .

La chaleur du jour et de l'endroit , pour des articles, je le redis, destinée à servir dans l'hiver austral, ne manquèrent pas, au milieu de l'agitation des essayages , d'accentuer la transpiration de la pulpeuse congolaise ...

... et ses senteurs personnelles l'emportèrent de plus en plus sur la suavité

 d' " addict " ...

 Vers la fin de la séance, Vanina ferma enfin le rideau complètement ... mais j'étais avec elle dans la cabine, je ne fus donc pas frustré, bien au contraire  : elle voulut que je lèche ses dessous de bras levés...

... que je souffle sur ses aisselles tapissées de sueur,

...que je me délecte de ces  fines goutelettes de rosée qui brillaient sous les spots de la piècette dotée d'un long miroir  !...

Elle me regardait faire , un sourire amusé envahissant sa face épanouie, pendant que j'étais courbé... obéissant... idolâtre !! 

 Et  j'ai bandé autant que ma détestable CB le permettait !!..

J'ai bandé d'autant qu'après les aisselles, à genoux cette fois , j'ai

 " rafraîchi " son entre-jambes... son entre-fesses... quand elle s'est assise sur la petite chaise de la cabine , jambes et pieds levés ... des pieds qu'elle m'ordonna de tenir relevés et écartés pendant que je la léchais !...

... j'ai bien cru que j'allais éjaculer sans me toucher, sans bander pleinement,  évidemment !!

Il s'en est fallu d'un rien ... juste sans doute que sa jouissance, modeste mais réelle, n'éclate avant l'irréparable ... Oui ! j'étais bien sur le point d'éjaculer ... au milieu de ses odeurs musquées, épicées, poivrées ! ...

Elle avait à la dernière minute remis sa culotte dans sa bouche, pour étouffer ses derniers gémissements !

Mais quand, après que je l'aie rhabillée, elle a ouvert le rideau pour sortir, sans même s'assurer que j'étais prêt ... quand je suis sorti à mon tour , toujours encombré de ce qu'elle avait décidé de " garder " ... j'ai eu le sentiment que tous les regards qui nous suivaient appartenaient à des gens qui savaient à peu près ce qui venait de se passer derrière l'épais rideau de velours !!!

Mais le passage à la caisse glissa sur moi cette fois ! ... j'étais comme dans un état second ... encore sous l'emprise charnelle de la luxurieuse et luxuriante africaine ... cerné par ses senteurs outrageusement  sexuées et ... fier ... oui fier - pas le moins du monde honteux ! - qu ' "on " s'en rende compte autour !... même s'il y avait, ça et  là quelques sourires méprisants.