Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Bon, d'abord désolé de ne parler presque que de ça en ce moment...
Oui ! les châtiments par le fouet, la cravache!...
Croyez moi ce n'est pas une obsession pour moi ! Oh! non !... et je vais, sitôt après, je l'espère, pouvoir parler de ma vie "familiale" avec ma Reine... ce qui je crois intéresse le plus grand nombre de mes lectrices et lecteurs, prioritairement en tous cas... mais là je me sens un peu obligé de coller à l'actualité... à mon actualité !
Car je ne crois absolument pas que j'aurais pris cette volée de coups, s'il ne s'était pas passé quelque chose, dans la journée d'hier jeudi, qui m'a assez perturbé...
C'est une chose dont je ne peux parler en détail, car bien que ce soit on ne peut plus inscrit dans la sphère BDSM, cela n'appartient pas directement à ce qu'est ma vie actuelle... à laquelle vous me faites l'honneur de vous intéresser...
Je suis donc désolé de ne pouvoir en dire plus ici, sur ce qui m'a perturbé à ce point ... mais je crois que pour la compréhension de ce qui suit , il suffit de savoir que je n'étais pas, comme on dit ( ou comme disait ma grand mère, car je ne suis pas sûr qu'on le dise encore beaucoup) "dans mon assiette"...
Il faut juste au fond que vous compreniez que, mécontent de ce comportement "extérieur" ( oui! essentiellement le mien ! ) je me suis mis dans une situation dans laquelle ma Maîtresse n'avait guère d'autre possibilité que de me punir et plutôt sévèrement...
Bref transfert dans le châtiment !
Je ne pensais peut être pas cependant que cela serait aussi sévère, car je vous l'ai dit, Armelle, qui est pourtant capable d'une grande rigueur , manie plutôt facilement les grosses baffes ... parfois les fessées au paddle, mais rarement plus , en tous cas c'est ce que j'ai vécu au cours du mois écoulé...
Là ! je reconnais donc que j'ai cherché ! c'était comme une sorte de combat en moi ... mais il fallait que je paye !... pour quelque chose qui n'avait rien à voir avec mon entourage... mais la nature humaine est un peu comme ça... non? en tous cas la mienne...
J'ai été insolent, j'ai manifesté de la mauvaise volonté dans l'accomplissement de taches qui m'incombent et qui n'avaient jamais posé de problème... et cela pendant un bon moment!
Résultat Armelle, d'abord désorientée, et après m'avoir giflé un peu plus qu'à l'habitude, a passé un coup de fil à sa fille ( qui était attendue ... j'avais préparé, tant bien que mal un repas pour eux trois: mère, fille et amant de cette dernière, le mari devant manger avec moi leurs restes à quatre pattes dans la cuisine )...
Je ne parle donc pas du repas ... ni des humiliations et brimades habituelles ... mais déjà le supplice consista ... à ne pas savoir, jusqu'au dernier moment, qui intervint à l'heure du digestif des convives et du cigare de l'amant ... ce que serait réellement mon sort ...
Il était clair pourtant que je n'y échapperais pas:
La fille d'Armelle arriva à la maison avec le fouet roulé à la main et les allusions ne furent jamais évité, dans les deux heures qui précédèrent mon châtiment...
C'est la fille, experte, vous le savez si vous avez lu mes deux ou trois derniers articles, qui au début guida la main de sa mère ...Armelle tenant à me punir elle même ( je dirais quand même "heureusement" , puisque vous connaissez les talents et la hargne de sa progéniture ) de fait, les coups furent plus espacés ... puisque des explications nombreuses les accompagnaient... et quand même moins appuyés... et selon des angles moins "efficaces" ... Je m'en suis bien rendu compte lorsqu'à quelques reprises quand même, pour l'exemple, la fille frappa elle même, directement et seule .
J'ignore combien de coups je pris ... j'étais terrorisé, incapable de compter mentalement ... je suivis du regard les deux Femmes, pendant les huit minutes que dura l'épreuve... et de temps en temps l'amant qui rigolait en fument son havane !
J'ai même fini par supplier ... alors que j'avais bien compris, quelque jours plus tôt , que c'était peine perdu... que ça ne faisait qu'exciter d'avantage la jeune Femme... mais je cherchai surtout à tenter de fléchir la détermination d'Armelle ... et je n'obtins évidemment pas plus de succès.
Voilà ! Pour du "frais" c'est du frais comme sujet ! ... cela s'est passé il y a moins de vingt heures... et la peau de mon dos... de mes fesses, est dans un état que je n'avais pas connu depuis que j'avais échappé à Grégory ... Dire que certaines plaies, en particulier sur les fesses commençaient juste à cicatriser !
Là, je vais avoir du mal à m'asseoir de nouveau pendant un moment ... je n'en penserai que plus fort à quelqu'un !!
Je crois l'avoir dit dans l'un de ces deux derniers articles relatant le châtiment au fouet de Paco, le supplice s'inscrivait dans la durée et non dans un nombre de coups... Je ne me souviens pas avoir été confronté, dans ma pourtant longue vie "BDSM" à quelque chose de semblable.
Pourtant à entendre le petit monde dans lequel je vis désormais, ce serait chose assez courante...
- Attention: "petit monde", ici, n'est pas péjoratif et n'a vraiment aucune raison de l'être... je veux dire par là que le monde BDSM de Celles et ceux qui vivent notre passion au quotidien n'est hélas pas très fourni numériquement, même si mes centaines d'articles, depuis une vingtaine de mois, peuvent laisser à penser le contraire.
Je sais bien pour ma part qu'on fait de la cooptation. On se reconnait entre nous, et on évite généralement la publicité qui viendrait des media; eux ne faisant que dans la caricature, le folklore (donjons et compagnie) comme naguère encore pour l'homosexualité... Oui c'est encore un milieu fermé, dans lequel il est nécessaire, pour Celles et ceux qui souhaitent vraiment le vivre au quotidien, de se trouver... sans se perdre - ( Ouf! quelle digression! )
Oui!... chez la fouetteuse, chez sa mère ma chère Maîtresse, chez l'autre couple fétichiste qui nous a reçu pendant notre séjour à Grasse, la pratique du châtiment évalué... dosé en temps, en durée et non en coups, est bien connue.
Pendant mon séjour chez ce couple vivant dans l'opulence, le mari, respectable - et respecté, oh! combien dans sa vie sociale... grand quinquagénaire ventru - a reçu deux punitions:
- une modeste constitué de quelques coups de paddle par Madame (classique bourgeoise autoritaire, cassante de trente sept ans, ne misant rien sur le "sexy" ni la fantaisie bien que disposant d'un physique... intéressant).
- Une "en temps", dispensée par... le chauffeur !! ( amusant et surréaliste de voir ce russe trentenaire, qui doit faire en même temps office de garde du corps, tant il est "baraqué"... qui obéit en disant "Oui Monsieur" dès qu'il est question de boulot, prendre un fouet du genre single-tail que lui tend Madame, appuyé d'un énergique " Allez y Vlad !... il est à vous pour... disons... une demi-douzaine de minutes . " ) ...
Pas question bien sûr d'en tirer quoi que ce soit, et surtout pas de statistique ... amusant simplement pour moi, curieux même ! moi qui je le répète, dans ma longue et aventureuse vie, n'avait jamais été confronté à des châtiments " en temps " .
Il fallait la voir tourner autour de son mari, fouet court ou cravache à mèche en main !... le narguer du regard ... lui sourire parfois...
... Sourire carnassier dans la palpitation des ailes de son joli nez...
Puis redevenir sévère en une fraction de seconde ! ... tourner toujours !... mais en repartant dans l'autre sens ... étirer sa cravache , la lisser , dans la paume de sa main libre... échanger cravache contre fouet après avoir semblé hésiter, faire claquer la lanière épaisse dans l'air ! ...
Prendre le temps d 'arranger une mèche de ses cheveux auburn lorsqu'elle passait tout près du grand miroir qui, comme dans une salle de danse, couvrait la totalité du mur - il y avait d'ailleurs la fameuse barre de bois des salles spécialisées, courant , à quelques centimètres de la glace sur toute la longueur du mur - ...
Elle approchait avec affectation son lumineux et juvénile visage, replaçait la mèche indisciplinée ... essuyait les infimes gouttelettes de sueur qui, au bout d'une dizaine de minutes perlèrent sur son nez, sur ses tempes ! ...
Elle était vêtue d'un pantalon ultra-moulant, au bas rentré dans des bottes cavalières sobres, noires... Le pantalon était dans une de ces matières nouvelles qui étreignent de si près le corps qu'elles épousent jusqu'à la fente culière ... et sur un fessier aux rondeurs si callipyges l'effet est garanti !... Inutile de dire qu'ainsi moulée dans ce qui semblait être une seconde peau, elle ne portait pas de petite culotte !
Avec ce miroir face à lui " poquito " - elle ne l'appelait plus que comme ça , en riant ou souriant - bref son mari ... pouvait ne pas la perdre de vue une seconde , même lorsqu'elle marchait dans son dos !
Certaines et certains ayant lu l'article précédent penseront peut être que le mari voyait d'un plutôt bon oeil tous ces gestes " gratuits " de la jeune Femme :
Après tout, puisque le châtiment consistait en un quart d'heure de fustigation à la cravache et au fouet - et non en un nombre déterminé de coups - chaque instant pris par les soins de la fouetteuse à l'examen de sa jolie personne, chaque brassée de secondes passée à tourner autour de sa victime en la suivant du regard ... c'était du temps gagné !... non ?
Et bien NON !... essayez de vous mettre à la place du malheureux ! moi ... je vous assure qu'agenouillé à trois ou quatre mètres derrière lui j'y parvenais aisément :
Chaque seconde sans coup était aussi une souffrance !... au même titre que la seconde où claquait le cuir sur la peau rougie, striée et sur laquelle perla bientôt le sang ! La douleur d'un coup s'installe, se propage, irradie un bon moment après le coup !... Quelqu'un qui a déjà vécu cela, ne serait ce qu'une fois ne risque pas de l'oublier, et j'étais en profonde sympathie avec Paco sur ce plan ...
Le malheureux garçon eut assez vite le dos les fesses , l'arrière des cuisses écarlates : comment ne pas penser qu'il souffrait intensément entre les coups ?!... comment songer que les instants pendant lesquelles sa Femme minaudait au plus près du miroir constituaient un répit ?!!...
Et puis il n'était sans doute pas comme moi : torturé jusqu'à l'obsession par cette beauté impitoyable et inaccessible qui tournoyait autour de lui, passait entre nous !... lui avait trop mal pour être aussi " léger "... ou même vaguement excité ( Oui ! je le confesse : je viens de parler de sympathie , au sens le plus profond du terme, et pourtant je ne peux dire qu'il n'y avait pas un fond d'excitation face à l'extrème sensualité de la longue séquence ! ) ... Lui ! avait il des instants de lucidité confronté à la sulfureuse beauté de toute cette scène ? Sûrement pas ... en raison de la douleur atroce ... mais peut être une seconde , un éphémère instant lorsque Madame soufflait ... peut être , si c'était le cas, cela l'aidait il à supporter l'insupportable !
Et puis cette angoisse qui accompagne l'ignorance de l'instant redouté ! ... Au vrai ... cela en devient la seule obsession du moment !
Quand les coups " repartaient ", suivait une série trois... quatre coups très rapprochés ! séparés juste par une ou deux secondes ! ... certaines séries dépassèrent la demi-douzaine de coups , tout en alternant la direction : tantôt le coup partait à droite... et le coup d'après , dans la seconde suivante, partait à gauche !... la lanière du fouet , enveloppait à merveille tout le tronc, ceinturait la taille ... le ventre se mit à rougir aussi ... Certains coups étaient dispensés avec un mouvement de haut en bas de l'adorable membre fustigateur ... Ces coups là arrachaient à Paco des cris particulièrement déchirants ... C'est à l'occasion de ces séries , suivant un étrange répit que Ricky lançait les " olé " dont j'ai parlé dans le dernier post !
Au bout d'une dizaine de minutes elle m'interpella ! mon coeur battit encore plus fort ...
- " Esclave ! lève toi et viens m'essuyer le front, les tempes , prend un kleenex dans ma poche ! Dépêche toi ! "
La poche c'était celle du gilet-bustier, sans manche, qu'elle dégraffa et enleva juste quand j'arrivai près d'elle ... elle était désormais nue au dessus de la ceinture !
Elle avait aussi une adorable et brillante pellicule de sueur entre ses gros seins, si mobiles maintenant qu'ils étaient libres ! Des seins sublimes aux aréoles larges comme des soucoupes ! ... aux tétons gonflés et longs sans doute de plus de deux centimètres ! mais ce n'est pas de cette sueur là qu'elle me demanda de m'occuper :
- " Lèche ! ".... le mot claqua comme un des innombrables coups de fouet reçus par son mari ... elle avait levé les bras , l'intention était claire, l'objectif incontestable ... Je me suis plongé avec délectation tour à tour au creux de ses saveurs douceâtres !! de l'odeur piquante de sa transpiration ! Ma CB contenait difficilement l'expression de mon émotion... de mon désir !
Elle avait envoyé son amant lui chercher à boire ...
- " Assez ! " ... nouvel ordre claquant ... et pour moi frustrant ... j'étais ivre de son grain de peau , ivre de ses effluves corporelles !... et je dus cesser ...
Elle s'approcha de nouveau du corps nu supplicié de son mari... caressa lentement du plat de la main différents points du dos incandescent, préleva, au moyen de son ongle - arrachant un nouveau râle de douleur à Paco - une perle de sang ...
Elle était faussement songeuse, elle tendit la perle de sang au bout de son ongle devant les lèvres de sa proie ... L'expression de son visage passa durant ces quelques secondes de temps suspendu, de la sévérité "fermée" à la bienveillance... puis exprima de nouveau de l'irritation ... et l'instant d'après... une sorte d'indulgence :
- " Tu vois mon joli, si tu étais ce que j'attends de toi , tu ne m'obligerais pas à te châtier ainsi ... tu crois vraiment que ça me fait plaisir ? Tu crois que j'ai que ça à faire ? " ...
Rico son amant lui tendit le verre demandé et l'embrassa tendrement dans le cou ... Le mari ne savait comment interpréter les mimiques et les propos contradictoires de la cruelle ... Il avait déjà lancé deux ou trois " pitié " chevrotants ... Un regard de sa Femme , sans doute un peu plus doux que le précédent lui attira une nouvelle humiliation ... car il crut pouvoir la fléchir... oui ! pouvoir faire appel à sa pitié !
- " Oh Chérie ! Je t'en prie ! (*)... ar... arrête !! j'ai trop mal ! Je ne te mettrai plus en colère ... Je regrette tant ... je ! "
- " Cela suffit, mon mari ! ... c'est avant qu'il faut penser à tout ça au lieu de pousser à bout ma patience ! ... je te l'ai assez dit que tu devais un respect total à mes invités ... que je ne tolérerai pas la moindre incartade , la moindre vulgarité de ta part ! " ... puis redevenant ... ironiquement " mielleuse " et " compatissante "
... " Tu sais bien mon pépère que si je me laissais aller à l'indulgence avec toi , tout finirait par aller de travers ici ... tu le sais bien ! ... tu as besoin de discipline , de sévérité ... voilà la vérité ! ... heureusement que je ne te laisse rien passer ! ... c'est une chance pour toi ! crois moi ! "
Voilà la tonalité du surréaliste échange auquel se sont livrés les époux au cours de cette séance elle même pas banale ... convenons en ...
... je ne prétends pas avoir fait du mot à mot ... surtout que j'étais moi même encore tout " retourné " par ce que cette beauté venait de me faire vivre au creux de ses aisselles et dans leur puissante fragrance ... mais l'esprit de l'échange est là ...
Et puis il y a cette autre étrangeté que je signale ainsi (*) : Oui la Fille de ma Maîtresse se laisse appeler "chérie " par son cocu ! ... et même elle accepte le tutoiement de sa part !! Ce qu'elle ne tolère pas c'est qu'il dise " MA " chérie ! Pas plus tard qu'hier - donc après ce que je raconte là ! - il s'est pris une beigne à lui dévisser la tête ....? pour avoir osé, dans une réponse un " Oui ma chérie ! " qui a déclenché des représailles instantanées !
Tous les couples ont bien de ces petites manies pas vrai ?
Le sexe de Paquito ... c'est " peu " ! ( sous entendu peu de chose )... tant il est petit ! Voilà ce que veulent dire ces quelques mots humiliants !... Et pour moi ce titre en espagnol pour exprimer un jeu de mot moqueur de la Fille de ma Déesse... quand elle met l'accent - ce qui est fréquent ! - sur le ( très ) modeste calibre sexuel de son mari...
Oui ! elle s'en moque souvent de la " limace " de son cocu !!... mais le rapprochement Paquito/poquito ça vient de sortir !... Et c'est à la faveur d' un week end où elle a reçu son dernier amant . Un hispanique...
( Allez ! je vais faire comme ma Maîtresse : quand elle parle du " dernier amant " de sa fille , elle précise généralement " le dernier en date ... évidemment " et c'est suivi d'un sourire ) ...
Bref Paco - son deuxième prénom mais c'était tentant pour le présenter à un amant uruguayen sous ce nom , n'est ce pas ? - qui n'aime déjà pas beaucoup que sa Femme l'appelle ainsi, puisque... de PaquitO , diminutif " jeune " de Paco, Madame, espiègle fait volontiers " PaquitA " voulant dire par là que son pauvre cocu " n'est pas un homme " ... ou, si vous préférez ... " n'est que femmelette " ! n'a pas très bien encaissé l'humour !! ...
Et là, encore une fois, les slogans dévalorisants ont volé bas ... Autre variante : " paquitA/poquita " concentré de " la polla de paquitA est poquita " la polla ? la bite en espagnol !
Mais le numéro linguistique de ma " deuxième Maîtresse " n'aura été qu'anecdotique... Pour moi le moment fort de ces heures aura été sans conteste la " branlée " assénée samedi par Madame à ..." monsieur " ! Le mot, certes grossier, n'est pas trop fort pour désigner le châtiment qu'a subi " paquitA " des propres mains de sa Maîtresse-Epouse ...
Elle l'a battu pendant un quart d'heure ! ... montre en main ... ou plutôt au poignet de l'amant, Rico ( Ricky pour les intimes ) . Elle lui avait demandé de la prévenir à la fin des quinze minutes et comme le fringant jeune homme a aimé le spectacle ... je crois bien qu'il a prolongé, d'après mon pointage personnel, d'au moins deux minutes le supplice du mari de son amante !D'ailleur à la fin il a applaudi ... spontanément !
Pendant la punition il lui est arrivé de scander des " Olé !! " de sa voix cuivrée, rauque comme celle d'un chanteur de flamenco . Il marquait par la son enthousiasme quand à la dextérité de la fille d'Armelle !
Généralement " Olé !! " venait au troisième ou quatrième coup d'une série pouvant atteindre ou dépasser la demi-douzaine ...
J'étais aussi " captivé " - pour moi littéralement captif : incapable de bouger - que Rico devant ce spectacle ... de haute volée !!
Sans jeu de mot ... enfin si ! et de mauvais goût j'en conviens !!
Edmond Dantès était cerné par la mer dans sa forteresse, au fond de son cachot... moi du mien, de ma chambrette-cachot, ma vue c'est justement SA forteresse ! Oui ! Le chateau d'If ! Austère... dépouillé...... beau !... sur son horizon bleu, à perte de vue ...
Le très grand appartement d'Armelle : cinq pièces, toutes très grandes, et quelques dépendances ( buanderie, sèche-linge, débarras, dressing, salle d'eau et deux WC, en dehors de celui de la salle de bains ... ) est, je l'ai déjà dit, sur la corniche, dans un immeuble assez quelconque, typique des constructions du milieu du vingtième siècle ... mais il est bien agencé, calme - sauf lorsque la mer est déchaînée - et surtout dans un environnement de rêve pour qui aime la mer et les vues imprenables !
Oui ! c'est dans une étroite piécette entre buanderie sèche-linge et local à chaussures, une pièce dont la fenêtre ouvre sur la mer et les iles du Frioul que ma Maîtresse m'a installé un... " petit bureau " , un tabouret et " un lit "...
Le lit ? MadameS - dont je vous invite encore à consulter le blog ! - comprendra aisément de quoi il s'agit ... pour mes autres lectrices et lecteurs , disons, pour faire simple et pas trop long qu'il s'agit d'une paillasse au niveau du sol , mais installée dans ce qui ressemble à un panier de chien - en osier ou raphia tressé - avec des anses . La paillasse allongée mesure 1m70 de long ( eh oui ! quand même !... je l'ai mesurée )... " le panier " est un peu moins long, et les extrémités de la paillasse débordent légèrement ... y compris en largeur d'ailleurs, mais j'y tiens presqu'allongé et si je me " love " un peu - loin pourtant de la position foetale - ma tête comme mes pieds demeurent sur la partie matelassée ...
La pièce est si étroite que si mon " bureau " ne consistait pas en une simple tablette fixée, parallèle au mur lorsqu'elle est inutile, et qui se fait perpendiculaire quand je m'en sers , il n'y aurait pas la place pour " mon lit " ...Dernier élément mobilier : une armoire métallique étroite, style " vestiaire de salle de sport " dans un angle , côté fenêtre ...
Je couche là quand ma Maîtresse me refuse
... le lit de camp de toile dans sa chambre,
... la moquette au bord de son lit, ... ou
... suprème douceur ! la plus merveilleuse des trois possibilités : UNE PLACE AUPRES D'ELLE DANS SON LIT ! Cela quand elle n'a pas d'amant ...
Un cas de figure plus fréquent qu'on pourrait le croire : Armelle n'a pas pour unique horizon sexuel la pénétration du mâle dans ses merveilleux orifices ... Je suis chez elle depuis trop peu de temps pour me livrer au petit jeu des statistiques mais je peux dire qu'en près de trois semaines , dont je déduis les quatre jours - en deux fois - que j'ai passés chez sa Fille, elle n'a passé que cinq nuits chez elle avec un amant ... j'ajoute que cela se produit rarement deux nuits de suite ...
Je me suis donc déjà trouvé presqu'une douzaine de fois dans la suituation de " quémandeur " le soir venu ...
Je vais expliquer bien sûr ce que signifie pour nous... pour moi... cet étrange mot !
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