Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Oui ! dimanche dernier je me suis pris une nouvelle volée, sous le même taillis que lors des épisodes précédents.
"Volée de bois vert"... selon l'expression consacrée ? pas tout à fait: le bois que j'ai ramassé, comme lors des deux précédentes épreuves dominicales, pour constituer le "bouquet" de verges destiné à me corriger, n'était pas vert... ... et si j'ai tenté, comme d'habitude -discrètement- d'écarter les branches et tiges les plus griffues, ( sans davantage de succès, Armelle et Annabel me surveillant du coin de l'oeil tout en bavardant et fumant durant mon humiliante collecte ) je ne suis pas parvenu à rendre plus doux le quart d'heure qui a suivi ...
Pas de "mixte" cette fois dans l'utilisation des instruments ... enfin ! je veux dire pas de passage du fouet aux verges ou inversement ...
Singletail absent, mais les verges ont quand même alterné avec le paddle, et même avec un martinet aux longues lanières de cuir de forme triangulaire que l'ukrainien vient d'offrir à son amante, ma Reine ... et que je déteste !!
Oui ! je l'ai dit à la fin du précédent article je crois, cette séance du dimanche onze valait surtout par l'arrivée à cheval d'Annabel, magnifique en tenue d'écuyère, pantalon blanc moulant ses somptueuses rondeurs et bottes cavalières rutilantes, cirées le matin même par son mari qui dut les baiser religieusement à sa descente d'étriers ! et celle de l'ukrainien, excellent cavalier au cheval hautain et nerveux qui accompagnait la Fille d'Armelle .
Nous les esclaves, avons fait le voyage à l'arrière de la voiture conduite par ma Reine, vêtus de simples cirés - il a plu pas mal sur la région ce dimanche là - et de mocassins éculés ... que nous avons dû quitter rapidemant dès notre arrivée dans la clairière bordant le sous bois touffu, lieu habituel maintenant de nos tourments...
L'autre particularité de cette séance c'est que Baïyah est arrivée en cours de châtiment, à cheval elle aussi, et tenant par la bride une quatrième monture sur laquelle Armelle est repartie la "séance" terminée...
Pas de troisième victime mâle cette fois: ma Maîtresse m'a confié les clés et sa voiture et j'ai rapatrié Paco à l'appartement de la Corniche, où nous avons décoré vitres et murs de guirlandes et autres décorations à l'approche de Noël, puis sacrifié au repassage abondant, en attendant le retour de nos Déesses après une journée au club d'équitation de l'endroit ...
Retour qui n'a pas sonné la fin de notre service domestique tant ces Dames et l'amant de... "la mienne" sont rentrés crottés de leur sortie équestre en ce pluvieux après midi!
Mon -ex?- lecteur fétichiste des pieds, qui m'a écarté de sa communauté, sans doute parce que je ne parlais plus assez de ce qui m'arrive à propos de sa passion pour les chaussures, bottes... et pieds aurait adoré ! ... mais du coup je ne détaille pas cette partie de ma fin de journée!
( Je plaisante évidemment au sujet de ce fétichisme! Je sais qu'il n'est pas le seul... mais c'est surtout que je n'ai plus trop le temps ... deux ou trois articles en 24 heures c'est pas mal... mais faut pas exagérer hein ! )
Nous avons donc obtempéré tous les trois sans murmure ni retard à l'ordre de nous mettre "à poil".
Le cocu de Baïyah était le seul dont l'organe sexuel était pourvu d'une cage de chasteté... le seul aussi à la peau totalement lisse du cou jusqu'aux orteils, à part ça nous ne portions pour parure que nos colliers d'esclaves.
Dans un premier temps chaque Maîtresse s'est occupée de sa victime "personnelle" :
Pendant qu'Armelle et sa Fille nous ordonnaient de trouver sur le sol ( qui en était jonché ) les verges destinées à nous fustiger proprement, Baïyah avait imposé à son mari de s'allonger sur le ventre en travers d'un fut d'arbre au diamètre impressionnant et commença à le rosser aussitôt avec un single tail dont elle semblait très fier à juste raison ( un très bel objet en effet, je dois bien le reconnaître, en dépit de la trouille qu'il m'inspira !)
L'impitoyable Epouse était aussi fière je crois de l'objet que de sa façon de s'en servir... façon dont le descendant de cosaque la félicita, lui, l'expert reconnu, même s'il ne nous l'avait pas encore prouvé - pour moi c'est fait depuis dimanche dernier, mais très bien fait! vous le constaterez par vous même bientôt -
Elle finit par mettre un de ses pieds bottés de cuissardes fauves sur les reins de sa victime pour l'empècher "de gigoter" selon ses dires et acheva par une pluie de coups sur les fesses et le haut des cuisses ( quand dans un premier temps elle s'était plutôt acharnée sur les épaules et le dos. )
Paco et moi, ramassant nos futurs instruments de supplice tout près de la scène n'en manquâmes presque rien.
Lui était sans doute habitué à cette dureté, car il cria assez peu, encore qu'il devait "prendre sur lui" comme on dit... sans doute trop de cris auraient ils appelé des représailles féroces ! ... c'est ce que je suppose quand je vois la façon dont il tortillait du cul sur la fin de sa dérouillée: visiblement il avait très mal !!
Armelle me reprocha d'abord de trop observer, comme Paco d'ailleurs, ce qui arrivait à notre " misérable collègue" puis surtout me fit savoir qu'elle n'était pas plus dupe que sa fille - qui venait d'en faire la remarque menaçante à "Poquito" -
Bref ! en gros nous avions tout intérêt à ne pas trop tenter de choisir les verges afin qu'elles soient moins pourvues d'aspérités... de pointes et fassent ainsi moins mal...
Ensuite nous fûmes attachés, près l'un de l'autre par les poignets, bras levés, à une branche épaisse et presque parallèle au sol, de deux arbres voisins...
Baïyah, essouflée, fit une petite pause, tout sourire vis à vis de ses amies pendant que l'ukrainien achevait de nous suspendre ! ...
Mes pieds touchaient juste le sol du bout des orteils !
Le "clou" de nos tourments pouvaient commencer, alors que l'amie d'Annabel continuait de plus belle à supplicier le corps de son mari !
A l'évidence, mari de la jolie sadique il ne le serait plus très longtemps et pourtant cette dernière s'appliquait avec le même entrain, que par exemple, la fille d'Armelle sur son "bonhomme"...
Au milieu de ces inconditionnelles et quasi "pro" du fouet , j'avais encore le sentiment d'être quelque peu épargné : Oh ! je sentais bien qu'Armelle, d'une correction à l'autre, tendait à appuyer davantage ses coups !... son savoir faire "progressait"... dixit le rejeton de cosaque - qui savait de quoi il parlait et qui venait ponctuellement la conseiller en l'embrassant dans le cou et en la faisant rire - je pense surtout que jusqu'alors elle m'avait ménagé quelque peu, et que, mon "dressage atteignant maintenant un bon niveau" elle osait de plus en plus ...
Pendant notre flagellation, le sort de l'esclave de Baïyah ne s'améliora pas : elle le fit ramper dans la boue, la gadoue, le poussa à coups de fouet jusqu'aux ornières du chemin - nous pouvions le voir devant nous - où les véhicules étaient garés, c'est à dire "à découvert"...
Ensuite chacune pissa dans la bouche de son esclave, pendant que nous étions allongés sur le dos " Histoire que (nous) ayons quelque chose dans le ventre " comme plaisanta Armelle qui fut la première à commencer ...
Annabel ôta un instant son long manteau de fourrure pour qu'il ne traîne pas dans la boue : en dessous elle n'avait qu'un fin chemisier et pissa à gros débit sur Paco, ne visant qu imparfaitement sa bouche afin de faire vite et de ne pas prendre froid...
Les deux autres Femmes , chaudement vêtues elles aussi - de blousons pour leur part - prirent cependant un peu plus leur temps ...
Armelle me fit lécher ses pieds crottés... puis nous reçûmes l'ordre de nous " lécher la pomme ", pendant que nous nous rhabillions, faute de mouchoirs ou de tissus pour éponger les reliquats d'urine.
Des reliquats d'autant plus abondants, qu'avant d'être autorisés à nous rhabiller, l'ukrainien nous avait pissé dessus, debout, dirigeant sa longue verge bandé de l'un à l'autre...
Voilà ! j'y suis arrivé ! je vous raconterai dès que possible ma plus récente flagellation à ce jour; celle du dimanche 11 décembre . Elle a eu lieu dans un endroit très proche de celui là semble t il, mais sillonné d'allées cavalières , ce qui a permis à l'Ukrainien comme à Annabel de nous rejoindre à cheval...
Mais c'est une autre histoire ... et pas question de ne plus vous parler que de ça .
Vous voyez, je n'ai pas été long ! De fait, avec l'organisation que Paco et moi avons mis en place, la maîtrise du temps est plus facile...
O.K ! il s'agit plus d'un aménagement "maison" que d'une véritable organisation. Jusque là, alors que le cocu d'Annabel était d'accord pour qu'on fasse à tour de rôle le travail ménager et domestique, il y voyait un obstacle majeur : mon côté besogneux, ma difficulté à faire les choses comme lui "vite et bien"...
Voilà ce que j'avais commencé à écrire... il y a tout juste une semaine ! L'ironie de la chose c'est que je disais dans l'article précédent, écrit juste avant, que j'allais enfin pouvoir retrouver, sinon la régularité dans l'écriture, au moins la fréquence qui, à la longue, avait assuré mon succès auprès de mes fidèles lecteurs!
Eh bien non! Juste au moment où j'écrivais cela, jeudi dernier, il m'a fallu de nouveau composer avec l'omniprésence d'un labeur domestique, et aussi intime, par bonheur... mais qui ne me laisse plus la moindre maîtrise, même partielle, même modeste... de mon emploi du temps.
Je reviendrai sur les causes de ces nouvelles "ratées" programmatiques. Mais de crainte de ne pouvoir, encore une fois, aller très loin dans mon pourtant court récit, je passe à ce que je promets depuis une semaine - et je vous prie de m'en excuser - ... la narration de mon châtiment dominical ( celui d'il y a dix jours maintenant!... le dernier à ce jour, ce dimanche à bien eu lieu aussi, et confirme la périodicité hebdomadaire de ce rituel disciplinaire et punitif )
Nous nous sommes retrouvés, Paco, un autre soumis et moi, à l'issue d'un voyage de plus d'une demi-heure - voyage effectué dans une cage bâchée, installée sur un pick-up Mitsubishi - quelque part dans le massif de la Sainte Baume...
Nous étions tous les trois en survêtement et chaussés d'espadrilles - survêtement rose pour lui, lilas pour moi ! jaune flashy pour le troisième homme ... aussi peu "homme" que nous d'ailleurs, dans le regard de ces Dames.
Le véhicule appartient à un amant de ma Reine, celui qui était avec elle lorsque j'avais séjourné dans le lit mural, vous vous souvenez ? Je vous l'avais présenté alors - si vaguement! - comme un slave ... En fait il est ukrainien, descendant de cosaques parait il, et prend une place croissante dans la vie d'Armelle ! - et là, forcément j'y reviendrai! - Elle s'était assise à ses côtés, dans la cabine.
Annabel nous précédait accompagnée d'une amie lesbienne souvent présente chez elle ces dernières semaines... et même invitée à deux reprises chez ma Maîtresse.
L'amie s'appelle Baïyah et est l'épouse du tocard en survêtement rouge . Je l'appelle ainsi, parce qu'elle lui réserve souvent ce petit nom... dans sa bouche chargé d'une évidente affection! ( sourire ) .
Baïyah - prononcer Ba hi ya - et son soumis d'époux sont en instance de divorce, mais il reste plus que jamais son esclave ébahi ! ( Au point que, Paco et moi, pour rire, l'avons surnommé "l'ébahi de Baïyah" ! ) ...
La cage ne nous permettait que d'être accroupis, ou a genoux, talons posés sur les fesses, ce qui explique que le voyage nous parut assez long... nous étions en survêtement 1) pour éviter tout incident en cas de problème durant le transfert vers l'épais sous bois
2) parce que ce dimanche matin, même pour la région, n'était pas bien chaud.
Mais dès l'arrêt du véhicule nous avons dû exécuter l'ordre lancé par les trois jolies Dames :
- " A poil les zozos ! "
- " Et plus vite que ça !! "
L'espace dont chacun de nous avait disposé pour la route n'était pas folichon, aussi je fus presque heureux d'arriver, bien que sachant à peu près ce qui nous attendait, et que nous avions caché au futur ex mari de Baïyah...
Car l'ébahi de Baïyah, lui, qui était pour la première fois de ce rituel, essaya bien sûr d'en savoir plus au moyen de questions un tantinet exaspérantes!
Je disais récemment que la punition du dimanche, sans que rien ne soit clairement précisé au départ ( pas même cette existence d'un châtiment dominical périodique !... jamais Armelle n'en avait parlé ! ) m'était pourtant apparue rituelle et selon un rythme qui était de l'ordre de la quinzaine ... mais je disais aussi que je craignais à l'avenir une fréquence plus délicate pour moi. - Voir article récent: "Plaisirs de l'urolagnie...".
Et bien je confirme que la fréquence adoptée EST hebdomadaire :
- la séance que j'évoquais alors, celle que les images du blog de Madame.S me rappelaient quelque peu, a eu lieu le dernier dimanche de novembre...
- celle dont je parle aujourd'hui est de dimanche dernier, le quatre décembre, entre les deux, une seule petite semaine...
Vous me direz que ça n'en fait pas forcément une habitude pérenne, incontournable ... certes !
... mais je surprends des bribes de conversations, du genre de celle là : "Note moi ça Amour ! ça lui vaudra bien trois ou quatre coups de plus dimanche !"
C'était Armelle avant hier soir, soulignant à Annabel, qu'elle était mécontente de la qualité de mon repassage, s'agissant en particulier de plusieurs de ses chemisiers...
La petite ardoise magnétique du haut du compartiment congelation du grand réfrigérateur voit s'inscrire toutes les maladresses, erreurs, fautes, délits qui me sont reprochés... Au début ça m'a semblé un exercice un peu puéril... maintenant il y a aussi un petit tableau blanc derrière la porte du placard à chaussures ... il n'était destiné qu'à recevoir des observations sur l'état des chaussures, bottes, cuissardes, baskets de ma Reine ... maintenant selon la proximité de qui inscrit la faute c'est l'un ou l'autre des tableaux qui reçoit la remarque.
A la fin de la semaine on fait les comptes... moi ! je n'ai rien vu venir !
L'idée vient de chez Annabel... qui pour sa part possède un joli petit carnet dans son sac à main - marque Montblanc -
Mais en plus de ce qu'elle tient scrupuleusement à jour elle-même, un tableau mural dans sa cuisine, est destiné à Paco qui DOIT lui-même y inscrire les fautes qui seront sanctionnées le moment venu... humiliation supplémentaire !
Bref ! le fait de noter tout ce qui peut faire l'objet de sanctions différées prend de l'importance... et ce qui, de fait, va de pair avec cette importance aussi... à savoir ces châtiments dominicaux en plein air !
Vous vous souvenez peut être que j'ai dit que ma Maîtresse est une adepte de la gifle, plus que des châtiments muris, programmés ...
Armelle à la main leste et ferme... Dans la mesure où elle n'est pas une fanatique de la discipline et des châtiments (ce qui au passage m'arrange bien, car, je le dis et répète ici, si je crois être assez résistant en matière d'humiliations et tourments psychiques, je suis plutôt "douillet" physiquement) je pensais que cela ne me vaudrait que quelques fessées au paddle ou à la brosse à cheveux , allongé en travers de ses cuisses...
Cela elle aime bien... et elle règle ainsi, énergiquement nombre de ses comptes avec moi de cette façon, me laissant les fesses bien rouges et pour un moment !... car ce que fait Armelle, même sans passion particulière, elle le fait bien ! ...
Oui ! sauf que contrairement à ce que j'avais espéré au tout début... cela n'exclut pas cravache, martinet, fouet, verges... et cela dans le cadre de la séance dominicale ...
Allez ! je sens bien que vous avez envie que, sortant des généralités, je vous raconte une de ces séances ! ... tenez ! au hasard: celle de dimanche dernier quatre décembre ?...
Ce sera pour tout à l'heure ... je pense que cet après midi je vais avoir un peu de temps.
"Bouche-toilette" et "langue-toilette" ont des points communs, dans le vaste champ des activités serviles et des instruments pour mener à bien ses activités ... mais aussi quelques différences notables :
Ainsi la langue, qui dans le cunnilingus dispense du plaisir, est ici observée simplement sous l'angle de l'hygiène et du confort de la receveuse ...
La bouche, dans l'expression bouche-toilette NE vise QUE l'hygiène, la toilette, et pour le service dû à la Femme elle ne peut pas vraiment être, toute seule, source de plaisir. Sauf à ne considérer que les éléments externes ou internes la constituant ... comme lèvres ou dents.
Ah si ! j'y pense ! ... la bouche peut dispenser du plaisir à l'homme, dans le cadre de la fellation, mais vous savez, que si je suis aussi au service de Maîtres, ce fut, à l'origine uniquement parce que ces hommes, étaient dans la vie de Femmes admirées... adulées...
Aujourd'hui ma bouche sert souvent au plan sanitaire ( voir précédent article ) ... et pour la langue, à part Armelle qui exige très souvent que je lui "fasse minette" c'est cet aspect là du confort, de la propreté, de l'hygiène qui commence à prévaloir aussi pour ma langue ...
Oui ! pour parler juste, si Armelle, m'a fait intervenir dès le début aux toilettes... et de la langue, pour laper la dernière goutte, il y a un moment que "ce bout là" de mon physique n'avait pas eu pour mission systématique de prélever l'équivalent de la dernière goutte de l'autre côté !
Or Armelle à très vite considéré que... "le papier, aux WC, puisqu'(elle) a un esclave, n'est pas du tout une nécessité" et comme elle éprouve un plaisir certes modeste, mais bien réel, à remplacer ce papier par ma langue... ce service est devenu quasi quotidien...
Je n'avais à vrai dire, connu cette répétition et à une telle fréquence que dans les derniers mois de mon mariage avec Hannah... je l'ai expliqué ici en son temps...
... et pour ce qui est de ma première union, à la fin des années 70, Diane n'a utilisé systématiquement ma langue, entre ses merveilleuses fesses, après soulagement de son ventre, qu'au cours de la dernière année précédant ma répudiation...
Voilà qui situe bien ce que je vis, avec des sentiments mélangés ses dernières semaines ...
Sentiments mélangés parce que, si je réalise qu'au fond, pour ce service résolument extrême, j'éprouve la même fièvre qu'il y a des décennies sous Diane ou que plus récemment sous Hannah à l'accomplir... fièvre affective et fièvre sensuelle ... le fait de devoir "sillonner" de la même façon au moyen de ma langue la raie culière d'un amant, comme cela s'est déjà produit avec celui qui à pris au cours de la dernière quinzaine une place assez conséquente chez "nous" ne provoque pas la même "frénésie" ambigüe et ne me fait pas vraiment entrer dans ce "Subspace" cher à Elise Sutton et ses adeptes !...
Et s'il se contenta d'une fois la première semaine... au cours de laquelle il était venu deux fois ici... pour la troisième et dernière des semaines qui ressemblent un peu à une... "implantation" du bonhomme, nous en sommes déjà à trois prestations, pour quatres séjours chez ma Reine ...
J'ai cherché aujourd'hui à parler d'un sujet que certains jugent encore scabreux, voire dégoûtant... avec des mots simples, en essayant d'éviter vulgarité et même , si possible grossièreté ... Je rappelle que je ne considère pas ce dont je parle ici comme appartenant à la coprophilie ou scatologie ... je suis encore moins "intéressé" par la scatophagie ou coprophagie... mais des tas de gens, y compris dans les amours "vanilla" pratiquent l'anulingus, la feuille de rose ( les américains parlent de "rimming" ) heureusement sans être sur le point de vomir... et la sodomie "tutoie" les zones réprouvées, même si c'est d'une autre manière... Avec parfois des conséquences .
Quelqu'un de très apprécié, qui me lisait avec beaucoup d'attention et, je l'ai cru, d'intérêt, m'a reproché un jour la vulgarité de mon texte , dans un contexte comparable ... je ne voudrais pas que s'installe ce type de points de vue et cette fois je préfère en parler d'abord...
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