Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Je ne raconterai pas encore aujourd'hui ce que ma confié l'autre encagé de chez Grégory !... parce que figurez vous que je viens de vivre de l'intense !
... et je ne peux résister à me confier de suite sur tout ça !
D'abord, pour votre bonne compréhension des choses, sachez que depuis
hier soir je suis seul chez Cucky : Murielle, pour la première fois, a été
" embarquée " par son Joss dans un week-end pro ! Elle n'était pas peu fière croyez moi, hier en fin d'après midi, quand elle m'a demandé de préparer ses bagages !!
Ensuite , Lamia a exigé que je lui " file " mon numéro de téléphone , quand elle et sa copine sont parties de chez Grégory, hier encore .
Je précise aussi, pour ceux qui me connaissent depuis longtemps, que depuis ma fuite, déjà ancienne maintenant !... et mon arrivée chez Cucky, mon téléphone n'est plus la " laisse électronique " maintes fois décrite...
Il me servait d'ailleurs bien peu ces derniers temps ... que ce soit de
" laisse " ou de téléphone ...
Y a-t-il eu coïncidence entre ces évènements ?
Ou Maîtresse Murielle et Gregory ont ils préparé le terrain ? ( la première en sachant que je serais sans elle ... seul à la maison ! ) .
Je l'ignore ! ... mais à dix heures, tout à l'heure, mon téléphone a sonné .
C'était Vanina !! ( c'est à son amie que j'avais " filé " mon numéro, mais ça ne pouvait me surprendre ... juste marquer leur étroite complicité )
- " Salut esclave ! tu me reconnais ?... Tu as quoi comme voiture ?
- " Oui... je vous rec... Maî... Maîtresse, je n'ai pas de voiture , je ...
- " Ah ! un mauvais point pour toi ! Maîtresse qui d'abord ?
- " Maîtresse Vanina ! "
- " C'est bien ! c'est mieux ! alors tu vas prendre un taxi d'ici un quart d'heure et rappliquer ici ! Pense à prendre du pognon ! je t'emmène faire quelques emplettes ! Je te fais cet honneur ! j'espère que ça te fais plaisir ! "
- " Ou..oui Maîtresse ! je prends... c'est à dire ... vous ... vous voulez que je prenne com.. combien ?
- " T'es relou toi !! ... je sais pas !! quatre cents... cinq cents euros !! ... de toute façon, t'as bien une carte de crédit non ? ! fais pas chier avec ça ! Tu veux déjà me mettre en colère !!
Je me suis excusé ... mon coeur battait très fort .
J'ai pris les quelques billets de 50 euros que j'avais et ... ma carte Visa, rescapée de mon séjour chez mes ex-futurs beaux-parents ( voir articles qui commencent à dater ! sur cette période ) .
Comme pour le téléphone, ceux qui me " suivent " depuis longtemps savent qu'il y a encore trois mois - et ce depuis mon précédent mariage ! - je n'avais jamais le moindre argent sur moi , ni évidemment de carte de crédit ...
- il faudra que je parle un peu " fric " prochainement, car depuis mon arrivée chez Cucky, avec quelques milliers d'euros devant moi, je sais bien que c'est le silence de ma part ... mais avec ce qui m'arrive là ... la clarté s'impose ! ... ne serait ce que pour le comprendre ( je n'ai d'ailleurs pas cherché à cacher quoi que ce soit ... simple question d'occasion ) -
Je me suis donc habillé du mieux que j'ai pu... et j'ai fait tout ce qu'elle m'a dit .
Arrivé à l'adresse du rendez vous, il m'a fallu attendre trois ou quatre minutes encore avant de voir... LES DEUX beautés apparaître au loin ...
Le compteur du taxi tournait ... mais elles trouvèrent le moyen, juste après m'avoir vu, de brancher un mec qui visiblement connaissait Lamia .
Le type, un black athlétique, mi-trentaine, sembla s'éloigner ... Lamia lui courut après ... il y eut un échange un peu vif semble-t-il entre eux d'eux, puis Lamia l'embrassa, prit sa tête entre ses mains, lui sourit, le charma ... et il s'avança avec les deux très jeunes Femmes vers " mon " taxi ... dans lequel il les suivit .
Mais vous allez devoir attendre un peu pour la suite car mon rôle d'esclave vous le savez n'attends pas ! ... et si je brûlais du désir de commencer à raconter cette journée, je ne suis pas pour autant particulièrement
" libre ", même si mes Maîtres habituels ne sont pas là .
Sorti de sa cage, aujourd'hui !... Une jeune noire sculpturale assise sur une chaise de cuisine ( c'est la pièce où je les vis ), venait de lui ordonner de lécher sa semelle d'escarpin . En même temps, elle penchait le long de l'arête de la semelle un verre contenant une substance comme un peu mousseuse... La fille avait le mollet de sa jambe posé sur l'autre cuisse, et le liquide incolore, semé de petites bulles, comme de l'écume, s'échappait du verre de plus en plus incliné ...
Le verre contenait de la salive ! ... du crachat ! du glaviot !...
... du mollard quoi !!
Au cas où j'aurais encore douté , une autre fille, métissée, aux membres un peu plus déliés, mais tout aussi fessue ( je la voyais de profil) était en train de cracher dans un verre à vin identique.
Oui ! le même verre que celui que la noire si sexy achevait d'incliner juste au dessus de la langue de l'obéissant jeune homme présenté ici même dans mon dernier article ...
D'ailleurs " au dessus de la langue ... " c'est vite dit !
La fille avait déplacé légèrement le verre en achevant de le pencher ... elle avait fait un clin d'oeil à sa copine qui le lui avait rendu en le soulignant d'un rictus féroce ...
- " Tu lèches correctement ducon ! si y'en a qui tombe par terre tu peux compter tes abattis ! "
Facétieuse, j'aurais dit " taquine " si je ne l'avais pas senti mal intentionnée, elle venait précisément de faire le nécessaire pour qu'il en " tombe par terre " en déplaçant imperceptiblement " la chute " de matière salivaire !
Quand le stalactite s'étira redoutablement, prêt à tomber, la fille debout au fessier callipyge ricana ...
L'infortuné soumis essaya au dernier moment de " rattraper le coup ", il lécha bien la semelle un peu plus vers la pointe mais il réussit juste à voir le plus gros du filament visqueux glisser sur son menton...
Cela lui valut un coup de cravache de la métisse, toujours debout, qui regarda par transparence en levant son verre, sa propre production salivaire , puis marcha dans ce qui venait de glisser du verre incliné sur la semelle... et de celle ci sur le menton du malheureux !... de là, enfin, sur le sol carrelé ... Elle souleva le pied en riant, je me rendis compte alors que le sol était déjà occupé par une flaque à cet endroit ... et du pied soulevé jusqu'au sol s'étira un " fil " translucide, comme celui, opaque, que produirait un chewing gum.
- " Lèches la flaque et ma semelle ' trou du cul ! ' " ... lança à son tour celle qui venait de marcher dedans !... Puis elle me regarda vraiment :
- " Approche aussi toi ! y'a pas de raison que t'aies rien !!... ahahah ! ... à genoux ! ouvre ta gueule ! ... tu vois comme elle est gentille Lamia avec toi ! Te voilà à peine arrivé que tu as droit à l'apéro ! ahhaahha ! "
J'ai tout fait comme elle l'a ordonné !... dans la seconde :
... quelques pas vers elle (s)... à genoux ... bouche en arrière ... ouverte ... ! j'étais d'une docilité obséquieuse, poisseuse, répugnante !... et avec des Filles magnifiques, dont j'ignorais l'existence deux minutes plus tôt !...
Ces filles sublimes qui nous avilissaient à plaisir !!
Lamia , celle dont j'avais avalé sans trop de difficultés la salive, par chance, moins riche semble-t-il en mucus que celle de son amie ... Lamia continua :
- " Je te présente Vanina, pur produit congolais ! "
- " Viens baiser ma main esclave ! "... rigola la noire : je m'empressai de le faire, enchanté qu'elle n'attende pas d'avantage ... du moins pour l'instant.
Lamia me fit venir sous son corps incliné et me cracha au visage, après s'être raclé la gorge ... un jet compact qui jaillit avec violence de sa bouche en " O " :
- " Allez file ! ton Maître nous a dit que tu avais du boulot pour un bout d'temps ! tâche de pas l'décevoir ! "...
... elle ôta sa culotte qu'elle m'enfila comme un bonnet sur la tête, la partie plus étroite de l'entre-jambe, humide et odorante, bien callée sur le nez .. et ma " tronche ", ainsi coiffé, les fit rire toutes les deux .
Là dessus son téléphone sonna ... quand à Vanina elle se remit à s'acharner sur mon congénaire, qui dut lécher sa plante des pieds désormais dénudée et trempée dans la flaque visqueuse !! ...
Me faire oublier des deux cruelles beautés était, pour l'instant ce que j'avais de mieux à faire .
L'après midi de mardi, j'ai dû aller faire l'esclave domestique chez Grégory. Le projet existait depuis plusieurs jours : j'avais entendu ma Maîtresse en parler avec Jenna ...
Vous vous étonnez peut être que je cite le prénom de Jenna ! et à propos de cette sorte de relation entre les deux jeunes Femmes, contact... disons " amical ".
C'est vrai que Jenna fut la " Favorite " avant Murielle ... elle l'était encore quand je suis arrivé, mais je crois qu'elle a compris que la Femme de Cocu n'est pas une intrigante et qu'elle n'a rien fait... non ! rien pour prendre sa place !...
Pour le reste, elles s'entendent plutôt bien, et je me demande si l'ancienne n'est pas en train de réaliser que la nouvelle pourrait avoir une autre vie ! ...
Elle n'a sans doute pas encore perçu l'importance d'un Gregory, mais Murielle a jugé utile de l'affranchir un peu quand elle est rentrée avec moi récemment, et que Jenna, qui était passée voir si leur Maître - Joseph ! ... le nôtre - était là ...
Par chance Jenna n'a rien vu du long baiser échangé par les deux amants et Murielle a présenté son julot blanc, comme son cousin germain ...
Rien que ça ! tant qu'à faire de bluffer autant y aller franco !
Bref dans les jours suivants , Jenna ne sembla plus s'étonner de l'intérêt " pour ce cousin qui venait de s'installer tout près... et qui avait besoin d'un larbin .. au moins les premiers temps " ...
J'ai donc été réquisitionné en début de semaine, en journée, sans que ma Maîtresse se fasse trop de souci, quant à la justification - dans le pire des cas - de mon absence du " sérail ", auprès des autres Femmes de Maître Joseph...
Si les corvées ménagères n'étaient pas absentes, s'il ne s'agissait pas d'un mauvais prétexte... j'ai vite réalisé que ma présence chez Grégory avait aussi d'autres raison .
Je l'ai réalisé en découvrant un peu la personnalité de cet homme...
J'aurai l'occasion d'y revenir, mais il faut déjà préciser que ce Maître est un vrai Maître ... je veux dire un Dominateur ... quasiment un pro, du moins avec les mecs comme moi ...
La cage métallique, chez lui, présentée dans mon dernier article, n'est donc pas incongrue ...
Quand j'y suis revenu, il y avait un homme dans cette cage, un soumis ! ...
... lui se présente comme esclave et cocu... Gregory le traite de larve, de lopette, de lavette, de bâtard...
Il était " rivé " aux barreaux de la cage comme je l'ai été et comme je l'ai expliqué dans le précédent article ,
" fixé " par un serre-couilles !... mais debout ... lui n'avait pas de chaussettes à laver, de chaussures à cirer ...
Il était là parce que sa Femme l'a confié à " ce Maître ", pour l'éduquer, le dresser , le punir ... il emploie ces trois verbes le plus tranquillement du monde ...
A voir l'état de son dos et ses fesses sanguinolantes, il a été copieusement battu !! et ses couilles sont d'un bleu-violacé impressionnant après un serrage extrême et ... sept semaines de déni d'orgasme ...
Je vais bien sûr vous parler un peu de ce bonhomme dès mon prochain article, car ce qu'il fait ici, comme sa condition ne peuvent me laisser indifférent !!
Et puis , pendant que nous sommes restés seuls, il m'a beaucoup parlé... il en avait besoin !
Oui ! j'ai parlé d'une épreuve dans mon précédent article, et ce n'est pas bien sûr le fait d'être contraint de lécher et sucer mes Maîtres avant ou après de nouvelles étreintes qui la constitue ...
Je suppose que c'est ce à quoi ont pensé certains, quand j'ai dit que je suivais les amants dans la chambre ... ces choses là ont eu lieu...
Mais m'a t on jamais entendu parler d'épreuve quand il s'agit d'utiliser ma langue ou ma bouche sur une intimité à faire jouir ou toiletter ?! ... jamais ! à part bien sûr quand le donneur d'ordre est un dégueulasse comme le vieux militaire qui a failli devenir mon beau-père ...
Non ! ici l'épreuve consiste en une dure séance de fouet !... comme je n'en avais pas connu depuis un moment !
Pourquoi le fouet ?
Parce que pendant mon long séjour dans la cage ( voir post de cette nuit )
" je me suis comporté comme un porc ! ... un sagoin !! " C'est l'amant de Murielle qui le dit, et quand j'ai regardé l'effet produit par cette affirmation sur ma Maîtresse ... je l'ai vu rire ! ... J'en ai déduit que je n'échapperais pas à la correction !
Beaucoup ont sans doute constaté que ma Maîtresse se comporte assez facilement avec moi , en fonction de l'homme avec lequel elle baise :
- Avec Maître Joseph, qui n'a envie que de ça : baiser ... enculer... se faire sucer ... et recommencer ... eh bien je lèche et suce beaucoup, mais j'ai rarement des ennuis ... sauf faute notoire ... et Murielle n'en " rajoute " pas .
- Avec Grégory qui est un dominant pervers ( avec ses " semblables " , les individus " d'origine mâle ", comme il dit ) elle marche dans ses vices :
" Greg " est excité par les punitions, les humiliations, les brimades à infliger à un soumis ? qu'à cela ne tienne !!!
... c'est comme ça qu'elle a fini par rire quand elle a vu , au moment où ils sortaient , que son mec repoussait un peu plus du pied le pot qu'il avait posé au bord de la cage ... évidemment pour qu'il me pose problème d'uriner sans dommage !!
... enfermé et entravé comme je l'étais, avec les couilles emprisonnées et exhibées de l'autre côté des barreaux...
J'avais pourtant, au bout de trois ou quatre heures, réussi à pisser sans vraiment en mettre à côté, au prix d'une tension de la peau de mon scrotum plutôt douloureuse ! ... le défi :
Sans pouvoir me relever ( ça j'ai l'habitude quand j'ai la CB, comme tous les porteurs de l'instrument ) je devais, en tenant entre deux doigts ma verge rabougrie sous l'effet de la douleur, diriger le méat et donc le gland, légèrement en hauteur et dans l'axe du pot ... J'avais assez envie pour que le jet retombe dans le récipient ... sauf évidemment les dernières gouttes ... qui ne seraient pas éternellement visibles ... je me croyais donc tranquille : ce que je venais de réussir ... eh bien qu'à cela ne tienne ! je le referais si nécessaire !
Sauf qu'en manuipulant chaussures, chaussettes etc...pour travailler sur elles, et dans cette posture délicate et ... je le confirme, douloureuse chaque fois que la peau de mon sac à couilles était tendu à l'extrème... eh bien j'ai fini par me montrer maladroit ... et par déplacer, bien involontairement le pot à demi- plein ...
Lorsque j'ai eu de nouveau très envie, j'ai cherché à me retenir ... jusqu'au moment où ce ne fut plus possible ! ...
... et puis j'ignorais toujours, je le rappelle, quand ils rentreraient ( non seulement je n'avais évidemment pas reçu d'information de leur part ... mais en plus aucune pendule ni montre à ma disposition...)... et quand on souffre on perd toute référence temporelle !!
Bref j'ai craqué ! il me fallait vider ma vessie et j'ai cherché à viser le pot trop éloigné désormais pour que je puisse y parvenir ... mon gland au bout de ma verge, complètement " rentrée ", était impossible à diriger vers le haut pour créer une sorte de " parabole "... alors que tout concourrait à tendre atrocement ma peau ... alors que mes couilles de l'autre côté, contre les barreaux étaient prêtes à exploser !!!
J'ai échoué ! j'en ai mis partout !... et aussi sur moi, sur l'intérieur de mes cuisses !!
La honte était sur moi quand ils sont rentrés ... et pas seulement la honte !... c'est ça que j'ai payé !
Grégory m'a châtié ! ... Murielle a voulu en profiter pour continuer à apprendre à manier le fouet ( elle avait commencé, Régis m'en avait parlé, " à ses frais " lors des premiers rapports entre les deux amants , en présence du cocu . )
Murielle manie pas trop mal le fouet , en effet ... et je commence à voir ma Belle et séduisante Maîtresse un peu différemment ... c'est comme si elle n'était pas la même , selon qu'elle est avec son Joss ... ou son Greg !
Et vous savez où va ma préférence ! ... mais ce n'est évidemment pas à moi de décider de ces choses !!
J'AI de nouveau SUBI GREGORY et chez lui...Il m'a MIS EN CAGE ET " RIVé " PAR LES COUILLES AUX BARREAUX de la cage, puis avec ma Maîtresse ils sont partis au cinéma . Cela s'est passé avant hier , lundi .
Comme après , ils ont, parait il, fait du lèche-vitrine, des courses ... puis sont allés diner, je ne les ai revus que très tard... et compte tenu de la posture très délicate dans laquelle je me suis trouvé pendant près de huit heures, je peux vous dire que j'ai trouvé le temps long ...
Ma ... " posture " ? allez ! succintement :
Enfermé dans une cage métallique, d'un mètre quatre vingt de hauteur pour un mètre de large et un mètre quarante de long... et, comme si cela ne suffisait pas, mes testicules avaient été " coincés " dans un SERRE-COUILLES... LEQUEL ETAIT MAINTENU A L'EXTERIEUR DE LA CAGE... PAR SA LONGUEUR ( imaginez une sorte de " cintre " de ceux qu'on utilise pour serrer et tenir suspendus, un pantalon, une jupe - ceux pour jupes surtout sont plus longs et donc plus facilement comparables -... vous voyez !
Couilles à l'extérieur de la cage, ridiculement exposées ... enfermées, coincées entre les tiges plates resserrées de l'appareil... Appareil retenu lui aussi hors de la cage par sa longueur et l'impossibilité de le faire passer entre les barreaux bien trop étroits
- c'est bien pour cela que j'ai employé " rivé " au début - ... et tout mon corps ... oui ! tout le reste ... clairement à l'intérieur de la cage .
Aucune marge de manoeuvre ! Juste la possibilité de glisser doucement et de m'accroupir dans la cage avec en revenche l'impossibilité d' être à plus d'une vingtaine de centimètres des barreaux ... et pourtant, glisser le long de la paroi fut alors une nécessité !... pour accomplir une à deux tâches imposées :
- laver dans deux cuvettes disposées à l' intérieur de la cage, les chaussettes de sport et de ville de Grégory ( il fait du sport tous les jours et, au quotidien, cela veut dire au moins deux paires de chaussettes à laver, mais plus souvent trois : en basket, il transpire beaucoup et tient à être toujours " irréprochable " )
- cirer deux paires de chaussures de ville et nettoyer trois paires de baskets et tennis disposées hors de la cage ... et tout juste à ma portée en tirant sur les extrémités de mes membres supérieurs ... et sur la peau de mon scrotum, pour atteindre les derniers objets à nettoyer ...
Voilà les inconfortables et humiliantes caractéristiques de mon enfermement...
Bien évidemment rien de cela n'est gratuit, innocent ...
Bien évidemment rien de ce que j'avais à faire ne pouvait m'occuper près de huit heures,
j'ai donc eu beaucoup de temps pour " ruminer " ... j'en parlerai peut être bientôt.
Je pense qu'il est aisé de voir que Grégory et Maître Joseph n'ont pas grand chose à voir dans leur approche de la domination, et je sais bien que l'intérêt qu'éprouve Maîtresse Murielle pour le premier nommé va contribuer à " dégrader " passablement mes conditions de vie ...
... je le savais je crois avant de faire concrètement sa connaissance - par l'intermédaire de Cocu qui bien évidemment avait eu à le " cotoyer " - Quand ils sont rentrés, Gregory a pris un malin plaisir a exiger que je baise ses pieds à travers la grille ...
... avec le serre-couilles qui entravait chacun de mes gestes, surtout lorsqu'il fallait se baisser davantage encore, j'ai souffert le martyre, et l'homme s'amusait à reculer imperceptiblement mais sûrement son pied chaque fois que je l'atteignais !!
Ensuite quand il a fallu que je me comporte de la même façon avec ma Maîtresse, j'ai bien cru ne jamais y parvenir , mais Murielle n'a pas trop cherché à refuser son coup de pied à mes lèvres...
Et c'est elle qui a libéré mon sac boursier de la désespérante fixation .
J'ai cru un instant que l'infernal soulagement après trop de douleur à juguler , étouffer ... allait me faire tomber dans les pommes ! ... mais j'ai tenu ...
Je les ai , après qu'ils se soient désaltérés - tout en me refusant de boire , malgré mes supplications - je les ai suivi dans leur chambre .
Une autre épreuve s'annonçait... qui, en d'autres circonstances, serait restée une simple formalité, et sans doute même un plaisir ...
En parler un peu fera l'objet d'un prochain article ... ici .
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