asserviparmonex

  Ce titre me surprend moi-même : je veux dire par là que , me connaissant mieux que quiconque, quand même ! ... je n'imaginais pas  pouvoir proposer une  telle présentation pour un de mes articles  !!

C'est que je n'ignore pas  que ma " bisexualité  " est très relative , ténue même ! et qu'elle repose avant tout sur mon intérêt

pour la Domination/soumission

 En deux mots : je peux bander ( quand je ne suis pas sous CB ) parce qu'un homme me fait obéir,m'humilie, me punit,

 mais c'est inférieur comme sensation , comme émotion ... à ce qui me vient , dans le même registre, d'une ou de

 Femme(s) - enfin souvent cela " marche " mieux, quand la présence d'une Femme , son regard ... viennent

majorer  la chose - ... et bien tout cet équilibre théorique est remis en cause, voire  balayé quand  l'homme considéré est

 Joseph !!!

 Maître Joseph... ME FAIT BANDER !  c'est ça !...

 et la preuve que cela N'est PAS QUE la conséquence du fait qu'il me soumet, m'humilie, me punit parfois ! ... c'est précisément qu'il ne  me  punit pas si souvent !...   ET QUE, PAR AILLEURS JE VAIS BANDER  d'AVOIR simplement A LE SUCER... à lécher sa raie  , à darder ma langue dans son anus  ...

 Oui ! ...reconnaitre cela, écrire cela... me provoque encore , après coup un début d'érection , spontané ... comme cela se passe en présence d'une ou de  Femme(s) , ou en évoquant le souvenir de ce qu'elles m'ont  " fait   subir " 

De cette place si  particulière qu'occupe mon puissant Maître noir dans mon panthéon intime, j'en ai eu une nouvelle preuve  lors de mon arrivée au Gynécée :

Pour une raison vaguement obscure, je suis rentré bien avant Murielle, dans la grande chambre ... sa chambre  - il parait qu'elle a rencontré son cocu, le vrai, sur le perron et qu'il s'est jeté à ses pieds, idolâtre comme jamais ... heureux, bien sûr de la revoir après tant de semaines ! -

...dans sa chambre , Murielle m'avait ordonné de monter ses deux grandes valises ... Joseph était dans la salle de bains voisine , nu , assis sur le rebord de la baignoire avec ce cher Cucky entre les jambes  en train de lui  tailler les ongles des orteils ...

- " Tu es là  toi ! ... vous êtes donc arrivés  ! ... Approche ! "

... me lança -t-il lors de mon  passage devant la porte  !

- " Ta Maîtresse est là aussi je suppose ?  ".... il n'attendit pas de réponse..   il ordonna à Cucky  d'accélérer la préparation de son bain et m'obligea à venir le sucer ... quand je dis m' " obligea "... en fait  je ressentis une énorme joie à entendre cet ordre... je me précipitai entre ses cuisses  noires, puissantes et musclées ... sa verge longue  et épaisse n'était déjà plus  au repos ... son gros gland violacé  commençait à  émerger de la couronne de peau  du prépuce...

 il sentait le sperme ! ... il avait sans doute " besogné " Jenna, ou Madame ... ou une autre ... au cours de l'heure précédente , sa bite avait aussi le goût ... pas seulement l'odeur du sperme    ...  

Je suis rentré " sans encombre ", sans déconvenue supplémentaire  après mon éjac intempestive dans la remise du chausseur ( voir articles précédents )...

Je veux dire qu'il n'y a pas eu de découverte de l'accident, de ses conséquences - CB poisseuse, malgré le coup d'éponge, et peut être surtout odeur  de sperme  -

... Cela je le craignais jusqu'à l'obsession ! ... et pendant tout le chemin de retour ! ... Il faut dire que  quand j'ai sorti ma carte de crédit, j'ai constaté que même mes mains sentaient le sperme : j'avais sûrement touché ma Chastity Belt au moment de la remise en ordre  du paquet sous le pantalon  !

Il faut savoir, pour comprendre ma peur, que quand Murielle est là , qu'elle m'appelle après des heures d'absence, il lui arrive d'approcher son beau et sensuel visage de mon pubis, de ma CB... et de renifler  ( cela me met chaque fois dans un état !!... ) à la recherche d'une odeur suspecte et  qui me condamnerait...

D'habitude cela se termine, au pire par une  baffe, plus ou moins énergique, quand des gouttes , ou surtout un filet de liquide séminal perle ou pend au bout de mon gland encagé... ou alors  par un froncement de nez et l'ordre d'aller me laver :

...  " Va laver ta CB et ton cul avant de t'occuper de ta Maîtresse  ! "

 c'est comme ça qu'elle exprime ce qui découle de  son constat , après la gifle, dans le pire des cas... - elle ne dit jamais " va laver ton sexe ", pour elle, mon sexe n'existe pas ! -...

... mais dans ma situation du moment , vous vous en doutez,  je ne pouvais que redouter une telle épreuve de reniflage à mon retour  chez Grégory... 

J'avais d'abord espéré qu'elle ne serait pas là , j'en étais presque sûr même : elle n'avait aucune raison d'être là à cette heure ... et cela  m'aurait  laissé  le temps de faire disparaitre toute trace compromettante  ... aussi mon coeur  a-t-il battu plus vite quand j'ai entendu sa voix s'adressant à son amie Estrella ...

Heureusement elles se sont concentrées sur les  achats d'Estrella...    essayages,  papotages, commentaires  !... et j'ai eu le temps d'aller  faire une toilette suffisante pour effacer les preuves ! 

Je n'avais plus alors que l'attente de notre retour au Gynécée comme préoccupation , car ma Maîtresse, faut il le rappeler  retournait chez notre Maître - avec moi évidemment - le lendemain ... 

J'ai eu une dernière nuit très agitée, au service permanent des amants terribles :

Murielle et " son Greg "  ont baisé une bonne partie de la nuit , et j'ai avalé pas mal de sperme , prélevé tantôt sur le merveilleux corps de ma Maîtresse , tantôt dans le vagin, tantôt lapé et aspiré au creux de   l'excitante et odorante  raie, puis  dans le cratère anal de ma Maîtresse qui n'arrêtait pas de jouir !! ...

Du sperme, de la mouille à profusion... des reliquats crémeux de rectum... de l'urine  - ils utilisèrent une fois chacun ma bouche pour se soulager, désireux de ne pas quitter une seconde la chambre -...  de la sueur !

Je n'avais pas mangé depuis une douzaine d'heures au début de cette nuit torride, mais mon palais a été servi en substances énivrantes ! 

 Elle jouissait, encore et encore ... et pourtant répétait inlassablement : 

" encule moi ! ... encule moi chéri !... encore ! défonce moi ! c'est si bon avec toi !!!   " 

Grégory , qui ne perdait pas  de vue son objectif  qui est , je le rappelle à celles et ceux qui me lisent depuis peu, d'amener ma Maîtresse  à  le choisir définitivement, lui ... et à larguer Joseph ... Grégory lui sortit le grand jeu, encore plus que d'habitude !

Son appétit sexuel considérable  le pousse à la performance permanente, mais là, comme à chaque fois que Murielle est sur le point de rejoindre Maître Joseph, il y avait cette sourde rivalité de mâles !!

J'en fis les frais une fois de plus :

Grégory sait que sa perversité, sa  cruauté, son sadisme latent, sa façon de traiter les soumis ... sont des  atouts vis à vis de Murielle, qui ne trouve pas cela chez Maître Joseph alors que tout cela l' excite profondément ...

Il me maltraita et m'humilia plus encore que de coutume ...

 il me sodomisa , me fit sucer sa bite sortant de mon fondement comme de celui de ma Maîtresse ... me fit lécher et sucer longuement, un à un leurs  vingt orteils, pendant qu'ils flirtaient , riaient, buvaient , faisaient une collation , reprenaient des forces, fumaient ... il savait que chaque fois qu'elle riait  et l'embrassait suite  à une de ses méchancetés , de ses humiliations à mon égard , il marquait des points sur son rival  !

Et il se surpassa ! ...

- se curant une narine d'un doigt et me le donnant à sucer son ongle orné de sa crotte de nez...

- tapotant sa cigarette au dessus de ma bouche ouverte pour  y faire tomber sa cendre ...

- utilisant encore ma bouche, comme crachoir cette fois...

-  me faisant avancer la tête jusqu'à moins de dix centimètres de ses lèvres et me rotant bruyamment au visage...

- me posant son slip sur la tête, tel un bonnet, entre-jambes souillé, taché de brun, sur le nez , pendant qu'à genou  au pied du lit j'assistais à leurs ébats   

Il m'imposa même de le supplier de bien vouloir oter ma CB, de me permettre d'éjaculer... pour ça je dus ramper à leurs pieds , les embrasser tête au sol et cul levé ... en vain évidemment : cela amusait d'autant plus  Murielle de me voir m'humilier ainsi pour quelque chose qu'elle savait qu'il ne m'accorderait pas ... cela l'amusait et l'excitait  d'autant qu'elle ignorait  ma faute de la veille  et pensait que j'entamais ma sixième semaine d'abstinence  ! je les entendais pendant que j'embrassais leurs pieds après les avoie supplié :

- " T'en penses quoi chéri ? moi je suis pas très chaud pour qu'il crache ses glaires ! après pendant au moins vingt quatre heures , il travaille moins bien  tu sais ! "  disait mon Adorée 

- " Y'a pas urgence ! on verra tout à l'heure si on est content de lui  ! on n'est pas à sa disposition  " ... et il me repoussait du pied ... 

Parfois c'est elle qui profitant de mon cul levé vers eux  me faisait

" dégager "  en me donnant un coup de paddle sur les fesses ... 

Quand je recommençais, sur ordre, à supplier deux heures plus tard ... ils avaient échangé leurs rôles, mais le résultat était le même ! ... une fois Murielle lança même , hilare  :

- " D'ailleurs je ne sais même pas ce qu'on a foutu de la clé  ! ... alors !  " 

Bref une nuit mémorable  et qui ébranla peut être Murielle  quant à l'issue finale du " match "  Joseph/ Grégory!

 ... comme vous savez où va ma préférence ... vous comprendrez que cette nuit ne m'a pas surtout vu  épuisé, mais inquiet .          

La fin du précédent article dit clairement dans quelle mauvaise affaire je suis, après le lamentable  et honteux déclenchement du piteux orgasme  mentionné tout à l'heure- Une "défaillance " voulue et obtenue ( et de quelle manière !! )  en un rien de temps par la vendeuse  !!

Après quoi mes deux tortionnaires,  hilares,mais surtout , on s'en doute la rousse Armelle, ne m'aura pas fait attendre longtemps l'affirmation que " faute d'être très gentil et compréhensif... et réceptif aux arguments  développés ( je ) risquais de gros soucis et bien des déconvenues " ...

Evidemment - car le temps pressait... je devais rapidement rejoindre ma Maîtresse hors de l'antre infernal - tout en m'expliquant " ce qui pourrait ... ce qui allait  inévitablement  se passer si (je) n'accédais pas à ce qu' (elle)  avait décidé " elle finissait de mouiller et brosser  le haut de mon pantalon...

-  " Heureusement que tu es ici pour gommer ou tenter de  faire disparaitre des taches ! ... un peu d'eau supplémentaire sur tes cochonneries de sale branleur  et  ' on ' n'y verra  rien chez toi  (  inévitables et lacérants ricanements de sa part ) ... " enfin ! faut voir hein Chloé ? imagine qu'il nous obéisse pas ce porc ! ... ou pas assez vite !... forcément la photo que tu viens de prendre avec mon téléphone , on l'envoie avec une belle légende à sa Maîtresse, pas vrai ? " 

Chloé rigolait avec la même joie mauvaise que la vendeuse ... j'avais crié - mais en vain - quand  Arlette avait demandé  à la stagiaire d'immortaliser ma défaillance :

- " Prends sa bite ... fait aussi un gros plan qu'on voit bien que son poireau dégorge sous la CB ! " 

Et Chloé l'avait fait , cadrant dans un premier temps de mon crane au milieu de mes cuisses, puis terminant par un gros plan de mon sexe  " dégorgeant " 

- " Son poireau !! ahaha ! tu rigoles Mamelle ! c'est même pas un bébé  endive  ! "

 Nouvel accès d'hilarité  des deux filles ... Chloé attendit d'avoir repris son beau visage lisse pour sortir avec le nouveau café de ma Maîtresse ... elle était, en même temps , chargée de dire qu'à défaut d'être élégant et de paraître soigné ... au moins  je serais bientôt propre ...

Resté seul avec Armelle , je reçus son numéro de téléphone , celui de l'appareil dans lequel étaient la preuve de  mon forfait ...

Je dû lui donner l'adresse électronique de Murielle...      ne pas m'exécuter séance tenant me valut une gifle ... puis une autre quand je tentai de lui faire croire que je ne la connaissais pas ... puis que je ne m'en souvenais plus  !

- " Tu as de la chance  de devoir rejoindre les autres, sale chien... je peux te garantir que mes claques sont un peu plus convaincantes en général ! ... mais comme ça  tu vois qu'il ne t'arrivera rien avec ta Maîtresse si tu es gentil avec moi... "

Elle acheva de sortir de mon pantalon ma chemise , non sans avoir tiré une nouvelle fois sur ma CB avant de refermer ma braguette , elle était collée contre moi pour ce faire , et je crois bien qu'elle aurait  pu me faire juter de nouveau si elle avait  insisté ... son regard , sa chaleur , son parfum, son haleine  et les traces de ses doigts sur mes joues, bien que  " légères  " suffirent à émouvoir ma pauvre endive , ratatiné depuis l'éjaculation !