Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Je me suis retrouvé dans la cage , aux côtés du jeune homme, comme précisé tout à l'heure , exactement pareil, sauf pour l'empalement : accroupi, à côté de lui ... maintenu dans cette inconfortable posture par deux bracelets reliant mes poignets à de petits anneaux métalliques bas , rivés aux barreaux ...
Mais heureusement pour moi pas de gode sous mes fesses !.... Le malheureux Daniel (*) lui est " assis sur celui qui se dresse au milieu de la courte estrade depuis six heures au moment où on nous laisse tous les deux dans la cage !! Remarquez , il ne risque plus de descendre davantage sous le poids de son corps : son anus a avalé la totalité de l'épaisse colonne de résine...
En somme , genoux relevés au niveau des épaules, et jambes " collées " aux cuisses , il est presqu'assis ! Il me le fait remarquer quand je lui demande en me tournant vers lui, le regard sans doute affolé...s'il n'a pas trop mal ...
Il sourit !... ( mon regard sans doute ) .
La sortie des Maîtres, au restaurant , va nous permettre de faire connaissance, car, par chance, on ne nous a pas interdit de parler : j'ai posé la question de la souffrance à Daniel, et il m'a aussitôt répondu, sans difficulté ...
Je dis ça car Cocu m'a bien expliqué que Grégory avait tendance à imposer facilement aux soumis des règles strictes, des brimades... comme par exemple , ne le regarder que quand il pose une question, baisser les yeux pour répondre ... et ne pas parler entre nous !
Daniel m'a dit son prénom sans problème - son Maître l'appelle " Dugland "... cela ressemble à Durchamp (*)son vrai patronyme...
Daniel m'a expliqué qu'en effet la secrétaire de son Maître faisait tout pour lui attirer les pires ennuis ... il pense qu'elle est plus sadique que mythomane ... il pense aussi que le discréditer auprès du patron est bon pour sa carrière à elle ... Daniel est persuadé qu'elle vise son poste ... elle est arrivée il y a moins d'un an et serait , à l'en croire, en train de briser sa progression professionnelle...
Une progression qui, il l'avoue sans gêne, reposait sur l'acceptation de sa servitude privée : il s'est " donné " à Greg - il l'appelle comme ça entre nous - quelques mois après son entrée dans leur boite ... et depuis il a connu un avancement conséquent ...
Je lui demande si " la secrétaire est jolie au moins ... sexy quoi ! " ... il me répond en rigolant qu'il s' " en fout un peu " et précise qu'il est homo , qu'il aime être dominé par " un mec vicieux " mais qu'il supporte mal la grosse souffrance physique ...
On établit des parallèles entre nos deux approches des rapports de D/s, on sympathise facilement ... il va même jusqu'à me demander comment je le trouve physiquement... si je suis attiré par lui ... si j'aimerais le sucer etc... on plaisante ...
J'en ai oublié de lui parler de possibles micros planqués ... Cocu m'a parlé de ça un jour quand nous évoquions les interdits chers à Grégory dans la panoplie des brimades et pièges divers ...
Mais Daniel connait assez son Maître ... il se serait méfié s'il avait eu un doute ! ... il n'aurait pas parlé aussi librement !
(*) les noms ont été volontairement changés, transformés, tjrs par précaution et pour le respect de la vie privé des gens cités et mis en scène .
C'est bien sûr maintenant : le cinquantième jour ne sera pas celui du soulagement sexuel pour moi ! le doute n'est plus permis !
Après le départ de Maître Joseph, annoncé dès le précédent article, Murielle a longuement discuté avec Grégory sur Skype , elle avait installé l'ordi dans la cuisine, dans laquelle j'ai dû ranger et faire du ménage après le petit déjeuner de mes Maîtres , le bain de ma Maîtresse et le départ de Joss...
Je pouvais donc suivre le plus gros de la conversation des amants redoutés ... Grégory tint même, pendant les deux ou trois premières minutes, à ce qu'agenouillé près de ma Maîtresse, devant la webcam, je réponde à quelques unes de ses questions ...
Oh ! rien d'essentiel ! juste un moyen, sans doute, d'affirmer son autorité sur moi et d'amuser sa chérie, quand ses propos, qui visaient à me déconsidérer, m'humilier davantage, faisaient mouche... Elle rit plusieurs fois de bon coeur, face à ma gêne ou ma honte ... un moyen de m'inquiéter un peu plus aussi sans doute, de la part de l'homme ! !
Ensuite ils convinrent de se retrouver chez lui ... Murielle exultait, car il avait dû lui laisser entendre la veille que ce ne serait peut être pas si facile pour eux de se retrouver si vite .
Et elle en mourrait d'envie ! preuve supplémentaire du pouvoir d'attraction sur elle de cet autre amant, car je peux vous assurer que , vu ce qu'ils font ensemble, elle et Maître Joseph, ce n'est pas la frustration sexuelle qui lui fait rechercher la présence de son amant blanc, juste après le départ de l'autre ! ... j'ignore pourquoi, mais j'avais senti ma Maîtresse contrariée de ne pas avoir plus d'assurances sur la question de ce qu'elle ferait une fois Maître Joseph parti ... Et là dès le branchement de la web cam, elle redevint légère et rieuse ...
C'est donc vers onze heures et demi que je fis appel à un taxi et pris de quoi le payer...
... dans celui ci ma Maîtresse me fit m'agenouiller sur le côté, à ses pieds, discrètement ... le chauffeur ne s'en émut pas , en dépit de quelques regards insistants dans le rétro... à peine un petit sourire de commisération .
Chez " son Greg " elle réalisa, dès notre arrivée, qu'elle n'avait pas pris les clés de ma CB... ce qui la fit rire ... Rires qui redoublèrent quand elle découvrit la cage dont j'ai déjà parlé : un jeune mâle nu bedonnant, à la peau grise y était accroupi et son anus semblait littéralement avaler le gode large et long planté sur une petite marche à cet endroit de la cage...
- " C'est là que ton esclave passera la soirée et sans doute une partie de la nuit chérie ... quand il aura fait mon ménage, mon repassage et pris la correction qu'il mérite certainement pour ses fautes de ces derniers jours ... C'est toi qui me diras ce que tu lui reproches ... Pour sa CB , je te l'avais dit pour ton mari, en son temps : repousse ses éjac de plus en plus ! crois moi !! ... plus il est frustré plus il te sert bien... ne fais pas attention !... ils sont tous là à pleurnicher que ça leur fait mal ... qu'ils n'en peuvent plus !! où je n'sais trop quoi ... un bouton mal placé ! ... tout est bon tu vois ! ( là je n'ai pas pu m'empècher de penser à toi Christophe ) ... mais si tu cèdes après ils ne foutent plus rien pendant des jours ces bâtards !! chez moi, je ne souhaite pas qu'un esclave soit vidé trop souvent , sinon par milking !... et ils me servent à merveille, que ce soit dans le privé ou professionnellement ... celui que tu vois là et que le tien va remplacer dans la cage ... je ne sais pas exactement où il en est , mais je suis sûr qu'il dépasse les dix semaines d'abstinence... il est là parce que ma secrétaire m'a signalé qu'il lui avait manqué de respect deux ou trois fois ! "
- " Comment ça manqué de respect ? "
- " Oh ! tu sais , il doit lui adresser des regards un peu appuyés ... elle est pas mal roulée et le sait ! elle aime les beaux décolletés , les talons aiguilles ... et lui ça le rend dingue tout ça ! même s'il préfère les hommes bien gaulés ... hier elle m'a dit qu'il lui avait mis les mains aux fesses, la veille ... je ne sais pas si c'est vrai, mais je ne peux pas risquer de laisser passer une telle incorrection de la part d'un esclave sous mon autorité , quelqu'un qui qui dépend de moi ! "
- " Tu ne sais pas si c'est vrai ?!! "
- " Non ! Géraldine est très compétente, c'est pour ça que je la garde , mais elle est assez mytho ... elle m'a déjà brouillé avec des collaborateurs , des clients ! "
Voilà un échantillon de la conversation qui n'a évidemment pas contribué à m'apaiser lors de mon arrivée chez cet homme insensible aux états d'âme et tourments des soumis ...
Elle et lui font l'amour depuis , je les entends parfaitement ... leurs ébats sont entrecoupés de mini- siestes ... puis ça repart ! c'est comme ça depuis quatre heures !!...
... je me suis dépéché d'en finir avec la première partie des tâches domestiques qu'il m'impose , pour écrire au plus vite cet article, car dès que je serai jeté dans cette cage, je suppose que j'y serai pour un moment ... j'espère que je n'aurai pas dans le fondement un engin du même format que celui qui envahit le cul du jeune mec bedonnant ! ... lui n'a eu qu'un tort apparemment : celui de déplaire ... ou simplement d'exciter les mauvais instincs de la secrétaire de Grégory .
Si j'ai cru que la fin du week end pourrait marquer la fin de ma longuissime période de chasteté, je déchante déjà :
... je dors dans mon lit d'esclave, cette nuit ... Mes Maîtres sont partis danser depuis plusieurs heures ... et je me suis levé pour écrire, car, couché vers deux heures du matin, j'ai été réveillé à trois par les douleurs provoquées par ma Chastity Belt... Oui ! cela arrive parfois !
... cela me rappelle mes débuts " sous clé " voici plusieurs années ... Les douleurs, assez violentes pour me réveiller... et m'empècher de me rendormir rapidement ont fini par devenir assez rares ... mais pourtant ! ...
... cette nuit pas moyen d'y échapper !
Je suis aussi assez désespéré, à vrai dire, par la tournure que prennent les choses ... les évènements ... car si Maître Joseph et sa Favorite risquent de faire appel à moi au retour de boite, tout à l'heure , et si je me réjouis de les servir, les toiletter, comme souvent ... si j'en ai l'eau à la bouche ... avant d'en avoir les sucs ... les sécrétions multiples de mon Maître... de ma Maîtresse...
... la journée de dimanche risque d'être moins festive : " Joss " part pour son travail dès demain , vers midi sans doute !
Cela veut dire que la fin de journée, Murielle risque de la consacrer à Grégory ... et là, autant dire qu'avec eux deux , les possibilités pour qu'ils me soit permis d'éjaculer ... à un moment ou un autre de la fin de journée ... sont ... très compromises ! ...
Voilà pourquoi j'ai tout lieu de penser que mon soulagement n'est pas pour demain... j'ai surpris d'ailleurs des bribes de conversation entre Murielle et Grégory ... et je sens bien que ma Maîtresse est très excitée quand son autre homme envisage de me faire des misères ... de me tracasser , me contraindre... plus que jamais !
Je l'ai dit à plusieurs reprises : il y a chez Grégory une perversité qui n'effleure même pas Maître Joseph , simple " monstre " de sexe ...
Une perversité qui peut me fasciner ... mais aussi me faire peur ... et mes douloureuses " boules bleues " ne sont pas faites pour me rassurer...
La tête entre les cuisses de Murielle, je me suis une nouvelle fois rendu compte de quelque chose de bien agréable pour mon amour propre ( oui ! je sais ... c'est ridicule mais il m'en reste quelques échantillons !... et ils s'invitent parfois. ) ...
Certes, je me suis pris une dérouillée pour cause de non-rasage, préjudiciable à son épiderme intime délicat ( voir article précédent )mais j'ai une fois de plus pu mesurer combien ma bouche et ma langue lui faisait du bien ...
Et surtout, comme récemment, Cocu son mari, une fois n'est pas coutume...
a dormi près d'elle et l'a fait jouir aussi avec sa langue avant de lui faire l'amour passivement !... j'ai pu établir des comparaisons qui m'emplissent de fierté :
Murielle crie beaucoup plus de plaisir sous ma langue que sous celle de Régis ! ce constat, évident depuis l'autre jour, me remplit d'aise - et finalement, à bien y penser, ce n'est pas que de l'amour propre imbécile pour quelqu'un de ma condition et dans ma situation -
... il y a donc un domaine dans lequel Murielle me préfère à son époux ! ... c'est lorsqu'elle a mon visage entre ses cuisses ou sous ses fesses sublimes ... et cela n'a peut être l'air de rien ! mais pour quelqu'un comme moi, qui n'ai pas l'occasion de briller sexuellement , c'est un constat que je peux même qualifier de rassurant :
Murielle a une bonne raison de me garder près d'elle !... tout près d'elle !! Et ce n'est pas de l'ordre de mes qualités domestiques !...
Ni de ma discrétion éprouvée , eu égard à ses multiples infidélités ! - oh ! pas à son mari, candauliste éprouvé de longue date, mais à Joseph notre Maître ! -
Non ! C'est qu'elle éprouve vraiment beucoup de plaisir et de plus en plus sous ma langue !
C'est d'autant plus flagrant que cela n'a pas toujours été le cas : je me suis bien gardé de le dire ici alors - toujours ce facheux amour propre d'un autre âge ! - mais ma Maîtresse m'a parfois traité d'imbécile et d'incapable ... et cela m'a même valu une gifle ... puis une autre fois une petite séance de cravache !... parce que je ne m'y prenais pas comme elle le voulait...
C'était vexant pour un esclave comme moi, pourvu d'une très longue expérience en matière de cunnilingus et de feuilles de rose, mais c'était ainsi : Murielle a besoin en particulier d'être mordillée autour du clito... et sur le bouton lui même ... par de petits à coups de la mâchoire ... mordillée assez fort même ... et il m'a fallu trouver la limite par moi-même , pour que son cri ne soit pas de douleur ! ... mais maintenant c'est au point ! et je fais même mieux dans ce domaine que son mari ! ...vous vous rendez compte ?
Et ce n'est pas anecdotique : je passe facilement une demi-heure chaque jour la tête entre ses cuisses et ses fesses - en une , deux, voire trois séquences -
... et je ne compte pas dans ce total qui tend à croître le temps passé à laper dans son vagin ou à la sortie de son cratère anal distendu le sperme de Maître Joseph... de Gregory ... voire de son mari, comme l'autre jour
- beaucoup plus rare -
Voilà ! c'est aussi ce qui me rend relativement optimiste quand à la durée de ma présence au service de ma chère Murielle , dont les parfums et saveurs me rendent fous de vains désirs ... de vains espoirs ...
Mais du calme ! mes couilles sont encore bleues de la dernière séance , il y a moins d'une heure, j'ai encore les cris puissants , et pourtant délicieux de ma Maîtresse dans les oreilles ... et ce qui reste de ma bite, s'il le pouvait, ferait exploser ma CB...
Et les cinquante jours ne sont pas encore atteints !!!
Ce matin, après avoir servi le petit déjeuner de Murielle dans sa chambre
- dans laquelle je n'ai pas dormi collé contre elle depuis lundi - pris par le désir de répondre à quelques commentaires nouvellement découverts ( de Madame S, de toi ...) j'ai différé mon rasage quotidien ... je pensais que j'aurais le temps de raser ma barbe de vingt quatre heures avant d'être appelé ... Mal m'en a pris !
Ma Maîtresse m'a appelé sitôt sa cigarette fumée - elle fume nue penchée à la fenêtre de la chambre , comme le faisait ma chère Hannah - alors que souvent , elle lit un peu avant de m'ordonner de venir entre ses cuisses ouvertes ... pour un cunnilingus ... une feuille de rose appuyée et durable...
Elle a pris le temps de savourer , comme d'habitude ! ...
... elle a eut trois orgasmes de belle facture en une vingtaine de minutes ...
je pensais donc que tout allait bien, dans l'ivresse de ses senteurs intimes... Elle a même pensé à me pincer régulièrement les tétons quand elle a exigé un quatrième orgasme, assise sur mon visage , vulve sur ma bouche, anus sur mon nez ... Elle a laissé échapper un ou deux vents lourdement parfumés, comme souvent le matin ...
Et au moment où j'ai cru qu'elle allait me demander de faire couler son bain, elle m'a entraîné vers les toilettes, comme quand elle va s'y soulager ...mais c'était pour y décrocher le paddle de cuir épais qu'elle y range dans un petit placard ...
Là elle m'a fait pencher en avant en m'appuyant sur le haut d'un radiateur et s'est mise à me saouler de coups appuyés et claquants ...
Appuyés , sonores et ... durables ...
Quand elle a cessé et que je me suis redressé à sa demande elle m'a fixé de son regard le plus dur et m'a dit :
- " A genoux ! " ... j'ai obéi
- " Tu sais pourquoi j'ai claqué tes fesses , médiocre esclave ?! "
J'ai laissé passer quelques secondes et puis , à dessein ou non, elle s'est campée sur ses jambes écartées, poings fermés sur ses hanches ... et j'ai vu que l'intérieur de ses cuisses était un peu rouges...
J'ai dit :
- " Ou... oui ! ... Je ne me suis pas rasé Maitresse ..."
Je lui ai demandé pardon .
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