Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
La petite plaisanterie : cet odieux 69 contraint et forcé avec Fido, qui me condamnait au désespoir ... qui n'en finissait plus !!... a quand même pris fin avant le soir ...
Il n'empêche qu'entre les deux supplices , les manoeuvres et intrigues à la con de cet abruti jaloux et rancunier de Fidel nous ont quand même valu, à lui comme à moi - mais moi je ne demandais rien à personne - pas loin de six heures d'humiliations spectaculaires :
Des photos ont été prises ...
... et envoyées à des intimes par les moyens électroniques adéquats ...
Bref on était bien dans le temps réel et quelqu'un a envoyé sur un téléphone
- celui d'Estrella - qui venait de diffuser, dans la sphère BDSM hispanique,
une photo de nous, à un tout petit groupe d'initiés ( mais très motivés )...
... un graphique destiné à rendre cette épreuve " realmente graciosa " ... y ... " verdaderamente de risa " ...
J'explique le schéma :
... en fait un dessin plutôt clair, bien fait, et qui nous montrait tels qu'on serait , pour peu que nos tourmentrices écoutent le dessinateur ... et trouvent des tréteaux : ...
... nous étions dessinés , Fido, le responsable de nos malheurs et moi,
SUSPENDUS au dessus du sol SUR DES TRETEAUX ...
AU LIEU D'ÊTRE LIGOTES l'un à l 'autre, de face mais... A MÊME LE SOL...
... Il y avait de tels tréteaux dans la salle de sport de l'appartement de Grégory... il fallut trouver une longue tringle ( une tringle à rideaux de bois fit l'affaire, parce que très fine ) que patiemment et en douceur Murielle , très excitée par l' "opération ", et aidé de Gloria, fit glisser entre le pubis de Fidel et mon cou... mon menton, son ventre et mon torse .. mon ventre et son torse...
...une tringle qui ressortit " tranquillement " entre mes cuisses et son cou...
un parcours complètement " externe " évidemment ...
une sorte de simulacre de broche, comme si nous n'étions que des volailles à rotir embrochées aux niveaux anal et buccal ...
Vous voyez le tableau ?
... même sans dessin ?
L'intérêt c'est qu'à l'inverse d'un " tête-bêche " au sol, ce n'était pas toujours le même qui était sous l'autre : la " broche " était " tournable manuellement " à volonté ... comme une broche tournante dans une rotisserie...
Une conséquente main d'oeuvre ( numériquement ) vint tourner la tringle et modifier à chaque fois notre position ... toujours parallèle au sol ! - on eut de la visite... disons ... toutes les vingt ou vingt cinq minutes...
Bien entendu, sur la fin, le cocu de Gloria attendit d'être positionné de nouveau au dessus de moi pour satisfaire le besoin pressant de vider sa vessie...
J'avais espéré y échapper... même si à chaque " visite de tournage " quelqu'un finissait par lancer :
- " Et surtout si vous voulez vous soulager , n'hésitez pas ! ... c'est pas bon de se retenir dans la position où vous êtes ! "...
... formule finalement usée ... et qui pourtant les faisait rire !
Les détails que je propose depuis bientôt trois articles, ont pour but de faire comprendre, puisque je n'offre pas d'image, l'inconfort... que dis je ? !... la durable et rare pénibilité de l'encagement imposé...
... l'extrême humiliation, qui, aussi, en est la conséquence la plus spectaculaire !
Mais trop de détails alors, dans le feu de la description ... et parfois de l'action, auraient pu nuire à mon récit, je le sais...
Aussi ai-je dû en taire, volontairement... quitte à y revenir si nécessaire...
Et maintenant c'est nécessaire !! ...
D'une part pour enfoncer le clou, pour confirmer la cruauté de l'ENCAGEMENT INITIAL, le défi physique que cela a constitué...
... et puis pour décrire l'évolution du BONDAGE " TÊTE-BÊCHE " qui suivit ( voir les deux ou trois précédents articles pour tout comprendre ! )
Dans la cage ?
J'ai sans doute alors, assez insisté sur la possible comparaison avec le litage des sardines en boite !... ce que je n'ai pas soulevé alors, c'est le " danger " que pouvait représenter le " malmenage " du bas-ventre de chacun de nous... car si dans la cage, qui nous accueillait debout, face à face, le fait d'être pratiquement " joues à joues " était terriblement perturbant ... énervant... désespérant, et je l'ai dit ... il y avait plus " délicat " que nos visages ... et c'était ... nos pauvres sexes ! - ou ce qu'il en reste ... néanmoins toujours très sensible ! -
Je rappelle que Fido , qui venait de se vider les couilles sans permission, malencontreusement ( voir l'article sur le sujet ) n'était pas, sexuellement, retourné dans sa CB... mais qu'il était saucissonné de partout avec le magnifique effet de couilles bleues qui était recherché par les auteur(e)s des entraves et noeuds nombreux :
... " blue balls " et verge ligotée ..." écrabouillée " - et pas sans ridicule - ... violacée elle aussi !!
... tel était le paysage pubien de l'affreux cocu ! ... qui me répéta vingt fois de faire attention ... de ne pas appuyer sur " tout ça " ! qu'il pensait que c'était sur le point d'exploser ... et autres arguments débiles , mais que j'atais à même de comprendre !!
Et voilà qu'il s'énerva contre la saillante dureté de ma cage ....
Car en ce qui me concerne... la même zone corporelle était au contraire... très protégée : Eh oui ! que voulez vous ?! ma Chastity Belt ne s'escamote pas comme ça ! ... et après un nouveau mois - que dis-je ?... cinq semaines d'abstinence... aucune Maîtresse responsable ne s'aviserait de me laisser seul - enfin ... " seul " !... là ! ... c'est un mot malheureux , j'en conviens ! et qui traduit mal ma situation de toute la période -...
Bref Fido avec ses génitoires maltaités, irrités, surexposés... craignait ce que pouvait lui causer comme dommage mon appareillage désespérant, saillant, tout " gonflé " ... gonflant ....
... et moi , j'avais peur de ses coups de bassin irrités , comme destinés à me dire méchamment " dégage ! " mais qui pouvaient accentuer rougeurs, lésions , échauffements, démangeaisons de la zone ...
Voilà tout ce qu'il ne m'a pas paru utile de dire sur le coup ... mais qui pourtant rendit encore ces moments là plus désespérants !!!
Et hors de la cage ?... dans ce ridicule " soixante neuf " qui amusait fort chacun des visiteurs, quand il nous découvrait ?
Et bien considérez que sur ces... zones et... leurs environs immédiat, aucune amélioration ne méritait d'être signalée :
Certes ce n'était plus le contact entre la carapace de ma CB et le pauvre ensemble de reproduction - inutile à cet usage - du cocu vindicatif qui nous posait problème ...
Car j'attire votre attention sur le fait qu'il avait maintenant ma CB - ET SON PITEUX CONTENU - logé... ... entre menton et cou !... de fait il me gueulait de ne pas " gesticuler tout le temps " ( comme si j'étais en situation de gesticuler ! )
... et moi ? ... c'était les ficelles torsadées, les rubans colorés, les maillons de chainettes qui maltraitaient et ornaient tout à la fois son scrotum, ses couilles brillantes comme des billes, tant leur peau était tendue ... tirée ... " sus huevos " - comme disent nos andalouses - violacés... oui ! c'est cette chair honteuse, malmenée , suante que j'avais sous la gorge ...
... des rubans roses, ridicules eyt mièvres, venaient me chatouiller la bouche ... jusqu'à m'en faire éternuer ... vous imaginez la scène ?
Mais je l'ai dit : finalement côté odeur , pour moi ... ce n'était pas plus désagréable , loin de là que quand nous n'avions ni l'un ni l'autre " la tête à l'envers "... et ses insultes... ses colères ... tombaient carrément " à plat " ...
Vu de " ce " côté - plaisante expression ! - ... c'était un peu " parle à mon cul ! " ... non ??...
... ma tête, elle , n'était pas " malade " ... juste rouge ... ou verte ... comme vous voulez !... mais de honte !
Dans la cage , aussi serrés que sardines en boites - voir récits d'hier - nous sommes restés plus de deux heures... vous imaginez ?
Je le précise en réponse à une question ce matin : on ne nous a pas interdit de parler formellement ... Etait ce vraiment nécessaire ? nos visages étaient si près l'un de l'autre , que, je le rappelle encore, je sentais son haleine rance , son souffle chargé de miasmes de sperme et de parfums de cul, vestiges olfactifs des suçages et léchages exigés par son Epouse et Maîtresse dans les minutes précédant notre condamnation ...
Parler dans ses conditions ? ... moi je n'avais rien à lui dire, sinon que c'est par sa faute qu'on en était là et que j'étais partagé entre un peu plus de haine à son égard ... et la satisfaction que ses accusations mensongères se retournent ( aussi) contre lui ...
J'aurais été en mesure d'apprécier vraiment la situation... reconnaissons qu'elle avait quelque chose de comique ... et qui aurait justifié de ma part un propos du genre : " Tu vois , avec tes conneries ou ça nous mène ? ! " mais celles et ceux qui me lisent attentivement savent que ce sale type a dès le début pris l'ascendant sur moi, qu'il me domine, que je le crains !
Et si cette phrase je l'ai pensé très fort, je n'ai rien dit de tel ...
Non ! ce que je pouvais faire de mieux c'était " rigoler " sous cape ... et je vous jure que j'aurais juste bien ri ... si je n'avais pas été dans cette situation infernale , comme collé à cet individu détestable ! ... méprisable ...
Lui a commencé par dire :
- " Tu vas me payer ça bâtard ! "
... comme si j'étais pour quelque chose dans cette sale et ridicule situation !... dans notre lamentable posture ! ...
... et j'ai été content qu'il n'en dise pas plus à ce moment là ... et je ne risquais pas de lui répondre ... pour les raisons principales déjà évoquées ... et tant l'haleine qui se diffusait dans notre espace limité était écoeurante !
Vous imaginez deux heures ainsi ? debout ! contraints à l'immobilité !!
Le pire dans l'encagement, surtout lorsqu'il est aussi inconfortable ( je l'avais évoqué il y a longtemps avec Christophe ) c'est quand on ne sait pa combien de temps ça va durer !
Une ... trois ... six heures ? ... davantage ? essayez d'imaginer l'horrible perspective...
En fait l'autre débile ne l'a pas supporté : au bout d'une heure ... un peu moins ? ... vraisemblablement plus ... il s'est mis à gueuler ... mais plus contre moi ... non ! Il a appellé... sa Femme ... il a hurlé ... imploré pitié ... demandé de l'aide ... du secours ...
Cela a duré un bon moment ... Nous n'entendions rien dans l'appartement , et je croyais bien que les Maîtres étaient partis... sortis !
Et les gueulantes de mon voisin - oh combien proche voisin !! - qui avaient commencé par m'agacer , m'importuner ( en menaçant la sensibilité de mes tympans... en diffusant son haleine ) finirent par m'affoler à mon tour ...
... il avait peur ... il montrait sa peur ... sa respiration devenait de plus en plus sifflante ... Fidel, " conditionné " par ce qu'on subissait, commençait à développer une crise d'asthme... et sa panique augmentait ... il n'avait pas son petit vapo salvateur à portée de la main !!
J'étais sur le point de gueuler à mon tour quand la porte s'est ouverte !
C'était sa Femme !
On ne peut pas dire qu'elle ait accordé beaucoup de crédit au malaise de son bonhomme ! Elle l'a sorti de la cage en le tirant brutalement par son collier d'esclave ... ce qui le fit siffler encore plus ... elle lui tendit son inhalateur et, de l'autre main , lui asséna deux vigoureux coup de cravache ...
- " C'est pas bientôt fini tout ce bazar ?!... tu veux me faire honte ou quoi ?!! "
... lui lança t elle en espagnol . Et elle lui refila deux coup de cravache ...
Il avait glissé à ses pieds , affaissé il lui demandait pardon ...
... il récupéra assez vite une respiration à peu près normale sous l'effet de son médicament ... Dès lors il pleurnicha ... redemanda pardon ... geignit encore ... il n'avait visiblement plus qu'un inquiétude , c'était que Gloria ne le remette dans la cage ...
Moi même j'avoue que je le craignais : Je n'étais pas au paradis, mais j'avais du moins tout l'espace... le peu d'espace... la cage exigüe , pour moi seul ...
... je n'imaginais pas que la punition allait s'arrêter là ... mais du moins, la tension nerveuse qui avait sans doute précipité ce con dans sa crise n'était plus aussi vive ...
Non ! la punition n'allait pas s'arrêter là : A la suite de Gloria , Estrella arriva ... puis l'amant de la première ... ou peut être des deux ( il semblait aussi familier et entreprenant avec l'une qu'avec l'autre ... il donnait son avis sur tout ... ).
Ces trois là discutèrent, flirtèrent et plaisantèrent une dizaine de minutes peut être et quand il fut acquis que le cocu avait retrouvé " la santé " Estrella proposa , pour mon malheur, aussi de le " remettre en cage " ...
Il retourna se jeter aux pieds de sa Femme, supplia, se couvrit un peu plus de ridicule ... mais finit par la fléchir ( craignait elle, plus qu'elle ne l'avait laissé paraître initialement , les conséquences de l'asthme de Fido ? ) ...
C'est Estrella, qui n'est jamais pour l'adoucissement des punitions - encore moins pour les remises de peine - qui trouva la solution :
... elle qui avait jubilé qu'on soit ainsi collés l'un à l'autre... sachant de plus combien peu on s'apprécie ...
... elle qui, enthousiaste, était allée chercher les matelas de mousse réduisant encore notre espace...
Elle avait LA solution : Nous attacher l'un à l'autre, mais hors de la cage, face à face , liés sous les aisselles , aux poignets, aux chevilles , derrière le genou ...
... l'amant, qui avait de la pratique, côté bondage, se proposa et commença à montrer son savoir faire ... mais Gloria, que cela amusait beaucoup, eut d'un coup une autre idée :
- " Et si on en profitait pour leur infliger un soixante neuf ! " ... et elle éclata de rire ... bientôt suivie par son amie ...
- " Ah moi je veux bien tout ce que vous voulez mes chattes ! ... mais faut me le dire rapidement ! " ...
Il s'était arrêté... elles interprétèrent ce fait comme un assentiment ... et le firent savoir :
- " 69 !!... 69 !! ... 69 !! scandèrent elles ... flanc contre flanc ... se tenant par l'épaule ! rieuses !... complices !
L'amant plaisanta sur le fait qu'il était de bonne composition et recommença...
Fidel pleurnicha pendant qu'on lui mettait " le nez dans mon cul "... et réciproquement ...
Non ! moi je n'ai pas pleurniché ! ...
J'avais juste la nausée ! ... encore que je me suis vite dit qu'au fond l'odeur n'était pas plus redoutable que celle émanant de sa bouche vingt minutes plus tôt !!!
Quand Murielle et Estrella sont entrées dans la salle à manger où, par la faute de son cocu calomniateur, lui aussi présent ... oh combien !! ... Gloria était sur le point de m'envoyer dans la détestable cage... mon supplice ne fit que s'amplifier :
... je connaissais l'attrait d'Estrella pour les brimades et tourments infligés aux soumis , y compris quand le soumis était son cocu Nando... et je savais que si Gloria, proposant l'encagement avant même l'arrivée de ses deux amies, faisait miroiter cette possibilité, Estrella, absente lors de ma brève mise en cage précédente, verrait là l'occasion, à ne pas manquer d'un spectacle amusant, allié à une brimade " intéressante "...
Bref je n'avais rien à attendre d'elle, même si j'avais remarqué qu'elle n'accordait pas toujours un grand crédit aux dires de Fidel, mari cocu de son amie...
Et très vite, par une brève intervention, dès que le salaud eut répété ses accusations mensongères ( voir article précédent ) elle se garda bien de me surprendre favorablement :
" Oui ! mon comportement méritait largement un tour de quelques heures dans la cage " c'était son point de vue et sa feinte indignation me condamnait encore un peu plus ...
Fido l'abruti avait du mal à cacher sa joie : une fois de plus, par un mensonge, il allait me faire souffrir ...
Mais il y avait aussi Murielle ... et j'eus ma première satisfaction de la séquence, en l'entendant mettre en doute la version de l'hypocrite mari asservi et néanmoins sadique !
Selon elle, qui me connaissait bien ! ...( elle insista à deux reprises sur l'information , la remarque ) ... j'avais des défauts, j'étais maladroit, pas toujours bien organisé dans l'exercice de mes tâches ... mais je n'étais
" EVIDEMMENT PAS UN FEIGNANT... UN TIRE AU FLANC "
- " Tu mets donc en doute la version de Fido ? " observa brutalement son Epouse ...
Murielle confirma ...
Lui balbutia, rougit, se défendit... maladroitement ... il ne s'attendait visiblement pas à ça ...
Moi je repris espoir ... je refis surface ... pas forcément très adroitement non plus ...
Mais enfin une discussion était née ... je n'étais pas condamné d'emblée !
Bref ! je vous passe les détails, mais Murielle, finalement avait bien modifié le cours des choses ...
Gloria resta cependant persuadé que j'" en foutais pas lourd " ( elle avait parfois, comme ça , en français des expressions d'un autre âge ! ) ... Murielle voulait une punition pour le mensonge, ou pour le moins l'exagération de Fidel...
Et Estrella qui avait envie de voir la cage remplie , mais qui, d'autre part, prenait garde à ne pas contredire sa " complice " Murielle ( complicité qui irritait parfois Gloria, l'autre amie ) Estrella était vaguement embarrassé ...
C'est de cet embarras que vint la solution... Estrella défendit l'idée que nous étions , lui et moi " pas très clair... ni l'un ni l'autre " ... " que ( nous )avions sans doute tous les deux des choses à nous reprocher " ...
Et elle trouva même le compromis qui satisfit ses deux amies :
NOUS ENCAGER TOUS LES DEUX !!! ...
Non ! pas tour à tour ! en même temps ! L'idée quand elle fut émise , fit rire d'abord Murielle ... puis Gloria ...
... et finalement l'auteure de la proposition elle-même, qui vit la bonne humeur de ses amies et se dit que c'était en effet assez rigolo ...
Ce qui faisait rire aussi ces Dames, c'était la tête de ce sale con de tricheur !...
... moi même , qui l'observait en coin, et qui ne trouvait pas la solution proposée réconfortante, bien au contraire - comment tenir à deux dans un espace déjà étroit pour une seule victime - j'étais quand même bien tenté de me réjouir de ce qui lui tombait sur la gueule ... pour avoir voulu la ramener une fois de plus .
La mise en cage fut particulièrement pénible et humiliante MAIS POUR NOUS DEUX ( et cela, ça n'avait pas de prix ) ...
Murielle chercha d'abord à nous faire rentrer - et tenir - côte à côte... puis dos à dos, fesses contre fesses quoi ! ( je rappelle que la cage est haute d'un peu plus d'un mètre quatre ... " ne fait que " soixante sept centimètres de large pour trente cinq de profondeur !
Mais les deux andalouses ne trouvèrent pas cela " assez marrant " ... Finalement c'est face à face qu'on s'est retrouvé !
Fidel mesurant un mètre quatre vingt et moi un mètre soixante dix sept ! IL S'AGISSAIT D'UN VRAI FACE à FACE ! Les trois centimètres d'infériorité que j'avais sur lui mettait - malheureusement - sa bouche juste au niveau de mon nez ...
Or l'haleine du cocu de Gloria, qui est rarement de première fraicheur était alourdie par les relents de sperme de son amant du moment, sperme qu'il avait dû puiser un peu plus tôt le matin, à la demande du couple quand il avait été convoqué sur le lit de sa Femme... il s'y mélait un fumet d'urine et de raie culière ... à tout prendre moins rebutant que la véritable haleine de cette enflure ...
Voilà comment l'encagement matinal prit tournure hier ... sans que nous sachions l'un et l'autre combien de temps durerait le supplice !
Pire : Estrella pensa que la proximité des barreaux pouvait finir par blesser nos dos ( cela ne la préoccupait pas vraiment, bien sur ! ... c'était de l'ironie et surtout un moyen de nous " rapprocher d'avantage " encore, pour notre inconfort et notre exaspération... à la faveur de la solution qu'elle proposa et qui fut adopté dans la bonne humeur et les éclats de rire par les deux autres tortionnaires ...
La solution ? elles glissèrent dans le dos de chacun, entre nos corps et les tubulures de la cage , deux matelas de mousse, qui certes isolèrent nos corps du métal blessant ... mais en réduisant de quelques cemtimètres encore notre " espace vital " ...
Nous aurions été lèvres à lèvres en cas d'égalité totale de taille ...
Et toujours aucune information sur la durée de nos tourments !!!
Allons ! sans perdre plus de temps ... Figurez vous qu'hier matin, l'incroyable Fidel est allé se plaindre à sa Femme :
... il ne " voulait plus " faire les tâches ménagères avec moi !! Je traine ... je lui laisse faire l'essentiel... quand je fais les choses je les fais mal, bien souvent ... et il lui arrive de repasser derrière moi !!! ... etc ...
Voilà tout ce que j'ai pu entendre d'insensé ! ... car évidemment quand Gloria a recueilli le propos initial de son cocu, en mon absence , elle m'a convoqué ... Et il a eu le culot de reproduire les mêmes âneries scandaleuses ! ... en ma présence !
Ce type ne recule devant rien, pour me faire avoir des ennuis décidément !! Il a pensé que sa Femme le croirait, certainement .... que je serais tellement surpris de telles contre-vérités que je serais incapable de me défendre de manière crédible ... que ce serait parole contre parole ... que sa Femme lui accorderait le bénéfice du doute ... et de l'indignation ( car il jouait bien ce chien : il avait l'air vraiment très irrité contre moi ... indigné ! ... et cela me déstabilisait encore plus ... sa Femme me scrutait de son beau regard affolant et je perdais le peu de moyens que j'avais encore, face ào des mensonges éhontés comme ceux là ...
Je suis sûr que je commençais à avoir l'air du coupable parfait...
Sûr que Gloria allait me proposer un séjour dans la haute cage métallique étroite ... pour me " faire réfléchir à ma conduite " ...
...c'est ce qu'elle avait dit... et infligé !... à Nando la veille, pour un chemisier mal repassé assorti d' une réponse, qu'elle avait jugé insolente, à son reproche.
Gloria adore cette cage d'un mètre quatre vingt de haut où l'on ne tient que debout tant elle est étroite... exigüe ... elle n'en avait jamais vu de semblable et a complimenté Grégory sur cet équipement quand elle l'a découvert chez lui !
Puis elle a voulu s'en servir !
Je ne doutais donc plus de ce qui m'attendait ... tant elle semblait avoir pris son parti...
Mais voilà que Maîtresse Murielle est arrivée avec Estrella !
Et de nouvelles tâches urgentes m'obligent à vous proposer la fin de cette simple mais édifiante historiette ... pour un peu plus tard, dans un autre épisode ... mais au moins le décor est il planté et les personnages présentés .
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