Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Dans la réserve du chausseur il n'y avait pas comme la veille ( voir articles précédents ) Chloé, la stagiaire... pas le garçon non plus, mais une rousse sensuelle et potelée déjà aperçue pourtant moins de vingt quatre heures plus tôt et que Madame appela Arlette ... Elle cherchait un modèle ou deux et une pointure , comme toute vendeuse venant là .
Et elle fut ravie de me voir !! ... C'est que la veille, elle était arrivée juste à la fin du petit numéro de Chloé, montant pieds nus sur mon visage et Madame tapant dans les mains pour signifier la fin de la récréation, je n'avais guère perçu d'elle qu'une jolie moue de vive déception ...
Aussi son visage poupin criblé de tâches de rousseur s'éclaira-t-il cette
fois d'un sourire emprunt d'enthousiasme juvénile ... Elle descendit très vite de son petit escabeau à trois marches , posa son pied gauche, vite déchaussé, sur la plus haute de ces marches et lança, impérative :
- " Viens l'embrasser ! "
... son regard ne me lachai pas ... elle ne s'adressait évidemment pas à Nando qu'elle ne connaissait pas, même si elle l'avait bien dévisagé avec la même gourmandise, lors de son entrée derrière moi...
J'ai regardé la vendeuse que les autres appelaient Madame, celle qui venait de nous mener là, et comme elle n'a rien dit derrière son petit sourire, j'ai obéi à Arlette .
- " Lèche maintenant ! chien ! "
lança t-elle- ensuite plus durement, mais ricanante... en me présentant son coup de pied et ses orteils légèrement levés . Sa position , pied posé sur la plus haute des trois marches, en lui faisant lever haut la jambe, distendait, déformait sa jupe plutôt courte ... donnant au tissu noir une apparence de bouche grimaçante.
Une jupe qui la gênait ? ... qu'à cela ne tienne !!
... elle la releva donc sans façon sur ses hanches grassouillettes, révélant une jolie culotte en dentelle, mais à la blancheur un peu défraichie... L'avant de ses cuisses était tapissé d'une multitude de taches de son,
" complices " de sa belle crinière rousse... et du plus sensuel effet sur sa peau presque laiteuse .
Et en me tendant son pied , en faisant ainsi claquer vers moi ... pour moi, des mots durs, elle provoqua le surcroit de tension, d'excitation inavouable... mais tension génératrice de gonflement inéluctable... et de douleur sexuelle :
Oui ! mon pauvre organe timidement gonflé de son fait, me faisait mal , à l'étroit dans la désespérante cage !...
- d'autant que sur proposition d'Estrella ( je dirai pourquoi ) ... l'anneau de la racine de mon scrotum venait, le matin même, de perdre une taille, pour passer à l'avant dernier des diamètres proposé par le fabricant... limitant d'autant l'espace dérisoire dans la carapace.
Pendant ce temps , je m'en aperçus d'un coup, Madame obtenait, à deux pas de là, le même service de la part de Nando ... et cela fera l'objet aussi de ma prochaine communication .
Non ! nous n'avons quand même pas refait, avec Estrella et son mari, le parcours intégral de la veille avec Vanina !!
Cela eut bien constitué comme une forme d'atrocité indicible !... mais au fond : y a t il des limites dans l'intensité des humiliations subies ?
Et surtout, ça n'avait guère de sens de redouter ce que j'imaginais " le pire " ! ... D'abord parce que Murielle et l'exhubérante black ne sont pas le moins du monde amies ( Faut il rappeler que si Vanina peut me " réquisitionner " aussi cavalièrement, comme elle semble avoir pris le pli de le faire , toutes les cinq ou six semaines maintenant , on le doit à la complicité passive... à l'accord tacite de Grégory ? )...
Lui, " Greg "... et Vanina ... et son petit gang de Filles effrontées des cités, se connaissent et s'apprécient !...
... lui s'amuse des pratiques ciblées de l'insolent groupe féminin , de sa façon d'opérer et de terroriser les " pauvres riches " ..
.Lui ! J'en suis maintenant convaincu , les fait bénéficier de son carnet d'adresses bien rempli en notables masochistes " à plumer "
Murielle, pour sa part, a découvert la chose quand elle a renoué avec Grégory . Au début, elle s'en est amusée , a haussé les épaules ... a souri ...
... mais elle ne connait physiquement ni Vanina ni ses amies ... le constat peut être " retourné " : l'exhubérante noire ne pourrait reconnaître ma Maîtresse dans la rue .
Bref ! Vanina n'est pas allé non plus raconter par le menu, les endroits où elle me traine : je paye tribut tout en l'amusant , et puis c'est tout ....
Se souvient elle en détail de ce que nous faisons ?... de ce qu'elle me fait faire ? je ne le parierai pas ! en tous cas pas au-delà de quelques jours...
Non ! Murielle, qui ce jour là n'était pas disponible, pour accompagner Estrella, ce qui avait d'abord été prévu je crois, a fourni quelques adresses à l'espagnole ( j'ai reconnu quelques magasins qu'elle aime bien ... où je suis allé, déjà, avec elle ) ... mais pour le reste nous avons visité les endroits à la mode ... ceux où les " marques " sont reines, ceux aussi du luxe évident ... ( ce qui n'est pas forcément la même chose )
Et certains bien sûr sont écumés par Vanina ... systématiquement ! ...
.... mais à coup sûr il n'y avait aucun calcul préalable, de la part de la coquette Estrella ...
Heureusement, car c'est bien cela qui fut le plus dur ! je le redis ... Repasser là où Vanina m'avait foutu la honte ... et de quelle manière !...ET MOINS DE VINGT QUATRE HEURES PLUS TÔT !
L' " essorage " de cartes de paiement est pratiquée de façon bien plus ludique et bien plus raffinée par la belle noire ! ... ce n'est même pas une question de montants de factures ...
... le " money-slavery " est un art qui ne s'improvise pas !
Mais bon ! Estrella a ses qualités ... et sait parfaitement ce qu'elle veut ou ne veut pas... Elle cherchait un tailleur et quelques dessous froufroutants... ... et, point commun avec Vanina la veille , dans ce but, les effeuillages en cabines furent fréquents !...
Ce fut, pour Nando et moi, pour notre plus grand plaisir esthétique... et aussi une émotion avec effet physique , difficilement compatible hélas avec le port de Chastity Belt ...
Oui ! Nando comme moi sommes en permanence affublés de ce désespérant appareillage !... faut il le rappeler ? ...
Estrella ne se priva pas en tous cas de nous aguicher " sauvagement " tout au long des essayages, nous introduisant chaque fois, son mari et moi, dans une cabine où notre point de vue ne lui fut au vrai d'aucun secours !...
Je le dis et le prouve : chaque fois que son cocu et moi avons, sur ordre, fait connaître un avis, une préférence, le choix final de la belle s'est porté sur une autre merveille...
Il est vrai que tout était si beau, et le contenu si merveilleux que nous ne risquions, ni lui ni moi, de faire une poussée d'amour propre inconsidéré...
Mais nous avions le bonheur d'aider , à tour de rôle - à peu près équitablement - notre Maîtresse...
... à se dévêtir,
... à passer le vêtement visé ,
... à recommencer avec un autre.
Et la sensation de chaleur, dans les carrés successifs destinés aux essayages, nous fut parfaitement commune.
Estrella nous accorda même à chacun le bonheur de lécher, dans l'ambiance feutrée de la même boutique et pendant quelques dizaines de secondes, qui ses lèvres vaginales, sa vulve... qui son anus , sa raie profonde... et nous la remerciâmes avec effusion pour ce divin cadeau :
j'ai simplement été affecté à l'adoration, au rafraîchissement du sexe ... parce que la cruelle sait que c'est ce qui manque le plus à son pauvre mari... cette possibilité d'honorer, soigner , adorer , savourer ce vagin dans lequel la verge du cocu qu'il est, une fois pour toutes, n'a plus, n'a pas ... la possibilité d'entrer...
Pour le reste, Estrella qui a vite décelé chez moi , un attrait déraisonnable et équivalent pour les deux puits d'amour les plus intimes de la Féminité... savait que j'étais le plus heureux des larbins intimes ... sous un orifice ou sous un autre .
Et d'ailleurs, comme à ce moment là , elle avait déjà passablement transpiré ... j'eus les saveurs du sexe, la touffeur tiédasse... ET AUSSI les parfums lourds de la rosette , déplacés par la langue de son si docile et idolâtre mari, parvenant en vagues d'effluves jusqu'à mon visage ravi !!
Oui ! cet après midi là, elle nous a réparti les rôles avec malignité : au nom de la frustration incessante à perpétuer chez l'époux asservi !!
Vint quand même le moment où, lui et moi ne fûmes pas ... mais alors pas du tout !... à égalité :
C'est quand nous entrâmes chez le chausseur de la veille ( voir articles précédents ) ... celui chez lequel m'avait trainé Vanina ... celui chez lequel j'avais subi les éprouvantes et exquises brimades de quelques employés , au coeur de la réserve :
La même vendeuse , la plus chevronnée ... et qui me reconnut évidemment, décida d'autorité que ce serait elle qui " nous " servirait... et alla jusqu'à confier le client dont elle s'occupait alors , à une jeune fille qui ressemblait plus à une stagiaire qu'à une vendeuse confirmée et dont la plus grande caractéristique , à mes yeux , était l'écrasement qu'elle avait fait subir à mon visage, une vingtaine d'heures plus tôt, en se mettant debout, pieds nus sur ma joue...
Comment cela avait il put se faire ? ... j'étais simplement en train de baiser, sur ordre, le pied du seul homme du quatuor amusé... Nous étions, dans la réserve à chaussures, où la chef vendeuse avait trouvé le moyen de m'entrainer , en tant que larbin déclaré de Vanina, au prétexte que nous pourrions ainsi ramener plus de modèles à essayer , plus de boites...
Je l'ai déjà conté dans un post ... j'avais, en un rien de temps dû embrasser et lécher plusieurs pieds ... et la stagiaire - Chloé de son prénom - avait pris cette initiative, de m' " écraser " la tronche sous sa plante de pieds, au moment où j'étais " face contre terre "... déjà terriblement humilié...
Initiative qui avait fait redoubler les rires ...
Ah !... la tête de la pauvre Chloé, le lendemain, quand sa supérieure, pour mieux nous prendre en charge , et ne pas se faire faucher la place par une autre vendeuse dont j'avais aussi goûté le pied la veille ( et qui vint vite fait vers nous !! )...
Oui ! la tête de la stagiaire quand " Madame " - c'est comme ça qu'elle l'appelait - lui refila ce banal client !!!
Mais cette fois encore, je sens qu'un nouvel article - un au moins - sera nécessaire si je ne veux pas vous cacher la fin de l'historiette ... car de nouveau mon devoir m'appelle .
Hier c'est la pulpeuse andalouse qui m'a fait " écumer " les magasins !...
... je l'ai fait, cette fois, en sa compagnie, mais aussi celle de Nando...
J'ai cru que c'était en raison d'un prochain retour au pays ... mais, son départ n'est pas encore vraiment daté ...
Non ! à vrai dire, elle sait que Murielle devra rejoindre le Gynécée très bientôt, pour le retour de Maître Joseph ...
( Mais que sait elle, au fond, de cette relation, qui contrarie fort " son ami " Greg ? mystère !... elle a vu, comme tout le monde, que Grégory ne vivait pas très bien ce retour annoncé, chez le grand noir, de " sa " Murielle ...
Il espérait, Grégory, l'avoir définitivement éloigné,à la faveur de l'été partagé... et voilà qu'elle ne se décide pas à quitter ce rival encombrant...)
Oui ! Estrella a , comme nous tous, été témoin des tensions de ces derniers jours entre ses deux amis ... elle a même tenté de peser dans ce qu'elle croit encore être un choix possible ... peser en faveur de Grégory ... Peine perdue !
Ce qu'elle sait encore, à mon propos cette fois, c'est que l'on m' " utilise " hors des deux clans précités :
... celui de Greg, bien sûr ...
... celui de Joss ...
Elle le sait parce qu'elle était là, mardi, en fin d'après midi, quand je suis rentré , la peau du visage toute " craquante " , badigeonnée du foutre séché d'Abdou ... des mèches de cheveux encollés ... cerné par une tenace odeur de sperme...
... elle m'a reniflé, s'est fendue d'une moue dégoûtée... avant d'éclater d'un rire un peu nerveux .. m'a envoyé " me récurer " avant de la toucher ( elle aime , et ce depuis les premiers jours, sur la côte atlantique andalouse , que je masse longuement ses rondeurs dénudées , le soir ...
et tout son corps alangui, de la tête aux pieds ...)
Elle le sait parce qu'elle et Murielle en ont parlé , en ma présence ( mais peut être aussi en mon absence ) , depuis : ... Quand Murielle est rentrée je finissais de la masser, et d'embrasser , idolâtre, les pieds de l'Epouse de Nando ...
Aussi , hier , je ne me suis pas trop étonné, quand Estrella , qui venait d'ordonner à son mari de se préparer, m'a enjoint d'en faire autant !
Et j'ai vécu un deuxième épisode " boutiques " ... ET DANS LES MÊMES LIEUX ... parfois les mêmes magasins ! ...
Je vous laisse imaginer ...
... avant de vous raconter ... un peu !
Promis !
Vanina a finalement " renvoyé " Abdou... Un de ses jules l'a appelée pendant qu'elle " butinait " dans une coquette boutique , et lui a proposé de la retrouver ... et de la ramener ...
Elle m'envoya donc prévenir Abdou , dans un petit parking privé où il était convenu qu'il devait nous attendre ...
Abdou sourit, déboutonna sa braguette sans lacher mon regard ... ses yeux aussi souriaient :
- " Sors ma bite et suce, minus ! "
Je me suis exécuté... maladroitement ... quand j'ai réussi à attraper sa verge , serrée dans son sous vêtement puis son pantalon ... ce fut comme si elle me sautait à la figure , tellement elle était tendue !... bandée ...
J'eus beaucoup de mal à l'enfourner ... encore ne fit il aucun effort pour me l'enfoncer jusqu'à la garde...
J'avais très mal au mien de sexe , écrasé dans la CB qui devenait , au fil des jours , une désespérante prothèse ... incontournable ...
Mais qu'avait à voir l'organe qui tenait si difficilement dans ma bouche , avec la chose qui me causait une lancinante douleur dans le bas ventre ...
Au sexe d'Abdou collaient les senteurs marines du plaisir exhubérant de Vanina , qu'elle y avait abandonné un peu plus tôt dans l'après midi !...
... quand il déchargea , il chercha très vite à s'écarter , pour avoir le plaisir évident de m'asperger complètement le visage ! ... j'en reçu dans les yeux ... piquant ...
... désormais , tout, autour de moi, ne sentait plus que le sperme et un reliquat tenace de mouille...
Abdou ne me laissa qu'un unique mouchoir en papier pour essuyer l'ensemble de mon visage inondé de terribles sécrétions , avant de rejoindre la terrible black !!
J'ai aidé notre chauffeur à replonger son pied dont il m'avait finalement fait embrasser la plante ( comment trouver un signe plus évident de
l' "adoration" que Vanina m'imposait de lui témoigner ? ) dans sa basket... Abdou a repris le volant et on est retourné au centre ville - par " retourné " je ne parle pas de cet après midi de mardi, où nous n'avions pas encore approché des rues stratégiques de la mode et du luxe, mais de ce que j'ai fait déjà à deux reprises avec Vanina , entre autres , au cours du dernier trimestre ... Dans plusieurs boutiques , et pas des moins " prestigieuses ", j'ai tout de suite remarqué qu'on nous reconnaissait...
J'en avais eu l'impression déjà en juillet ... mais je me disais alors que c'était " Vani " , la sculpturale noire , qui était reconnue... qu'on ne pouvait que remarquer !...
- et comment cette beauté charnelle et voyante en tout aurait elle pu passer inaperçue ?
- et comment son comportement , par rapport au faire-valoir qui l'accompagnait aurait il pu être oublié de commerçants y ayant déjà été confrontés ?
Je me doutais bien que la jeune Femme - comme les quelques amies de sa bande - ne venait pas se déshabiller dans les cabines de ces boutiques que pour en ressortir " habillées " à mon seul bras ...
J'étais un de leur money-slave parmi d'autres !
Pourtant, à deux ou trois remarques essuyées à des caisses de différents lieux cossus d'enseignes de marque ... j'ai compris que si l'exubérante noire était parfaitement identifiée... connue et reconnue ... " on " se souvenait aussi de moi !...
J'en ai éprouvé une belle collision de sensations ... de sentiments ! ...
la honte d'être reconnu, de par les humiliations essuyées ... naguère comme aujourd'hui ... des vexations répétées ... mais une forme de fierté aussi ... Et puis tenez : la peur d'être , à un moment ou un autre, non seulement RECONNU - par rapport à " hier " - mais IDENTIFIé...
- eu égard à mon passé dans cette ville , qui fut la mienne quinze années durant-... tout cela s'est bousculé , pendant qu'une fois encore, Vanina... me malmenait...
elle n'avait pas d'acolyte, de complice cette fois ? qu'à cela ne tienne ! elle se servit des commerçantes , de vendeuses et vendeurs amusés quand ils n'étaient pas purement et simplement séduit(e)s par le personnage ... la Femme .
Elle essaya nombre de robes légères et colorées ...nombre de jupes droites ... moulantes ... ou non ... Des chemisiers classiques ...
un " top " ravageur ...
Chaque fois qu'elle se mettait nue dans une étroite cabine, pour passer la moindre pièce de tissu ... les effluves de son entre-cuisses ... de son
entre-fesses encore poisseux de sperme et de cyprine que je n'avais pu entièrement laper, un peu plus tôt, au parking... ces parfums remontaient ! Même quand elle ne me faisait pas mettre à genoux , pour lui remettre la bride de son escarpin ... même quand je n'avais pas le nez au bord de son abricot toujours juteux ... l'odeur de foutre et de mouille était omniprésente ...
... il y avait peu de clientes, à l'heure où nous sommes allés dans ces boutiques ... mais j'avais l'impression que tout le monde nous scrutait... nous humait ... nous " inventoriait " des pieds à la tête !! ...
Elle pour sa sensualité provocante... incandescente ... moi pour mon ridicule , mon obéissance, mon trouble... ma confusion permanente
J'avais les mains tremblantes en tendant ma carte...
... j'avais la bouche sèche ... alors même que je venais, lors d'un avant dernier passage en cabine, de prodiguer une douceur au sexe de la Reine Vanina ! ... ...
... et voilà que ma langue picotait à retardement d'avoir sinuée, à l'abri du rideau d'épais velours, entre les orteils poussiéreux de l'exigeante Déité !!!
On fit, pour finir, une étape chez un chausseur où " nous " étions également connus ... et chez lequel je passai vingt bonnes minutes accroupi aux pieds de ma Maîtresse mais aussi de la vendeuse, espiègle et rieuse, qui m'avait déjà bien " secoué " lors de mon précédent passage ...
Elle a, cette fois, prétexté le besoin de bras, pour apporter des boites contenant divers modèles et m'a entrainé dans son sillage parfumé, vers l'arrière boutique ... Là je fus vivement livré à une rigolarde employée , à une empaqueteuses... une stagiaire... un agent d'entretien !
Ils prirent tous les quatre, un malin plaisir à me faire embrasser , masser, lécher, un ... voire leurs deux pieds ...
Ce qui m'a sauvé, d'un long supplice, c'est que je ne pouvais manifestement pas disparaître bien longtemps ... mais la tension, permanente, resta à son comble, jusqu'au bout ...
Dans la rue, sacs et paquets - " prises " de la chasseresse en proie à sa fièvre consummériste - me cernèrent, m'encombrèrent une fois de plus ...
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