asserviparmonex

Comme  je l'avais espéré, j'ai passé une nouvelle nuit  dans le lit de mon excitante Maîtresse, dont une bonne partie la tête entre ses cuisses ...

 Plus longtemps que la veille, pour ce qui est de " la tête dans ( son ) cul "

- autre expression qu'elle affectionne - ... elle s'est endormie ainsi encore

une fois, et moi aussi ... même si bien plus tard  .

 J'ai eu tout le temps de savourer  les senteurs comme les traces des sécrétions des deux temples  et de leurs reliefs ...

 Un bain ou une douche  n'ayant pas précédé le coucher, contrairement aux jours précédents, les senteurs et les saveurs étaient... disons... vigoureuses !

Je rappelle que Nelly n'est pas une adepte des consommations excessives de papier hygiénique qu'on observe dans certaines foyers ... et que, par ailleurs, faute de mec, elle a passé quelques dizaines de minutes à se faire jouir avec les doigts ...

(  Et puis ... mec ou pas, ma jeune Maîtresse sacrifie au rite de la masturbation au moins deux fois par jour ... Sans pouvoir   proposer un nombre approximatif, comme je le fais maintenant ... je peux dire que  le côté intensif de sa pratique m'est apparu dès les premiers jours de fréquentation de la belle brune impudique .)

De fait, les bouffées lourdes et les relents sauvages agirent plus vite et plus  efficacement sur mon niveau d'éveil que des torrents de caféine...

Et  quand elle se réveilla une première fois, après quelques dizaines de minutes de somnolence, que je pris au départ  pour un vrai sommeil, moi je n'avais pas encore connu l'amorce de l'assoupissement ! ...

... Je fus donc aussitôt opérationnel pour " lécher (son) cul, ( sa) raie " comme elle l'exigea ...  et  encore, bien sûr, les lèvres très  saillantes de sa vulve ... abondants lambeaux  de chair qu'elle  adore  que j'aspire et suce ... que je suce ... et  aspire ! 

Elle a joui en libérant de l'air  ... et de manière sonore, par chaque orifice  -  dit avec légèreté n'est ce pas ? - 

La couette conserva un bon moment  les relents d'air vicié ... et excité comme je l'étais alors, je mis encore un peu plus longtemps à m'endormir  ... De plus sans être peut être vraiment une femme-fontaine ( encore qu'elle m'en semble très proche, mais elle même, dans une discussion avec Samantha - qui l'est et s'en vante - a voulu nuancer la chose en ce qui la concerne ) Nelly  mouille beaucoup le lit quand elle jouit  et j'ai  eu du mal à trouver ma place en restant sous et entre  ses fesses, sans être victime de la petite zone quasi-marécageuse ... heureusement , elle même, sans doute incommodée par les traces de  son plaisir abondamment  liquéfié, a  quelque peu déplacé ses somptueuses  fesses  vers le milieu du lit et, composant avec sa cyprine qui tapissait  généreusement  son entre-cuisses, j'ai réussi à  retrouver un peu de calme et de sérénité .

 Bien plus tard, au milieu de la nuit , elle  s'est réveillée, et, prétendant que c'était ma faute, que je ne me tenais pas tranquille, elle   m'a envoyé dormir sur une misérable, mais grande  couverture, dans laquelle j'ai  pu m'enrouler ... j'étais sur la moquette, sur le côté du lit ...

... j'ai éprouvé  quelques difficutés à me rendormir ... mais je peux vous dire que j'étais ravi de me réveiller là, au même endroit, quelques heures plus tard ...

Il était huit heures ... Nelly me tirait les cheveux, me sommant  de venir la lécher  " ( lui ) bouffer la chatte ! " Il en résulta un nouvel orgasme bien mouillé ...puis après un bref assoupissement ... elle se rendormit ... complètement ... mais  j'avais les consignes ! ... 

Ma tête  devait  d'abord  rejoindre son entre-cuisses de plus en plus odorant ... donc y revenir ... et ne plus se faire remarquer !! ...

Seul mon souffle sur ses lèvres, son pubis,... son mont de vénus... son périné ... son anus !! ... oui seul mon souffle l'intéressait...

Elle se rendormit donc au milieu de petits gémissements enfantins ... moi je devais veiller ... veiller à ne pas me rendormir ... ou alors très peu, car une longue journée était sur le point de commencer :

Avant huit heures et demi je devais me lever ... sans bruit, sans la déranger... sans la réveiller  ( facile ! vous croyez! quand il s'agit de s'extirper  de la fourche  de cuisses énergiques ! ) ... 

Car la longue journée qu'elle me promit d'emblée, dès la veille même ! était sur le point de commencer ...

Je devais anticiper sur lessive, entretien des chaussures et bottes, repassage ... pour tout ce qui la concernait, car dès que Frank arriverait,

il attendrait le même zèle, la même efficacité de ma part pour son linge ... elle avait insisté là dessus... et sur l'heure de son petit déj. que je devais lui servir au lit vers onze heures ...

J'ai tout fait dans les temps, jusqu'au delà de dix heures, mais vers dix  heures  et demi Frank est arrivé, modifiant  la  fin du programme matinal ...

Ce que je peux dire, c'est qu'à la nouvelle  NUIT DE MIEL  succéda,  dès l'arrivée de Frank un vrai ...    JOUR  de  FIEL