asserviparmonex

Murielle est accroupie sur une table ronde, et s'empale avec vigueur et détermination, sur le gros sexe épais de Grégory... lui est allongé de tout son long, sur le dos... à même la table.

 Elle lui tourne le dos d'abord ... je suis près d'eux , sur le côté ... Je me demande comment l'anus de ma Maîtresse peut avaler un pieu aussi épais ! C'est plus le diamètre, la largeur du membre qui m'impressionne !... plus que sa longueur, pourtant remarquable elle aussi .

Ces temps ci, Murielle recommence à me faire porter des plugs de différents diamètres, et j'en déduis que c'est dans le but de me faire enculer, à plus ou moins court terme, par son amant blanc ...

Je l'ai dit déjà, Joseph qui adore la sodomie, n'est pas assez résolument bisexuel pour  que " m'assouplir la rondelle " soit un objectif  très " intéressant " à ses yeux !

Le plug n'est donc redevenu  nécessaire dans mon " modelage physique  " que depuis le retour de Grégory dans la vie d' " Elle "...

Et ce n'est pas ce qui me réjouit le plus dans l'arrivée d'un deuxième amant régulier auprès - au plus près ! - de la " Favorite " ...

Pour l'heure ( ce que je raconte s'est passé hier soir quand Murielle a appris au dernier moment que son Joss venait de partir en déplacement professionnel  pour deux jours... Greg a rappliqué aussitôt  )... pour l'heure donc, elle a tourné, pendant que je léchais et suçais l'énorme engin de l'homme ... 

Elle a pivoté  ... et s'est retrouvée face à lui....

... lui  toujours allongé...

... elle toujours accroupie ... mais du coup me tournant le dos. 

 J'ai commencé à lécher son cratère... je savais, comme ce n'était pas une première et au vu du calibre avalé , que le sphincter anal de l'épouse de Régis n'était pas près de retrouver son élasticité naturelle ...

Elle a gémit quand le gland violacé de son amant s'est présenté entre ses lèvres vaginales... et son anus béant, qui n'était plus directement concerné pourtant s'est mis à palpiter ...  ( de bonheur peut être ! ... comme au souvenir de ce qu'il venait de recevoir ! ) 

 J'ai de nouveau dardé ma langue pour qu'elle entre au mieux dans son rectum ... 

Gregory n'avait pas joui dans son cul, mais le cratère et la raie  étaient  fort  " onctueux "... crémeux à souhait !...  riche d'une pellicule épaisse des sécrétions de la belle ... Grégory, sans rien faire de particulier pour cela , la faisait abondamment " mouiller du cul " ... ( il aimait à le dire ) et puis il y avait tout l'excédent de cyprine qui suintait,  débordait !

Murielle a joui une deuxième , puis une troisième fois, dans cette position ... elle l'a gardé longtemps ... j'ai continué à lécher ou a effleurer , en m'adaptant à leurs changements de rythme, l'anus- gouffre , la raie suintante, le périné luisant ...

...  l'odeur  forte m'excitait : plus acide , moins musquée cependant que celle qui résulte des sécrétions mêlées de Joseph et de Murielle... mais c'était aussi très  enivrant ...

Quand elle a senti que son mec allait jouir, elle s'est affalé sur lui ... leurs bouches se sont soudées ... Chacun ainsi a étouffé les cris de l'autre ...

Ils ont joui de concert  ... et je les ai nettoyé dans ma bouche ...

Avec eux jusqu'alors ( mais il est vrai que c'est récent ! ) aucune exception : je nettoie les deux dans ma bouche ...

... avec Joseph c'est beaucoup moins systématique surtout sur lui ...

Maître Joseph ne me confie  automatiquement  l' " assainissement " de son membre viril que lorsqu'il sort de l'anus de ma Maîtresse.

Ensuite Grégory ma ordonné " de  me casser " ... J'ai regardé ma Maîtresse, avec un brin d'espoir, mais elle n'a rien trouvé à redire, ni à la phrase ni au ton de son amant ...

 Je les ai encore entendu se donner du bonheur pendant un bon moment avant de trouver le sommeil . 

Mais j'étais heureux en fin de compte de cette fin de journée ...

Le matin même, Murielle, comme c'était prévisible, était partie sans moi  chez Grégory ... et voilà que le départ inopiné de Joss ... me permettait de  "profiter" un peu de la situation, avant même le changement de jour  ! Que pouvais je espérer de mieux !     

Samedi " normal "  au sérail !  Ce matin je me suis réveillé le nez sur l'anus de ma Maîtresse , la tête dans l'étau de ses admirables cuisses ... l'odorat flatté par les riches senteurs générées et laissées par le couple dans leurs ébats nocturnes...puis macérées sous la couette d'été, si légère.

En effet , étrangement Murielle est restée couverte en cette fin de nuit .. la couette est restée " en l'état ", comme  lors du départ de mon Maître, vers cinq heures du matin...

Murielle, allongée sur le côté, venait de " m' inviter " en levant la cuisse, à prendre la place que je connais bien : en travers du lit et tête " dans son cul " comme elle dit . Maître Joseph l'avait embrassé une dernière fois  en s'appuyant sur mon corps . Du  cul  de la " Favorite " suintait encore un reliquat de sperme qui avait échappé à ma langue ...

La voiture  partie ... J'entendis ensuite, atténuée par le tissu, la voix chaude de ma Déesse au téléphone  ...

- " On ne se voit pas demain Trésor,  Joss ne travaille pas ce weekend, ce serait trop risqué, je ne sais pas quand il va revenir ... mais sans doute avant le soir . " ...

... un silence ... elle écoute " Trésor " - Gregory bien sûr - puis...

- " Bon ! O.K ! moi aussi j'ai envie de te voir amour mais .... ( de nouveau un silence prolongé ) ... mais bon ... oui ! ... on peut faire comme ça ! ... oui !  entendu !... c'est moi qui passe te voir demain en fin de matinée... d'ac... d'accord ..."

... Ainsi face à la nouvelle situation et au risque de voir débarquer n'importe quand Joseph, qui ne travaillait pas , mais aussi les autres Femmes du Maître ... Murielle allait pour la première fois - du moins à ma connaissance - rencontrer son autre amant hors du sérail...

Joseph l'avait épuisé physiquement et elle était rassuré par  ce coup de fil ... elle ne tarda pas à s'endormir.

Après avoir exigé un dernier service de ma bouche :

- " Lèche encore un peu ma  chatte " centsept " elle fait toujours du bruit quand je bouge ! ... tu n'entends donc pas ?! " 

... Eh oui j'entendais... je me forçai donc à extirper de la Féminine cavité  les dernières " lichettes " grumeleuses et poisseuses ... elle s'endormit juste après ... son souffle me l'indiqua...

Pour moi ce fut plus long... j'étais terriblement bien ! ...

Ma dernière pensée fut pour me demander si ma Maîtresse avait l'intention de m'embarquer  avec elle chez son amant...  je n'avais aucun élément de réponse : nous n'avions jamais fait ! 

 Autre chose que j'ai connu, à certaines périodes de ma vie servile, et

que commence à apprécier Murielle indirectement :  c'est l'étirement, l'élongation - comme on voudra ! - ... des couilles .

Je dis indirectement parce que là encore l'idée serait plutôt venu de ...   Joseph ! ... Oui ! au début je ne pensais pas qu'il avait ce penchant :

 je l'ai dit, mon Maître a une sexualité certes débordante, mais plutôt saine et simple ... Or il insiste beaucoup - c'est Cucky qui est là depuis

 plus longtemps que Cocu et moi qui nous l'a fait remarquer - sur l'"importance" ... sur la " beauté " des couilles pendantes, pour les esclaves ! 

La dernière fois que j' ai parlé dans un article, de serre-couilles, de pince-couilles  et autres joujoux sadiques ... des jours et des jours avaient coulés...

...  puis l'ami Christophe avait fini par me rappeler, quelque temps plus tard,

 que je n'avais pas tenu promesse : je devais  en effet parler d'autres moyens d'étirer, d'allonger les couilles ... je l'avais dit , au détour d'une anecdote , peut être !... je m'en tire parfois comme ça , quand le temps me manque ... et puis j'oublie , plus ou moins ...

Il faut dire  qu'ici, sur ce plan il est difficile d'oublier totalement les choses  - ou ... " les choses "... ahaha ! -

 ...  à vrai dire ," serre " et " tire " couilles ne chôment pas ! nous en avons plusieurs à disposition,  et les Maîtresses ont l'embarras du choix !...

Personnellement, je n'ai, dans aucune période de ma vie été aussi souvent confronté et  soumis à ce genre d'appareils barbares - je pense même que j'ai , jusqu'à un passé  récent, ignoré jusqu'à l'existence de ces objets...

Et pourtant mes couilles pendouillent un peu plus que la moyenne ...

La " faute " aux  " parachutes " ? ...

 Ah ! ça oui ! je connais depuis longtemps !... ces coques de cuir lestées de poids conséquents ... puis carréments lourds, suspendus des heures durant ... sur des jours et des jours aux testicules !...

.... pendant les heures de repassage,

... d'entretien des pompes,

... de lavage à la main de la lingerie,

... de lavage et lustrage des voitures !

... pendant tous ces moments où d'interminables tâches impliquent la station debout permanente !

Pourtant, si l'équation temps passé/poids supporté est en partie responsable de la morphologie actuelle de mon entre-jambes... c'est autre chose , je crois qui explique l'efficacité de la démarche :

J'ai été , dans deux périodes de ma vie,  éloignées l'une de l'autre il est vrai, confronté à des applications de substances pâteuses - et, la deuxième fois malodorantes -... sur mon sac boursier ...précisement  entre racine de ma verge et couilles...

Je me souviens précisément des différentes étapes de cette première période... je n'ai pas été mariée à la Femme qui m'imposait cette rude épreuve : j'étais l'esclave, non permanent mais  fréquemment exploité, du couple qu'elle formait avec un bel homme distingué et cultivé, qui je crois lui avait fait connaître la ... " pommade " ( appelons ainsi cette substance ).

Oui ! c'est lui qui avait introduit le pénible produit dans notre vie ... mais c'est elle qui tenait à me l'appliquer ... et  qui veillait aux fréquences très rapprochées des " massages " !!...

Ah ! les massages !!

C'est moi qui badigeonnait - au pinceau plat  - la surface de peau entre la racine de ma verge et mes  testicules . Ma Maîtresse - Magali de son prénom - me massait ensuite pendant plusieurs minutes le sac boursier ainsi enduit... Je me souviens que la première fois, elle m'avait elle même

" badigeonné "  ...mais comme j'étais soumis à un strict déni d'orgasme, j'avais giclé dans ses mains dès qu'elle avait commencé à me  " tripoter " comme elle disait dans une moue sarcastique...

...  évidemment cela n'avait pas plu ! 

J'avais pris quelque coups de paddle spontanés , mais surtout, quand David, son homme, était rentré le soir et qu'elle lui avait raconté la chose, cela m'avait valu une rouste mémorable ... après quoi, me laissant " sur le carreau " ils avaient fait l'amour merveilleusement sans plus s'occuper de moi et de mon corps douloureux étendu à leurs pieds...

En me badigeonnant moi même, comme dès lors elle l'exigea  et en laissant au produit le temps d'agir, elle régla le problème... plus d'éjaculation à redouter, dès le contact de sa main :

Le produit agissait vite... chauffait. Puis venaient des picotements de plus en plus désagréables et même disons le , douloureux  ! ...

... elle aurait pu ensuite me masturber sans que je sois tenté de gicler ! ... d'ailleurs ma bite rabougrie la prévenait qu'elle pouvait agir alors sans le moindre risque... C'est là que sa manipulation commençait ... 

Mais je vais vous faire attendre encore un peu pour tenir complètement ma promesse à Christophe... car mon service m'appelle et ne saurait attendre ... encore un peu de patience au sujet de cette " pommade  assouplissante et  étirante "  !!