Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Je n'oublie pas que je me suis plus ou moins engagé à vous parler des deux nuits que j'ai passées, près de ma Reine, dans la chambre de sa Fille, mais à la place qui est habituellement celle de Paco son mari...
Avant, je dois cependant apporter quelques précisions sur ces merveilles de technologie que sont les lits muraux, dans leur version "futuriste"... puisqu'en effet dans mon article d'hier, j'ai fait référence à des lits comparables... mais qu'on trouvait encore au milieu du vingtième siècle dans des campagnes de la France profonde ...
Ceux qui ont été aménagés pour "Poquito", mari cocu et gendre de ma Maîtresse sont évidemment équipés avec une sophistication qui n'était pas de mise dans les campagnes françaises de l'immédiat après guerre :
- Glaces sans tain... et même ( je ne l'ai pas mentionné hier ) - Caméras enregistreuses (de tout ce qui se passe à l'intérieur de la cage murale) ...
Certes ! je ne l'avais pas encore mentionné aussi clairement mais celles et ceux qui me lisent attentivement ont dû s'en douter (sauf à considérer que l'opulence matérielle venait de Madame ... mais la situation économique et socio-professionnelle d'Armelle, sa mère, démentait aussitôt cette approche) il fallait que le mari asservi soit " à l'abri du besoin ", et bien au-delà, pour justifier les informations que je donne, sur leur train de vie, comme sur de tels équipements .
Un train de vie tout naturellement "confisqué" par Madame à son seul usage ...
Ma paillasse est certes moins rutilante et spectaculaire, mais il n'y a pas l'oeil d'une caméra sans cesse braquée sur moi dès que je vais me coucher... ... la caméra à une autre conséquence: le cocu qui dort là "bénéficie" d'une lumière allumée permanente... moyennant quoi il n'a pas besoin d'avoir le sexe équipé d'une CB : tout attouchement dans la zone de son bas ventre, nécessairement capté par la camera, serait sévèrement réprimé ! ...
Vous dites ? la bande enregistrée ne peut quand même pas être visionnée intégralement chaque jour ! ... certes ! mais il suffit que la menace pèse pour être dissuasive...
La glace sans tain ? là il me fallait être clair, plus que je ne l'ai été hier :
la face "miroir" est - j'insiste - côté chambre ... quand le traitement "vitre", lui, permet au mari cocu de voir ce qui se passe dans ce qui n'est plus sa chambre ! Paradoxal dites vous ? ... sauf que Madame peut quand elle veut "baisser le rideau" de la dite fenêtre ,rendre l'intérieur de SA chambre invisible ...
Je n'oublie pas que j'ai promis hier de proposer des échantillons de mes deux nuits dans la place ... et vous verrez des illustrations de cela .
Pour ce qui est de la photo de moi proposée en début d'article ... il ne s'agit que d'un clin d'oeil à l'ami Christophe, qui dans un commentaire récent, nous fait l'amitié de nous signaler QU'AUJOURD'HUI MÊME, ce lundi donc, il devrait ÊTRE "MARQUé", tatoué, par décision de sa Maîtresse, aux chiffres qui constituent son matricule international d'esclave...
Il précise une fois encore , ce dont il est légitimement fier , à savoir sa nudité totale, des pieds à la tête, puisqu'il est tondu, rasé, épilé de partout... depuis des années... Quand moi qui ai vécu il y a plus d'un an et demi la tonte, le crâne rasé à titre punitif , et par deux fois ... je suis aujourd'hui affublé d'une pilosité dermique que je n'avais pas connu depuis longtemps... je parle de clin d'oeil, car j'avais expliqué dans les articles relatant mes deux tontes, l'atrocité de ce que je vivais là... l'humiliation sans nom vécue par deux fois... Christophe, lui, ne partageant absolument pas ce sentiment, pour une fois !
Voilà comment, des Femmes Supérieures comme nos Maîtresses respectives, qui ont des points communs nombreux, peuvent aussi avoir des objectifs et projets différents pour leurs esclaves , et une hiérarchisation différente des contraintes, brimades, obligations... etc...
Ma vie et celle du gendre de ma Reine se ressemblent de plus en plus :
Prenez la nuit par exemple !... nous sommes tous les deux exclus le plus souvent de "LA" chambre ! sauf que lui dort en général - sauf punition pour faute grave... qui peut le voir enchaîné à la cave - dans un lit "mural" !... quand moi j'ai la paillasse que vous savez .
Le lit mural, cela ne va sans doute pas être facile à expliquer aux jeunes générations ( car même les films du passé présentent rarement cette réalité !... et pourtant je l'ai connue enfant, tant en Auvergne qu'en Bretagne des régions sensiblement différentes !... mais qui de nos jours a déjà vu ça? )
Le lit mural donc s'inscrit dans le cadre d'un mur - d'où son nom, jusque là je pense que vous me suivez ! - c'est une sorte de niche à mi-hauteur (un petit tabouret, je m'en souviens, était parfois nécessaire pour y accéder) Ces lits étaient surtout caractéristiques des lieux de vie d'antan qui étaient souvent constitués d'une pièce unique et grande ... les lits, dans un tel contexte étaient isolés de la pièce " à vivre" par le baldaquin ou... justement, l'encagement-encadrement dans les murs ... vous voyez ?
... et bien Paco dispose de cette sorte de lit-cage !... et ce aussi bien dans l'appartement que dans leur villa du littoral : les deux chambres de Madame sont "équipées"... la différence entre les deux lits muraux du cocu ?
- Dans la maison de campagne l'accès se fait par le couloir extérieur "Poquito" peut donc gagner sa couche, sans passer par la chambre "conjugale" (si l'on peut dire !)...
- Une autre différence - toujours pour ce qui est de la maison - c'est que vu du côté chambre, le mur comporte deux battants de porte en bois sombre massifs, que Madame peut ouvrir ou non à volonté. Derrière ces portes une autre séparation est constituée par une plaque coulissante de verre sans tain : un miroir, vu de la chambre, actionnable de la tête de lit par télécommande !
Ainsi l'Epouse à le choix : Si elle est avec un amant qui n'est pas dans ce type de comportement, qui ignore jusqu'à l'existence d'un mari ... la porte opaque fermée suffira à isoler... sinon tous les jeux et cas de figure sont possibles !
En ville, l'espace habitable, plus limité, ne permet pas cela, l'accès comme la sortie du lit mural du cocu ne se fait donc QUE par la chambre ... mais c'est un miroir coulissant - glace sans tain également - qui "coupe" le lit cage de la chambre conjugale, ce qui offre ainsi à peu près lemême nombre de possibilités .
Je me suis déjà trouvé, avec Armelle dans la chambre de ville dont je viens de parler ( c'était la semaine dernière pendant un séjour touristique de sa Fille à Agadir) et je peux vous dire que c'est le top ...
Je raconterai bien sûr les grandes lignes de ces deux nuits, mais désolé, ce ne sera pas dans l'immédiat, faute de temps encore .
J'utilise le pluriel et l'approximation à dessein: d'abord je tiens, dans cet article, à rapprocher le vécu d'un esclave marié (sévèrement marié !) le doux Paco - dit "poquito" si vous avez lu certains de mes précédents articles -
... et le mien... qu'on peut désormais qualifier d'esclavage marital:
Je suis, en effet de nouveau, complètement dé-socialisé ! Oh ! j'ai connu plusieurs fois déjà !... ça me fait gagner du temps... ça m'évite de paniquer en certaines circonstances... je sais que dans mes lecteurs soumis certains connaissent ça ou le découvrent: Christophe en a parlé récemment... c'est humiliant... c'est étouffant... c'est frustrant, mais c'est grisant aussi ! Comment imaginer un don plus total de soi ?? un sacrifice plus grand !
Armelle a "nettoyé" la mémoire de mon téléphone à carte prépayée... Armelle épluche au centime près l'évolution de ma réserve: comme à part quand je dois l'appeler, ma réserve ne fond pas puisque j'ai interdiction d'appeler quiconque ! et comme je dois passer par elle pour recharger l'appareil... elle sait parfaitement s'il a servi, même pour des appels entrants ... il m'a été chaudement recommandé de ne rien faire pour faire disparaître le moindre nom de la liste de ces appels entrants, et lorsque nous sommes dans le même cadre, au même endroit ... elle actionne le "transfert d'appels" vers son appareil... j'en arrive à redouter jusqu'aux messages et SMS publicitaires, de plus en plus nombreux ( c'est l'époque qui veut ça ... non ? )... et les appels résultant d'erreurs ( comment puis je prouver qu'il s'agit bien d'une erreur ? - et oui ! c'est à moi de le faire ! -) ...
Rendez vous compte que ma Maîtresse me coupe même de ma chaude relation avec Cucky !! quand on sait le rôle qu'a joué Cucky dans l' installation, dans l'avènement de ma nouvelle vie !! ... dont d'ailleurs, Elle, Armelle est la première à n'avoir qu'à se féliciter !!
Elle me dit régulièrement que je le reverrai... qu'elle même y tient beaucoup... mais que ce serait en sa présence " voilà tout " conclue t elle... ajoutant parfois en riant et faussement (dans ce cas précis) suspicieuse:
- " Auriez vous des choses à me cacher tous les deux ? " Elle rit souvent de mon insistance ... mais parfois , si j'insiste un peu trop elle va jusqu'à me promettre le fouet... selon elle les amitiés entre esclaves n'ont pas lieu d'être :
- " Estime toi déjà heureux que ni Annabel ni moi ne voyions d'un mauvais oeil la sympathie que mon gendre et toi semblez développer l'un pour l'autre!" ... Bref je souffre de cette situation mais je l'apprécie en même temps ! C'est bien le paradoxe de l'esclavage de type conjugal assumé:
... On a besoin de ce dont on souffre ... mais l'extrême sévérité de "nos Femmes" est au fond "savourée" comme un bien précieux!
Qui aime bien encadre bien ! qui aime bien châtie bien !
Il est vrai que la proximité de Paco est positive à tous égards ...
J'y reviendrai, mais j'ai quelques petites idées, sur ce qui pourrait me permettre, dans un proche avenir, et en semaine, de me remettre à écrire, comme à communiquer avec vous de nouveau :
La Mère et la Fille ont décidé que leur deux esclaves devaient, le plus souvent, travailler ensemble. Tantôt chez l'une, tantôt chez l'autre, mais en "doublette" !
J'en ai déjà touché deux mots à mon semblable : il ne verrai pas d'un mauvais oeil que je travaille seul, sans lui " qui se la coulerait douce " une partie de la journée, tandis qu'en contrepartie, il assurerait seul l'ensemble des tâches pendant mon retour au clavier ...
Selon lui, cela suppose que je travaille plus vite ( sans bâcler ) défi que je cherche à relever au mieux actuellement...
Voilà comment, par petites touches l'avenir peut redevenir un peu plus ouvert !
Bientôt il y aura de nouveau deux semaines que l'éjaculation m'est interdite, et évoluer dans l'ombre ou le sillage de Femmes aussi sensuelles, provocantes, séduisantes et... "fatales" qu'Armelle et sa terrible Fille n'a rien de rassurant dans un tel contexte... Et puis, il me faut le dire , quelque chose semble changer au sujet du déni d'orgasme, de la chasteté...
Oh ! pas un changement de "philosophie"... de "valeurs", du côté du pouvoir Gynarchique sous lequel je suis tenu de vivre... rien qui puisse me laisser espérer un quelconque "droit à la masturbation" mais un changement d'approche de la question, pour le moins... du moins du côté d'Armelle...
Est ce l'influence de sa Fille, la pratique d'Annabel à l'égard de son mari qui lui donne à réfléchir et la pousse à l'imiter ? Toujours est il que je ne passe plus que très rarement des jours entiers sous CB. ( Tout en écrivant cela, je réfléchis, "balayant" rétrospectivement la décade écoulée... et je ne trouve en effet pas trace d'un jour entier durant lequel la petite clé-bijou n'est pas entrée en contact avec son cadenas )...
... Et pour une fois que l'imation de la Fille par la Mère ne m'est pas préjudiciable, je ne vais pas m'en plaindre ! ... même si (nous en avons parlé Christophe et moi ici à quelques occasions... sans forcément tomber d'accord ) oui ! même si évoluer TOTALEMENT NU, sans même l'écran pudique de la CB est encore plus impudique et humiliant quand la nature n'a pas été plus généreuse et que des pratiques " orientées" ont encore "affaibli" l'organe...
L'autre inconvénient - dans la foulée d'une nudité radicale que renforce encore le port de mon épais et large collier d'esclave - c'est bien sûr que mon "appareil de reproduction" ( dixit Armelle rigolarde qui sait bien qu'il n'est pas grand chose... mais surtout pas ça ! ) n'est pas plus "protégé" au plan tactile qu'au plan visuel... je veux dire que chaque jour qui passe, suite à la précédente éjaculation, me met un peu plus à la merci d'un attouchement inconsidéré... intempestif... etc... Bref le risque d' "accident orgasmique" est là !... lancinant... obsédant !
Et imaginez l'effort qui m'incombe !... la maîtrise que je dois déployer, quand, sur le coup de minuit, les soirs sans amant ni sortie de ma Reine, je me retrouve "rivé" à son Divin Cul... et qu'espiègle... ou délibérément rouée elle l'agite !
Bref ! paradisiaque enfer... ou infernal paradis ! ... qu'en dire de plus ?
... mais je tiens ! ...
Dans la nuit de dimanche à lundi, j'ai évité la catastrophe d'un poil...
... hier ? sauvé par sa sortie nocturne ... avec un nouvel amant, qui n'est pas venu à la maison :
Elle est rentrée à trois heures du matin...( au moment où j'allais me mettre au clavier après avoir dormi deux heures !!)... elle est venue enfourcher mon visage sur ma paillasse... elle a froncé le nez - il paraît que ça ne sentait pas très bon ! je reviendrai sur ce constat - puis m'a fait lécher et laper sa minette toute gluante et emplie de glaires grumeleux de foutre ... celui du "nouveau" qui parait il "baise très très bien" ... tout ça avant de rejoindre son lit! Seule!... ruinant mes espoirs !
Mais avec toutça ! cette difficulté à communiquer ici avec assez de régularité, comme encore récemment, j'en oublierai presque que je vous ai signalé avor éjaculé après des semaines d'abstinence forcée !... et sans vous en dire plus.
Oui ! Cela fait maintenant plus de dix jours. C'était un de ces matins de bonheur sous la couette... pour moi TOTALEMENT SOUS la couette. Pendant cette heure que je passe dans l'étau de ses cuisses... à humer ma Maîtresse, à lécher ma Reine, à embrasser mon Idole, à respirer ma Déesse...
La veille, j'avais subi, en compagnie de Paco une séance "couilles bleues" particulièrement violente, dans laquelle, bien involontairement , j'avais fait gagner la fille d'Armelle: elles avaient parié - elles et leurs amants - sur un sujet d'importance (jugez en) "Lequel des deux esclaves auraient les plus spectaculaires blue balls "après mijotage"... expression annabellienne qu'emploient maintenant les deux Femmes pour désigner la période d' "allumage" et ses tourments, pendant laquelle par leurs poses, leurs façons d'être, leurs propos, leurs gestes, leurs vêtements (ou absence de...) leurs jeux avec ces messieurs... voire leurs attouchements ciblés... elles font tout pour nous émoustiller... nous mettre- au sens propre - la pression.
Annabel fut la seule des quatre à parier sur moi ! au nom du fait que d'habitude, elle obtient des résultats "stupéfiants" sur les couilles de son mari... ( et je peux vous dire, pour en avoir vu pas mal dans ma vie de soumis qu'en effet, ces résultats sur Paco sont généralement époustouflants ! )... et bien là - sans doute en relachant un peu la pression sur son cocu... et en l'accentuant sur moi - elle gagna son pari ...
Bref si j'évoque superficiellement cette séance c'est pour suggérer qu'Armelle en avait peut être tiré les conséquences, pensant que décidément il était temps de me "laisser juter"... toujours est il que ce matin là, après son petit déjeuner, servi comme d'habitude à genoux sur un côté du lit, plateau à bout de bras, elle prit la clé du cadenas-bijou ( voir un précédent article) et ouvrit ma CB... M'EN LIBERANT !... sans un mot, mais en me regardant, souriante...
- " Mais ma Reine ... je... je vais jouir aux premiers frottements de mon ventre sur le drap ! dès que je vais m'occuper de vos intimités ! "
- " D'abord tu seras giflé dès que je serai debout: je ne pense pas t'avoir autorisé à parler et tu n'en a pas fait la demande comme tu dois le faire . Ensuite je crois que l'heure est venue de t'autoriser à vidanger tes pauvres couilles... j'ai vu hier dans quel triste état elles sont !... mais je ne vais pas te permettre de suite de te frotter contre le drap... lèche moi donc à genoux, avant bras sur le drap, coude contre genoux... allez ! "
Et c'est comme ça que je l'ai portée vers un nouvel orgasme... Et je crois bien que même sans frottement, j'étais sur le point, moi aussi de jouir ! Mais aussitôt après son accès de plaisir , elle m'a fait basculer sur le dos, au milieu du lit et est venue s'asseoir sur mon visage, calant son anus sur mon nez et ses lèvres intimes sur ma bouche... elle m'a pincé durement les tétons, la douleur m'a fait débander... Elle s'est frottée ... s'est déhanchée...a "roulé" sur mon visage... comme si elle cherchait à m'étouffer... ses odeurs toniques revigoraient la tenue de ma verge étonnée de sa liberté soudaine...
J'ai senti qu'Armelle avait fait le choix d'un nouvel orgasme... et c'est monté très vite en elle... cette fois elle a " éjaculé" ... un flot abondant de sécrétions séminales caractéristique de la jouissance des Femmes fontaines qui m'inonda le visage, empli ma bouche...
Après ? il lui a suffi d'entreprendre de saisir mon organe entre pouce et index , sans y mettre les ongles (pas si facile) pour me faire "cracher mon foutre"...
Une décade a passé et de nouveau ma verge me rappelle à son souvenir... mais là des choses ont changé dont je vais aussi parler bien sûr .
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