Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Ce n'est évidemment pas un hasard si, la semaine dernière, dans la nuit de mercredi à jeudi, j'ai fait ce rêve !!
Alors que précisément ma " tête rêveuse " était couverte d'une culotte... me faisant vivre en plein jour un cauchemar éveillé, bien concret ... comme je le raconte dans mes deux précédents articles ...
... CE RÊVE S'EST IMPOSé à moi... il ne tient pourtant qu'à un fil ... de culotte !
Ah l'étrangeté des rêves !
Petite parenthèse à ce propos : depuis que Joy est entrée dans ma vie ... ou plus exactement, depuis qu'elle m'a imposé le bonheur et l'honneur d'être dans la sienne, j'ai recommencé à rêver pendant mon sommeil ...
Oui je sais ! tout le monde rêve la nuit, mais on s'en souvient... ou pas ! ...
et bien disons que rares ont été les phases de mon existence où mes rêves ont résisté à mes réveils... et je constate que c'est le cas actuellement,
je me souviens asssez bien de mes voyages spirituels nocturnes ...
fin de cette parenthèse.
D'ailleurs ... fin ? Pas tout à fait vrai... car dans la scène que j'ai reconstitué, à travers ce rêve, Joy était la Femme qui me punissait.
Or l'épisode réel de ma vie de soumis conjugal qui a inspiré cette scène m'avait été infligé par ma première épouse ... autant dire qu'il n'est pas récent !
Des lustres et des lustres ont coulé depuis dans ma vie et dans ma mémoire !
Images fortes : Je suis nu, dehors, dans la neige... nous sommes à la montagne ma Femme et moi ... ça c'est le cadre général ... et le contexte de la séquence ...
J'ai une mignone petite culotte de soie sur la tête ...
Une des culottes de ma Femme ... une noire ... le noir sur cette neige... immaculée ... si l'on excepte les traces de mes pas depuis ma sortie du petit l'immeuble, confirme la violence de ce qui se passe ...
Ce qui se passe ? J'ai ordre de marcher quelques mètres dans la neige , puis de me pencher vers l'avant sans me retourner , mais en écartant mes jambes ... me pencher au point d'avoir les mains dans la neige... des mains gantées de blanc ... quand j'ai dit que j'étais nu... il y a donc une double exception elle concerne mes " extrémités " : mes pieds sont dans des chaussures de marche montantes ... noires ... oeuvre en noir et blanc !!
Mains plongées dans la neige et jambes tellement écartées ... je vois entre mes cuisses , derrière la grande baie vitrée, la superbe silhouette de ma Femme , nue elle aussi ! Elle est au premier étage ... Elle sourit !
C'est évidemment cruel !...
... je vois un homme qui s'approche , nu lui aussi , il se place à côté contre son flanc, il frole le bel arrondi de sa hanche épanouie... il la prend par les épaules... son sexe, long, épais ne bande pas vraiment, mais le gland pointe tout juste sa " tête chercheuse " à la bordure ourlée du prépuce...
je connais son visage ... c'est celui d'un de mes subordonnés du monde social... de l'entreprise...
C'est étrange : cet homme a été l'amant de ma première Epouse... la supposée incohérence des rêves en a fait l'un des acteurs de cette histoire ... alors que dans la vraie scène qui nourrit ce rêve, l'amant de ma Femme est un autre ( et je rappelle que ma Femme a pris le visage de Joy ! )
Etonnant méli-mélo qui mélange époques et personnages sans perdre le moins du monde la substance et la force de ce qui fut vécu ce jour là !
L'homme - il s'appelait Stéphane je crois ... mais cette nuit là " il ne s'appelle pas " - l'homme dit quelque chose à l'oreille de ma Femme sans cesser de me regarder ... elle rit à gorge déployée, jetant sa tête et ses magniques cheveux longs en arrière ...
Une autre silhouette approche de la grande baie vitrée: c'est la meilleure amie de ma Femme, et soeur de son amant ... dans le rêve elle a le visage de Madeline la soeur d'Hannah...
( si vous ne lisez mon blog que depuis peu de temps vous ne pouvez pas
" profiter " de la référence à certains personnages de ma propre histoire ... mais je pense que la situation décrite est assez forte ... je ne fais que préciser certaines choses pour montrer l'étrange alchimie du rêve en action ... Une analyse de tous ces ingrédients serait sans doute extrêmement parlante ... mais ce n'est pas le sujet ... même pour moi ) .... l'autre femme donc , elle, est vêtue d'un douillet et épais manteau de fourrure ... elle écoute ma Femme qui lui parle à l'oreille ... puis elle va contourner les amants, pour venir faire coulisser la porte-fenêtre, sortir sur le balcon ... et crier en ma direction :
- " Tu peux te relever et te retourner '107' ! "
Le fait de m'appeler 107 ... utilisant une partie de mon matricule actuel d'esclave, totalement inconnu de mes Maitres d'il y a plusieurs décennies est évidemment un nouveau pied de nez...
Je vois alors les trois personnages s'estomper derrière la vitre puis disparaître ... ma Femme et son amant bras dessus bras dessous ... j'entends le rire de mon adorée avant que la baie ne soit refermée ...
Je suis désemparé ... rien n'est dit ! ... rien si ce n'est que je dois, que je peux me redresser, me retourner, cesser de montrer mon cul ...
... et maintenant mes bourreaux tournent les talons, comme si je les avais assez amusés, comme s'ils se désintéressaient de mon sort ! ... Avaient ils décidé de me laisser devenir " bonhomme de neige " ?
Oui la neige recommençait à tomber !
La nuit de mercredi a définitivement fixé le mari de Mareen, ma Maîtresse dans le rôle le plus détestable et inquiétant pour moi ! ...
Son comportement , sa capacité de nuisance, susceptibles de jeter une ombre plus que fâcheuse, peut être préjudiciable à la qualité de ma future vie conjugale, ( dont j'attends peut être trop ) ... me sont apparues dans toute leur virulence !...
J'ai achevé de cuisiner et j'ai servi le repas AVEC LE SLIP REPUGNANT SUR LA TÊTE ...
Oui !! pendant son repas... puis pendant qu'il regardait un match de Coupe de France de foot à la télé, ( rencontre qui s'est terminée... tardivement hélas, et aux tirs au but par la qualification Lilloise )... je dus me livrer à des activités ménagères diverses et variées ... et plus longtemps que prévu donc ...
... mais en un lieu inhabituel ...
Et ceci dans le but de me surveiller et que je ne fasse rien pour me délester de ce slip ridicule ... dans l'intention manifeste de m'humilier, partant de l'idée que je ne devais , en la circonstance et ainsi harnaché surtout pas rester seul seul avec moi-même ... J'ai donc passé le temps du match à deux pas de lui ... je devais aussi arrêter, pour aller lui chercher une bière ... de quoi fumer etc...
C'est comme ça que j'ai dû installer le matériel qu'on utilise généralement à la lingerie - table à repasser, fer ... et la matière première - matière première sous la forme d'un imposant tas de linge -
... dans le salon... Il voulait, selon lui, pouvoir me surveiller -... en gros ça voulait surtout dire ... que je ne puisse me soustraire aux sarcasmes -...
je recevais des :
- " ...T'as l 'air fin ! " ... ou encore ...
- " C'est sûr que c'est pas esthétique ton machin ... mais tes oreilles sont bien protégées ... ahaha ! " .... Variante cliché :
- " Et on fait les mêmes pour homme ?
Il sortait toutes ces conneries quand l'arbitre de la rencontre
sifflait quelque chose, ou qu' un joueur se blessait ...le temps de repartir
A la fin du temps réglementaire , avant la prolongation , il partit chercher son téléphone mobile ... et me prit plusieurs fois en photo sous divers angles ...
Mais les pires instants , ce fut encore quand je compris que j'allais garder , au lit et donc jusqu'au lendemain matin cette horreur fétide
sur la tête ...
Bob prit les dernières images sous divers angles ! des photos qu'il trouva
" édifiantes !! "
Non ! surtout pas de majuscule à " maître " pour cet enfoiré, foncièrement maso et qui fait de l'abus de pouvoir sur ceux qui ont le malheur d'être en situation de faiblesse " hierarchique" par rapport à lui... un principe " plaisant " comme il dit souvent... plaisant pour lui évidemment !
A mon retour, j'eus d'abord le plaisir de ne pas entendre " D'où viens tu ? " Phrase sèche et lourde de menaces... donc redoutée ...
Il ignorait donc que je ne travaillais pas cet après midi ! Ouf !
J'imagine que vous vous rendez compte de ce qui se passe ! ... de ce que traduit ce " ouf " ! : à mon âge je suis comme un gamin qui dissimule pour ne pas se faire taper dessus !!
Le militaire en retraite manifesta l'envie de se faire masser, une envie... donc un ordre ... ensuite je lui préparerai son repas... Le programme était fait !
Je n'avais ainsi pas grand chose à redouter avant, je veux dire au niveau disciplinaire... punitif !... ( je rappelle que depuis le matin... j'étais sous la menace d'une raclée pour " tentative de vol " ... l'article précédent le raconte )
Sinon ?...
Et bien dès le début de l'éprouvant massage je fus confronté, encore et toujours, à ces relents repoussants, fétides en provenance de ses fesses, de sa raie culière ... Il ne s'était donc toujours pas lavé !! ...mais quand cela allait il enfin cesser ? !
Je m'en suis douté très vite ... mais c'est quand il a changé de position pour le massage... qu'il s'est mis sur le ventre, que j'ai vraiment eu affaire au pire !
Le pire c'est qu'il voulait que je masse et " malaxe bien " ses fesses poilues, frippées ... semblables à des outres mal remplies !
Forcément , en ouvrant , en écartant ses fesses comme il l'entendait , COMME IL EXIGEAIT que je le fasse ... c'était aussi comme si je malaxais ces relents nauséabonds ...et puis en écartant ces fesses molles et grises , j'étais condamné aussi à voir l'anus boursouflé au cratère ravagé !...
Si moi j'étais " étroit " lui certes pas ! il avait dû " s'en manger " des dildos, des bites ! Du vrai, du faux !
Moi, quand je fais ce genre de massages à une Femme ( mon ex Epouse Hannah en était très friande ... la première aussi !... il y a bien longtemps )
j'y allais avec un enthousiasme indubitable ! Vous pouvez me croire !
Nul besoin de me faire prier ... ni menacer !
Il m'est même arrivé, avec ces deux admirables Femmes, de me prendre une ou deux trempes pour excès de zèle , " excitation irrespectueuse " selon l'expression d'Hannah ...
Je n'espérais qu'une chose, aux temps bénis d'avant : que mon ardeur donne envie à mes Maîtresses que je les " termine à la langue " ( si je peux me permettre cette triviale expression ) .
Là ça ne risquait pas de m'arriver ! ... Tout au contraire : je redoutais un tel ordre !... Il y eut même un moment où je fus assez désespéré...me demandant comment je pourrais m'en sortir si par malheur je recevais un tel ordre ...
Finalement , comme il bandait assez bien ce soir là, mais toutefois pas assez pour m'enculer ( je rappelle que ce charmant vieillard est octogénaire ) j'eus la chance de n'être contraint qu'à lui " tailler une plume "
- c'est son expression - j'entendis la plus agréable des phrases pouvant sortir , en de telles circonstances , de la bouche de cet homme aussi inquiétant qu'exaspérant :
- " Quand j'aurai giclé dans ton gosier, esclave, tu iras me faire couler un bain... j'aime pas me sentir sale ! "...
Hallucinant !... comment pouvait il proférer un telle ineptie ? Ayant un rapport différent avec lui j'aurai sans doute pouffé ... ou éclaté de rire ! mais j'ai songé aussitôt que c'était une forme de provocation ... d'autant que, dans cet ordre d'idée, il ajouta :
- " j'suis pas une marie-souillon comme toi moi ! "
Comme disait ma grand-mère : " vaut mieux entend'ça qu'dêt' sourd ! "
En tous cas, pour un peu je l'aurais embrassé !
Oh non pas sur l'anus ! ... qui a dit ça ? ) ...
... et puis , autre avantage : je n'ai pas eu à le sucer longtemps ... et c'était tant mieux !... car ce n'était quand même pas une partie de plaisir ...
Je suis allé faire couler son bain ... et je me suis cru ... à tort ! ... tranquille jusquà la fin de la nuit :
le vieux prétendait être très fatigué ... et que le bain l 'épuisait davantage encore ...
Oui ! j'avais tort : il ramassa lui-même son slip sur le carrelage de la salle
de bains , geste qu'il ne faisait jamais ... ne cessant de gueuler des " ramasse ça ! " chaque fois que des fringues trainaient par terre ...( et pas nécessairement dans la salle de bains qu'il fréquentait assez peu vous l'avez compris ) ..
Oui ! il ramassa sa guenille ... un vieux slip blanc ... enfin ! qui avait été blanc ! un vieux slip, genre kangourou ... une guenille avachie ! il chercha le fond, le défrippa , il cracha dedans :
- " Tu vois comme je te soigne ! ça va raviver les odeurs ! " ...
... et il me l'enfila comme un bonnet, plutôt comme une cagoule , les trous des jambes devant les yeux et le fond humide sur le nez !
- " L'humidité c'est ma Femme qui y tient ! elle veut te former aux odeurs fortes . Je te lirais un truc la dessus après ma douche ! Allez ! file me préparer à bouffer , j'ai les crocs !
Grâce au bonbon mentholé généreusement accordé par Clara... je sentais un peu moins les sécrétions du soumis de Mareen ...Enfin ! c'était peut être uniquement ... ce que je croyais ! Mais elle m'en avait refusé un deuxième ...il valait donc mieux que j'essaie de m'en persuader ... oui ! refus catégorique ! et avec ce sourire sarcastique que je commençais à reconnaître dès son amorce , sur le juvénile visage ... et peu à peu, assurément, si ce n'est trop l'odeur... la saveur ! ...le gout quoi ! reprenait " du poil de la bête " !
A certains moments j'avais même de nouveau envie de gerber ! c'est que, sur mes papilles, le goût sucré du bonbon avait fini par se mêler à l'amertume éprouvante qui me venait de l'entre-cuisses et de la raie velue du vieux ... pardon de ces détails ... mais je me dois d'être compréhensible ...
Et puis Clara qui à l'évidence jubilait ... de me tenir ainsi ! Clara qui en rajoutait ! ... m'assénait de petites phrases vexatoires ... en général devant témoin ... c'était tellement plus drôle !
- " T'aurais pas des problèmes de digestion toi ? " elle prenait la commande à une table , j'otais les assiettes et les restes d'une autre ... sa voix portait bien , même sans la forcer ! ...
Une autre petite phrase ? mais cette fois à l'abri de la cuisine :
- " Bravo ! t'as encore un poil de cul sur l'aile du nez ! Ah ça fait bon genre dans un bistrot ! y'a pas à dire ! "
A l'abri des clients certes ... mais devant deux apprentis et une serveuse qui me regardèrent entre dédain, ironie et réprobation !
Le poil était d'ailleurs sans doute imaginaire ... mais elle avait fait le geste de l'ôter de mon visage , crédibilisant " l'information " auprès des trois témoins de la scène !
Je n'avais pas le temps de trop penser ... ni l'envie ! mais j'ai quand même , d'un coup ressenti une grande agitation intérieure ... née d'une pensée vagabonde :
... La pensée ? ... " mais au fait ! pourquoi parlait elle de poil de cul ?..." Ma hantise ... et qui me faisait penser ainsi depuis que je savais que Joy connaissait Carla... c'était que ma Maîtresse ... qui ( souvenez vous ! ) avait bien ri à l'idée que j'aurais cette Carla pour collègue ... n'avait peut être pas résisté... non seulement au plaisir de l'appeler ... mais aussi à celui de lui raconter... des choses ! ...
Quelles choses ?... en quelle(s) quantité (s) ... et qualité d'information ? ... le plus rassurant ... ou le moins compromettant finalement ! c'eut été l'existence bien réelle de ce poil !!... mais j'avais du mal à y croire ...
alors la phrase serait dite sous influence ... par association d'idées avec quelque chose de raconté ...
mais au fait ... l'idée du poil n'était il pas plutôt chez la jeune Femme liée simplement à l'association " odeur de ma bouche / poil de cul ? "
Cela partait vraiment dans tous les sens ...
Quand ce fut pour elle l'heure de partir ... elle enfonça le clou et devant les mêmes... dans la cuisine ... sans la moindre intention de discrétion :
- " Ne le prend pas mal Jip ...! mais si j'étais toi ... quand même je consulterais un médecin... c'est peut être pas grand chose si ça se trouve ... mais c'est franchement pas agréable ! "
Elle me tutoyait ! ... elle utilisait un diminutif que j'avais proposé quand on m'avait demandé comment on pouvait m'appeler ! elle prenait un air faussement protecteur et très humiliant à mon égard ... il faudrait bien enrayer ça avant que ça ne devienne invivable !
Par chance mercredi après midi je n'avais pas de RV boulot ni avec Norma ni avec Nadia ... et la boutique était fermée pour inventaire ... avec tout ça je l'avais oublié !
... je dis " par chance " car je ne me voyais pas partir travailler dans le cadre de l'esthétique ou de la coiffure avec cette odeur qui devenait
" inaltérable "... Mais la contrepartie c'était rentrer à la maison ...
Et si je ne rentrais pas !!! ... oui ! j'avoue que l'idée m'a traversé l'esprit ! Fuir vraiment ? au moment où j'avais peut être trouvé ce qui me tenait le plus à coeur ... un nouvel esclavage conjugal , plein de promesses !
C'était impensable ! Attendre le retour de mes Maîtress pour rentrer ... puis essayer de me justifier auprès d'elles ... mais comment aller juste travailler , sans rentrer à la maison ? ... trois nuits sans toit ?... en cette saison ! ... et comment être avisé des heures de " RV boulot " sans passer par la maison ?... Entrer en contact avec Norma ? Nadia ? ... pour leur dire quoi ? leur demander de m'héberger ? avec quelles conséquences ? ... Non ! vraiment ridicule ...
Je finis par choisir ... de ne rien choisir ... sinon que je ne rentrerais pas avant dix neuf heures ... après tout Bob ignorait sans doute que la superette était fermé ... que je n'avais pas de RV avec les Soeurs ...
Mais sans le moindre argent sur moi ... pas de troquet possible
Je suis allé à la bibliothèque municipale ... au moins il n'y faisait pas froid .. et perdonne ne m'ennuierait !
Là j'ai beaucoup cogité !! mais je ne trouvais toujours pas de solution à mon problème ... il fallait aussi que je sois moins terrorisé par ce type Oui ! j'essayais de me persuader que celui qui me torturait ainsi n'était qu'un pauvre vieux mâle tremblant devant son autoritaire épouse ... mais c'était difficile : elle avait quand même donné - comme sa fille d'ailleurs - son accord pour qu'il me " dresse " ... peut être ne savaient elles pas toutes les deux jusqu'où ça allait ! Il faudrait , à leur retour que je trouve un moyen de leur parler de tout ça...
En attendant, mon niveau de peur et d'inquiétude se remit à croitre à mesure qu'approchait l'heure de rentrer !
Parce qu'en fin de compte ... il allait falloir rentrer !!!
Non seulement je n'ai pu ni me laver les dents, ni utiliser mon flacon de bains de bouche - car comme je le précise dans mon article précédent mon tortionnaire m'a surveillé jusque sous la douche ce matin là ! - ... mais je me suis fait surprendre en train de chercher à subtiliser deux euros dans la petite réserve de pièces qui traine dans un mug, sur le piano à queue !!
Oui ! je vous ai pas dit : ce vieux porc joue du piano ... et se croit très bon !... mais c'est une autre histoire !
- " Ah ben t'es un spécimen toi !! Où m'a femme est allée chercher un zig comme toi bordel ?! ... putain ! ... mais tu peux dire qu'avec moi t'es bien tombé connard !... des bâtards comme toi, à l'armée j'en ai cassé plus d'un crois moi ! où a-t-elle déniché un chien galeux dans ton genre ?... mystère ! ... et sournois en plus !! T'as donc tous les défauts mon con ! "
et il m'a rebalancé deux beignes ... dont l'une qui m'a fait siffler les oreilles pendant toute l'heure suivante ... mais j'ai tout de suite vu que ce n'était pas fini...
Il s' est emparé d' une cravache posée au bout du piano... une cravache que j'avais remarqué, parce que très peu souple ... il m'a fait poser mon ventre sur la crête du tréteau déja décrit ici, donc en travers, à l'inverse du dernier dimanche ... le but étant , je l'ai vu tout de suite , de casser mon corps en deux en présentant mon cul à hauteur des coups à venir, avec les membres pendant des deux côtés ...quelque chose de bien inquiétant et humiliant ! ... il ne m'a pas attaché les poignets et les chevillescette fois ... simplement UN poignet ... avec une paire de menottes , à l'un des pieds du tréteau ...
Etais je en progrès ? j' étais mort de trouille oui ! ... au point d'être menacé de me pisser dessus , mais je ne l'ai pas supplié !.. enfin juste vers la fin quand des sillons creusés se sont confondus avec ceux du dimanche amplifiant de ce fait ma douleur ... et puis à la fin il y allait comme un sauvage !
... j'ai aussi réussi à ne gémir et pleurer qu'un peu vers la fin
Je sentais quelques traces d'humidité sur mes fesses ... sans doute des sillons " revisités " ou du sang avait commencé à perler et se trouvait ensuite étalé par la cravache .
Non je ne lui ai pas trop offert le plaisir et la joie de me voir désemparé ... mais ce faisant, je me suis tellement trémoussé sous les coups ( je rappelle que je n'étais attaché au tréteau QUE par un poignet ) que j'ai bien failli basculer entrainant mon " support " dans ma chute... Une chute évitée de justesse par deux fois !!
Lui expliquer pourquoi il m'avait surpris " la main dans le sac " ?... enfin je veux dire ... " dans le mug " ? ... peine perdue !
J'ai pourtant essayé de lui faire comprendre que je n'étais pas un voleur ... que dans ma situation , ça n'avait aucun sens ! que j'avais juste besoin d'une pièce pour m'acheter des bombons mentholés ... Que pouvais je faire d'ailleurs avec deux malheureux euros ? ai je ajouté pour crédibiliser mon argument ...
- " Ta gueule pauvre larve ! au total il y a sans doute au moins quinze euros dans cette tasse, et tu veux me faire croire qu'en la retournant tu voulais seulement prendre dix euros ?!! Tu crois que tout le monde est aussi con que toi ? ..."
... et ça m'a valu deux nouveaux coups... puis une dernière phrase ...un peu réconfortante , compte tenu de ma situation ... malgré sa chute :
- Allez ! casse toi ! va bosser pour ta Maîtresse !... qu'elle puisse quand même espérer rentrer dans ses frais ... on finira de régler ça ce soir ! "
Le court chemin jusqu'au restaurant fut un supplice ... Douché, en plein air ... je sentais encore d'avantage la puanteur de ma bouche ... je réfléchissais intensément au moyen de masquer au moins un peu mon odeur ...Du coup je ne pensais pas ... pas encore ! à la nouvelle menace du soir ...
A l'arrivée, devant le pâté de maison où étaient et le magasin et le restaurant, ma décision était prise : on m'avait confié une clé de l'arrière boutique, pour les jours où je ferais de la manutention , à des heures où la boutique ne serait pas ouverte... et bien j'irais chercher ces bonbons dont j'avais absolument besoin ...j'avais pensé juste avant passer par le restaurant ... demander une
" petite avance " pour cet achat ... mais " ça tenait pas la route " je ne pourrai
m'approcher de personne sans éprouver une honte insurmontable ... j'étais persuadé que je puais à ... " des kilomètres " !
Dans le magasin j'ai encore été imprudent ! ... tout ce liguait contre moi pour me perdre un peu plus ... alors que je n'avait pensé qu'aux bonbons ... il a fallu que je passe devant le rayon où trônaient dentifrice, brosses à dents et même bains de bouche !.. j'ai cru que j'étais sauvé ! .. bien plus surement qu'avec quelques bonbons ... j'ai encore eu une vague hésitation ... mais l'heure m'a rassuré ... pas un bruit... et personne ne reviendrait ici avant quatorze heures ...
Je suis allé aux toilettes de l'arrière boutique , me suis mis en tête de longuement me brosser les dents, avec le matériel " emprunté " ... mais j'avais juste sorti la brosse à dents de son emballage cartonné et ôté l'opercule du tube de dentifrice, quand j'ai entendu du bruit... ça venait nettement du rayon glaces et surgelés ! ... la porte des toilettes était juste en face ... j'ai voulu voir ce qui se passait ... qu'elle était cette menace soudaine ... et j'ai vu Clara une glace cornet à la main qui refermait le couvercle de la gondole !... Durant la fraction de seconde où j'ai cru qu'elle était " vue " mais pas moi , j'ai voulu me mettre à l'abri derrière la porte ... mais sans doute la tache de lumière dans la pénombre ambiante était elle trop vive ... elle m'a vu ... et regardé ... j'ai paniqué ... j'ai jeté emballage, dentifrice et brosse dans le bac reservoir de la chasse d'eau ... j'ai juste oublié les bonbons sur la tablette fixée sous le miroir ... elle est rentré ... elle a vu ces bonbons ...
- " Eh tu piques des trucs toi ! a ton âge ! "
Elle était si contente de son effet qu'elle ne pensait même plus que je l'avais vu le nez dans le carré des glaces et qu'elle en avait une en main !! et du coup elle me tutoyait !
Si je pensais encore vaguement qu'après tout on était " au même niveau " elle et moi tout c'est écroulé alors :
- " Ben quand je vais dire à Joy ce que fait son protégé ... "
Ma Maîtresse après la conversation sur skype , n'avait donc pas pu résister longtemps à l'envie d'appeler l'étudiante...elle ne lui avait sans doute pas dit ce que j'étais par rapport à elle ... mais le mal était en marche ... le ver dans le fruit ! ... ses beaux petits yeux en amande se plissèrent cruellement et elle s'approcha de mon visage , comme pour m'impressionner d'avantage .
- " Non ! vous ne ferez pas ça mademoiselle ! Je ne crois pas que vous soyez méchante et ... "
- " Pouah ! tu te laves jamais les crocs toi ? c'est pour ça que tu piques des bonbons à la menthe ? ahaha ! " et elle léchouillait sa glace avec volupté , jubilant sans doute de me tenir ainsi à sa merci ... elle avait un piercing sur la langue que je découvrais pour la première fois .
Moi , j'avais été tenté de me jeter à ses pieds pour la supplier ... comme le fait si souvent l'esclave que je suis, mais j'avais pensé aussitôt qu'il était bien possible qu'elle ne sache rien de ma vraie vie et qu'il ne fallait pas bêtement me mettre encore plus en difficulté...
je m'étais contenté de la phrase qui lui avait fait prendre conscience de l'état de ma bouche ...
- " Qui sait si t'as raison de ne pas me croire méchante ! ahaha !mais pour l'instant tu vas me suivre ... tiens puisque tu as piqué le paquet prend un bonbon ... je vais pas bosser pendant deux heures avec un vieux à l'haleine de chacal ... j'avais pas remarqué que ta bouche était une bouche d'égout ! ahaha ! "
Et elle m'entraîna en me tirant par l'oreille comme un détestable gamin !
Sauf que dans l'affaire c'est elle qui n'avait pas beaucoup plus de vingt ans
et moi facilement le triple de son âge ... La honte ! oui encore une foi !
Je n'imaginais pas en quittant la propriété un aussi cauchemardesque scénario ... en entrant dans le magasin et en découvrant les produits d'hygiène dentaire , je m'étais même cru ... sauvé ... pour cette fois !
On était bien loin du compte !
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