asserviparmonex

J'ai trouvé pendant des semaines  qque le sort réservé à Régis était terrible : Une épouse adultère en permanence , et lui cocu tout aussi permanent ... mais écarté de la " représentation ", éloigné de Madame !... arbitrairement, sans même savoir combien de temps cela durerait... sans raison particulière, sans que sa Femme elle-même , qui n'était pas demandeuse de la chose, ne s'en émeuve particulièrement ...

Murielle n'a durant ces semaines jamais rien fait pour le ramener près d'elle ... Murielle s'est satisfait de ma présence  de substitution ... et cela Régis le savait , l'a toujours su !! 

Même s'il n'y a rien là de très spectaculaire, je trouve l'humiliation terrible ... et lui aussi - il nous est arrivé d'en parler - ...

...j'ai  vécu des choses terribles, moralement aussi, dans ma vie d'esclave conjugal !

Rarement quelque chose d'aussi insidieusement mortifiant...

Et voilà que " ce laissé pour compte " quand il retrouve son Epouse , retrouve en même temps la plus merveilleuse intimité avec elle !! 

La conséquence c'est qu'il ne sera pas en mesure de " tenir " et que cela lui vaudra inéluctablement un chatiment conséquent ...

... il le savait, il l'a toujours su ... On le savait tous !

C'est Maître Joseph qui l'a fouetté l'après midi suivant , après le déjeuner , en présence de tout le monde , Cucky et moi compris ... Humiliation renforcée , là encore , parce que  " Joss " fait toujours ça , comme s'il ne s'agissait que d'un " devoir " ... froidement, sans y prendre le moindre plaisir... 

Après le pousse-café et avant la fin de son gros cigare de La Havane , Maître Joseph  s'est levé :

 - " Je vais corriger ton mari mon Ange ... qu'on l'attache au prunus ! "

Cucky et moi sommes allés le sortir de la cage dans laquelle il marinait depuis le lever après avoir reçu la clé de  son épouse ...

Il n'avait toulours pas de CB et son long sexe " bandouillait "  vaguement , mais il s'est rétracté avant même d'arriver à l'arbre, je peux vous le dire ! ...

C'est Janice qui l'a attaché pendant que Cuck et moi allions chercher quelques chaises pour les spectatrices ...

Voilà dans quel contexte cela s'est passé ...

... il a tout fait pour ne pas crier : Régis , comme nous connait le tarif : un  cri majore automatiquement la punition de deux coups !  

Je me suis endormi après Maîtresse Murielle, mais  sans doute avant son cocu de mari ! ... il était tellement " tendu " de partout ...

 Mais sous le coup de cinq heures du matin, c'est eux qui m'ont réveillé !

Je rappelle que je dormais sur le côté du lit de ma Maîtresse, ( voir article précédent ) et que lui, son mari , dormait " dans son dos ", sur le flanc, comme elle ... chose qui ne lui était pas arrivé depuis des semaines.

Au petit matin ( peut être ceux qui ne se réveillent jamais vers cette heure là ne le savent ils pas, mais à cette heure là, l'été, le jour commence à poindre ) ... au petit matin donc , les sons jaillis des poitrines du couple m'ont tiré de mon sommeil :

La couette était repoussée... presque jetée hors du lit et Murielle était, splendide et  radieuse , accroupie, presque assise, au dessus  du bassin de son mari, elle était empalée et ondulait des hanches, souriante...

 Un  mouvement circulaire, plus que de bas en haut, une gestuelle terriblement lascive ... mais qui , je le compris peu après , visait aussi à ne pas risquer de trop émouvoir Cocu... pas trop tôt surtout ... et pas  trop fort ! ... elle jouait avec lui ... mais  ne cherchait pas l' " accident " !

Elle faisait comme beaucoup de Femmes face à la faible endurance de leur compagnon... elle tentait de l'empêcher d'éjaculer trop  vite... en l'occurrence , elle cherchait à différer l'échéance  !

J  'ai dit dans de précédents articles combien  Régis devait subir l'éloignement croissant de sa Femme, sans savoir si cela allait encore durer longtemps ! Sa seule consolation c'était que la décision ne venait pas d'elle, mais de notre Maître ... il n'empêche qu'il l'avait mauvaise comme on dit ! et puis il commençait quand même à lui en vouloir un peu de ne pas proposer voire  imposer à Maître Joseph autre chose  " il était son mari quand même ! " 

Tout ça pour vous dire dans quel état d'esprit était le bougre ... il ne m'en voulait pas spécialement , il savait que si j'étais à sa place de cocu  je n'y étais pour rien ... mais lui le banni sans raison vivait avec une intensité particulière cette nuit là !

Murielle tenait les tétons de cocu entre pouce et index ... plus exactement elle enfonçait les ongles longs et carrés de ces deux doigts dans la chair fragile de l'homme qui gémissait sous elle !

- " Tu gicles pas Régis ! t'avises pas à faire ça ! tu sais combien je déteste que tu jouisses  alors que je n'ai pas eu d'orgasme ! " 

Elle lui avait dit quelque chose comme ça tout en triturant ses pointes de seins ! ... il fallait que la douleur combatte désir et plaisir et l'empêche de se répandre évidemment ... j'avais connu ça moi aussi , dernièrement avec mon Ex ... et même avec ma dernière " fiancée " et je savais combien c'était délicat d'être ainsi sur le fil du rasoir !

Mais il tenait ... il devait avoir bien mal ... car il criait aussi parfois ...

- " Eh Cocu !! tu vas pas débander quand même ! " ...

... il avait dû avoir très mal ... elle reprit ses ondulations du bassin...

... elle prit ses propres seins dans ses paumes et les malaxa en gémissant... Je n'étais que spectateur mais mon sexe comprimé et douloureux dans sa cage me disait assez ce que vivait Régis de merveilleux et terrible à la fois !

- " Approche Jipette ! allonge toi sur le ventre  entre les jambes de ton ami Régis et lèche mon trou du cul ! " 

J'ai obéi avec empressement ... elle a gémit davantage encore et ses mouvements se sont accélérés sur le chibre dressé de son mari !

- " Lèche les couilles de ton pote aussi ! allez !! active toi donc! ... fais comme tu le fais à Joss quand on te le demande ! " 

Voilà maintenant de quoi exciter  davantage le candaulisme de Régis en piquant sa jalousie ! ... moi j'ai obéi encore ...

Et j'ai ressenti au glissement des testicules du mari dans leur sac  qu'il allait jouir ! Murielle le sentit aussi ! ... elle cria juste  " salaud ! " et elle se dépêcha de se laisser submerger elle aussi  !         

C'était  l'anniversaire de Janice, hier. Elle est, je le rappelle ( car elle n'a pas eu sa place sur ce blog depuis un moment ) ... elle est  l'épouse légitime de Maître Joseph... Le choix de la maison de Cucky, que notre Maître a attribué à sa Favorite comme lieu de vie  depuis un moment... le choix de ce lieu  pour y organiser les festivités propres à cet anniversaire a surpris pas mal de monde, y compris du côté des esclaves  ... mais ce n'est pas à nous les esclaves de discuter ces choses !   n'est ce pas ?

Toujours est il que ce fut, pour nous trois justement l'occasion de nous retrouver   (  le  mari de Murielle et moi, par exemple, nous ne nous étions pas vus depuis plusieurs semaines ).

Si nous n'avions pas été réunis , tous les trois depuis un bail, il existe  une autre chose qui commençait à se prolonger ... et que nous avions en commun :  c'est la durée de notre frustration sexuelle ... de la contrainte subie sur ce plan, par chacun de nous  ...

C'est pourquoi  c'est l'évocation de cette  contrainte   que je privilégie  ici ...

... C'est faute de temps, je le répète, pour aborder tous les sujets ! et en particulier les festivités de l'anniversaire , réjouissances qui se sont avérées quasiment orgiaques entre les Maître(sse)s !! 

Personnellement, j'en ai parlé encore dans mon article le plus récent , au plan de la libido, je vis une période difficile,  redoutable !...( parmi  beaucoup d'autres, certes !... )

Une période  d'intense tension sexuelle , avec  des tentations incessantes, soit, dit autrement  : la prise , " de plein fouet " des conditions  répétées  de frustrations  terribles !

Oui ! ... personnellement!... mais j'ai pu vérifier que pour chacun de nous trois le déni d'orgasme avait atteint le mois ... et comme le sujet  est abordé ces jours ci avec de fidèles lecteurs - dont l'un a largement dépassé la barrière des quarante jours ... voilà un article ( celui de demain , car cette nuit je n'en ai plus le temps ... à trois heures du matin et avec la nécessité de me lever tôt tout à l'heure ) voilà un article donc qui sera bien d'actualité .                                                                                                                                                                              

C'est parallèlement pendant  la fête ... au repas, à la danse, aux jeux entre être libres  que nos cas ont fait l'objet de l'attention des dominants des deux sexes ... que nos situations et états  ont été évoqués... étudiés... scrutés ...