asserviparmonex

Hier matin, j'étais à la banque, comme prévu, avec les deux Femmes les plus importantes de ma vie désormais  : Ma propriétaire et sa Fille chérie ...

Et  le motif de ma présence en ce lieu, avec mes Maîtresses, n'a fait que renforcer leur importance ... comme leur pouvoir sur moi  ...

Il s'agissait en effet de procéder à une nouvelle domiciliation  de ma pension et,  pour moi, d'avaliser le virement mensuel de cette pension

 sur un compte joint, comme par le passé déja... mais cette fois la

co-bénéficiaire en est   Joy  ...

Pour ce qui est  du " CO- bénéfice " et  du sens de ce terme en l'occurence,  personne  dans cette agence n'a d'ailleurs été dupe !... les sourires de deux jeunes  employées subalternes, chaque fois qu'elles entraient dans le box-bureau de la  chargée de clientèle qui nous recevait, en disaient long ! ... encore celles là avaient un " bon motif "  pour  entrer dans la pièce :

les documents qu'elles photocopiaient  nous concernaient directement :

mes pièce d'identité, notification et  relevés de pension... les documents consécutifs à mon entrée sur compte ... on était dans le " courant " de  la naissance ou de la vie d'un compte bancaire  ... 

... mais celles et ceux qui sont venus ensuite ( deux hommes, une Femme )    n'avaient aucune " bonne " raison de fréquenter ce bureau ! ... c'était l'évidence !  le dernier prétexta même, auprès de sa collègue qui nous recevait une panne subite de sa photocopieuse !...

Les sourires entendus comme les regards sur moi ne pouvaient leurrer personne et le fait qu'il n'y avait pas la moindre réserve - et rapidement plus  pas la moindre " prudence " -  dans ces regards de plus en plus appuyés , vexants ... dans ces sourires quasi-insultants... me prouvait, s'il en était encore besoin  que  mon état était connu  ...

Par état je ne veux évidemment pas dire ma servitude totale et permanente consenti  ! 

 Encore que la chargée de clientèle pour sa part semblait si proche de Mareen en particulier  qu'elle me parut  tout savoir, absolument tout !...

 Je sais depuis ce matin que c'est le cas !  ...

Non ! pour les autres, sauf si  Madame Servalach, notre interlocutrice  s'est répandue en confidences avant de nous recevoir , ce que je n'exclus pas complètement... Il a suffi de suivre, même avec un brin de distance, le déroulement de cet entretien...

Un entretien  qui eut lieu, circonstance aggravante pour moi, dans un box central presqu'entièrement vitré, de la grande pièce ovoïde constituant l'agence , avec sur les côtés les guichets et la caisse !

Ainsi, partout où le personnel n'était pas accaparé - et l'heure n'était pas à l'affluence de la clientèle - on pouvait " s'intéresser " à notre réunion ...

D'autant plus que, dès notre arrivée , la pièce aux murs compacts ( la seule avec le bureau directorial ayant cette caractéristique de vraie pièce ) qui hébergeait la machine à café , connut un succès " suspect " ...

Oui ! suspect ... sauf si on se réfère à notre présence.

 Des murs opaques certes, pour cette salle de détente, mais une grande porte que restait ouverte et donnait sur les parois vitrées de l'arrière

du box  où nous étions ... comme par hasard !!

Bref tout participait à mon malaise, à ma gêne extrême  et je fus vite persuadé  que mes Maîtresses, maîtrisant des paramètres comme par exemple  l'horaire et même peut être   l'emplacement du box  avaient

soigné la mise en scène...

Avec la complicité de la chargée de clientèle ?

C'est ce sur quoi j'insisterai quelque peu dans mon prochain post ... car je suis malheureusement obligé d'interrompre celui ci .

Servitude oblige !