Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Oui ! cette semaine qui me voit attendre avec grande impatience le retour
de mes Maîtresses aura été placé sous le signe du grand écart permanent !
Je n'étais plus habitué à des oppositions aussi marquées depuis des années ... et voilà que le contraste concerne la sphère sexuelle , la sphère intime ( bref ! la vie privée ... ) puis maintenant et au sein d'une même journée, s'il vous plait ... le monde social...
Refaire l'amour ... et avec du sentiment ... amoureux, une émotion autre
que purement sado-masochiste ... puis dans les heures et jours suivants affronter la cruauté, la vulgarité , la sévérité ... au sein d'une même famille... parfois même... chez une même personne ...
Une personne dont je découvre que je ne la vénère pas seulement... mais que je peux peut être oser parler d'amour comme ce fut le cas avec ma précédente épouse ... voilà qui est déconcertant, parfois perturbant, voire terrible...
Non je n'ai pas écrit LUI parler d'amour juste ME parler d'amour !
... ET vivre le contraste entre un sado-masochisme intime débridé , virulent ... et du "vanilla" extérieur à objectif professionnel voilà qui est aussi étrange ... que difficile à vivre !
Dois je rappeler que si je travaillais déjà à l'extérieur ces dernières semaines c'était dans un milieu pas vraiment éloigné de celui du fétichisme et du BDSM ... et chez certaines clientes des soeurs Crav'Ach il était bien difficile de faire la différence entre ma vie privée et celle dans le cadre duquel je travaillais ... j'en ai parlé si souvent dans mes récits de ces derniers temps que cela n'a même plus à être démontré !.
Comme cela faisait suite à de longs mois sans la moindre possibilité
de sortir , commencés il y a tout juste un an, c'était d'autant plus appréciable ...
Mais ce qui a commencé lundi ... dernier jour du mois de février c'est autre chose :
A la superette j'y vais, depuis trois jours déjà, en moyenne deux heures par jour:( au minimun une heure au maximum trois ), pour faire de la manutention, parfois servir ou être à la caisse, souvent pour remplacer l'un des trois " à plein temps " du magasin ...
Au restau j'y suis de onze heures trente/ midi ... jusqu'à quatorze heures , chaque jour... au moment du coup de feu de midi , bien connu en restauration y compris le samedi ... au total vingt heures par semaine...
Et là il s'agit bien d'une rupture, inconnue depuis longtemps, avec ma vie d'esclave... le but pour moi étant de maintenir cette rupture ... ce cloisonnement et donc de donner satisfaction .
J'ai déjà montré comment l'intrusion de Vanillas dans le fétichisme, le BDSM pouvait être redoutable ... terrible ... mais je pense que l'irruption du BDSM et de rapports de D/s dans le monde vanilla serait encore bien pire ...
C'est pourquoi, si je ne suis pas malheureux de vivre quelque chose comme ça , je redoute particulièrement un faux pas, une indiscrétion, un coup fourré de quelqu'un de mal intentionné, voulant s'amuser à mes dépens, ou me punir ... quelqu'un qui révélerait dans mon nouvel emploi, où les gens ne me connaissent pas ... ce que je suis dans toute sa crudité humiliante ...
C'est ce que m'a fait redouter le propos de Maîtresse Joy , vous vous en souvenez sans doute, quand, lors de notre liaison webcam elle a parlé de la nommée Clara ... que j'aurai préféré qu'elle ne connaisse pas ...
Clara justement... je ne l'ai vu que mardi pour la première fois ... le lundi pas de partie restaurant dans mon nouveau job... c'est une très belle jeune fille , étudiante ... mais j'en parlerai bientôt vraiment ...
Disons qu'en la voyant je n'ai fait que redouter davantage ce dont je viens de parler ...
Mercredi en particulier, déjà !... oui j'ai eu vraiment honte : j'avais passé un long moment à lécher le cul du vieux militaire , comme je l'ai raconté et , si j'avais finalement su échapper au vomissement - au prix de quels efforts !!! - j 'étais tout imprégné de l'infecte , la répugnante odeur ...
et j'avait dans la bouche une amertume poisseuse !... tenace, abjecte !
Or ... j'ai déjà parlé de la décoction que vendent les Soeurs, bien plus efficace que les bains de bouche des pharmacies et que je voulus utiliser rapidement ... après les faits, tout en me douchant ...
et bien le vieux salaud me l'interdit !
Oui ! Il prétendit, en se marrant! ... qu'il fallait que je m'habitue à ce genre d'odeurs et de saveurs, que c'était pour mon bien... que " sa femme et même ' sa fille ' sans doute avaient des projets " pour moi dans ces domaines ! ....
Là encore j'ai commencé par le supplier ... puis je me suis souvenu que c'était la dernière des choses à faire ... alors j'ai vaqué aux tâches domestiques ... dans cet état ... pendant plus de deux heures ... je continuais à avoir envie de gerber, par moment... j'attendais que le temps file ...
A onze heures en effet je devais commencer à me préparer, m'habiller : ce mercredi il n'y avait pas la superette au programme mais le restau m'attendait ...
Il m'a dit ... je ne le croyais pas capable de me faire ça :
- " Tu te douches ... parce c'est vrai que tu pues ... mais je veux pas que tu te laves les dents ni que tu utilises ta lotion à la con ! compris ? "
- " Mais Maître ! je peux pas aller ..."
et avant que je n'achève ma phrase je m'étais pris une double baffe , ce qu'on appelle un aller-retour et le vieux salaud à des battoirs à la place des mains ... je vous jure ... il m'a fait pleurer ... puis il m'a suivi jusquà la douche.!!
Pour être sûr ... comme il a dit !
Pour commencer, avant de raconter, je tiens vraiment à dire que je suis par avance désolé et que je demande pardon aux gens sensibles à certains de mes actuels propos et qui seraient même peut être épouvantés par ce que je raconte actuellement ... il faut préciser que ça ne va pas s'arranger dans l'article ci dessous !... Celles et ceux qui me trouvent ces jours ci parfois "répugnant" ( j'ai lu le mot dans un e-mail sur ma boite privée) ... sont priés de bien vouloir m'excuser : j'ai entrepris de tout dire quand j'ai commencé ce blog... tout comme l'autre, " tindick-scuckold " et ce n'est certes pas QUAND C'EST DIFFICILE A LIRE COMME A DIRE que je vais caler et me taire ! Je précise aussi que je ne suis pas scatophile... pas coprophile encore moins scatophage... c'est d'ailleurs pour ça que je vis le présent comme une torture bien réelle ... je pense que dès le retour de Joy, ma chère Maîtresse, je trouverai un moyen pour lui dire mon espoir de ne pas être trop souvent contraint à subir son beau-père ( et le mien ? ) ...
Et j'espère qu'elle me comprendra et me fera cette faveur ... mais je ne vois pas comment avant son retour je peux échapper à tout ça ... Me révolter entrainerait aussitôt une réction très violente de sa part, comme celle de dimanche, et hélas ne m'épargnerait pas des " contacts " répugnants ensuite... où serait l'intérêt ? Encore toutes mes excuses donc ... Je sais aussi que beaucoup parmi vous privilégient ma sincérité quoi que je dise ... Je sais aussi que certains, à l'inverse de ceux qui doivent m'excuser se délectent de mes tourments et que la fange dans laquelle je me trouve parfois précipité, est un facteur d'excitation supplémentaire pour eux... Ne serait ce que pour ça ... je persiste :
Oui il me faut tout dire ! je veille donc à adoucir un peu la réalité ... par mon langage, et seulement par lui !
Hier soir donc j'étais vaguement rassuré : Après la très difficile soirée de dimanche que j'ai racontée longuement, je me prenais à penser que le tiers de l'absence de mes Maîtresses vénérées était passé ... et sans préjudices majeurs, sans le retour redouté des pénibles heures que m'avait fait vivre Maître Robert ( qui tient à ce que je l' appelle ainsi ! ) :
... il ne m'avait pas fouetté de nouveau... et vu l'état dans lequel il avait mis ma peau c'était une bonne chose ! ... Non ! pas fouetté !... et ce en dépit des encouragements à le faire - encouragements qui m'ont fait mal moralement - de ma chère Joy et de sa mère )....
Il faut dire que je mettais ... que je mets en oeuvre tout mon
savoir-faire et que je déplois toute mon attention pour ne pas l'irriter et ne le contrarier en rien ...
Autant dire que je suis une vraie carpette , ponctuant toutes ses phrases de " Oui Maître ! " respectueux et exécutant chacun de ses ordres sans délai ...( Je me fais honte à moi même ! )
J'estimais ne pas m'en être trop mal tiré ...
Il ne m'a giflé que deux fois ...
... une fois parce que j'ai failli renverser son grand bol de café matinal en le lui apportant ... c'était hier matin... j'ai eu le malheur d'être tout près de lui à ce moment là ... mais il s'est arrêté à la baffe et à l'insulte, au fond modeste pour lui de " triple imbécile "
... l 'autre gifle s'était hier encore, en soirée cette fois, quand il a prétendu que je l'avais mordu au cours d'une fellation , alors que, comme il l'aime, je serrais un peu les dents sur sa bite en train de grossir péniblement ... il faut dire que son gland est nettement plus large que le reste de sa bite ( cela fait d'ailleurs un renflement bien visible quand il est encore couvert par la peau du prépuce ) et du coup quand l'ensemble coulisse dans ma bouche il me faut beaucoup d'attention pour détendre assez les machoires et les dents au passage du " champignon " ...
Cette fois la gifle a été ponctuée d'un " Applique toi connard si tu veux pas te reprendre une branlée " j'ai dit " Pardon Maître" en évitant le ton larmoyant ou suppliant qui l'excite et c'en est resté là !... même si j'étais de nouveau perturbé par l' odeur de son cul qui me semblait pourtant en nette amélioration depuis la veille ...
Oui je m'estimais finalement heureux de ne pas m'en tirer plus mal ... à trois jours et demi du retour si désiré...
Et puis il ne m'avait pas sodomisé non plus et avec le dérivatif de mon nouveau travail " tout vanille " par bonheur je reprenais courage :
Tout n'allait pas si mal ...
... il me fallait juste être un peu patient !
... le temps travaillait pour moi ! ...
... et grâce à ce nouveau boulot où je rencontrais des gens simples , amicaux ... je ne rentrais pas trop tôt à la maison ... parfois même , ce fut le cas lundi et il est prévu que ce le sera jeudi, Nadia ou Norma me font bosser avec elles après la fermeture du magasin ( l'après midi j'y suis de cinq à sept ) et c'est autant de moins avec lui .
Je passais mon temps à essayer de me persuader ainsi ... avec ces phrases convenues ... et j'étais en train d'y parvenir... A TROIS JOURS DU BUT !
Mais ce matin la fragilité de tout ça, de cet emploi du temps "protecteur"
m'est apparue cruellement :
Au réveil " beau-papa " m'a appelé pour le sucer .. je l'avais fait à son coucher, on l'a vu... et je croyais à une formalité du même genre , même si j'ai parlé de la baffe et de l'odeur surtout ... mais là quand j'ai approché du lit , il a rejeté drap et couverture a levé ses jambes ... se retrouvant avec pratiquement un pied de chaque côté de la tête et m'a dit d'un ton excluant toute réplique :
- " Lèche moi d'abord le cul esclave ! j'ai entendu dire que tu étais assez bon pour ça ... au moins quelque chose où tu excelles ! tu me piperas après ... y'a pas le feu ! "
L'odeur qui remontait de sa raie me répugnait vraiment : par rapport à la veille elle était accentuée par l'ouverture des fesses ...
Ses fesses blanches, molles, poilues ... Les poils, longs comme sous ses aisselles fonctionnaient bien sûr comme des pièges à relents fétides ...
- " Tu voudrais pas te prendre une bonne branlée des fois lavette ? tu n'a pas l'air bien obéissant ce matin ! "
Il voyait ma réticence à porter ma tête entre ses fesses !
Comme toujours depuis dimanche, sa menace m'affola assez pour que je n'hésite plus ... En dépit de tout j'ai littéralement plongé ma tête entre ses fesses...
- " Là ! c'est mieux ! tu vois quand tu veux ! mais c'est quand même pénible d'être obligé de te menacer d'un châtiment à chaque fois ! Si j'avais le cul propre je te demanderais pas de me le rafraichir ... réfléchis un peu Ahaha ! ce que t'es con mon pauvre ami !... Je me demande bien ce que ma fille fera de toi quand elle t'aura marié ... allez lèche bien ... ooui ! c'est ça ! rentre bien ta langue dans mon trou d'balle ... durcit ta langue "...
J'avais l'impression que l'odeur collerait à ma peau indéfiniment ....
Je me promettais de me laver aussitôt le supplice terminé ...
et comment !!... de frotter comme un malade ma peau ... de me brosser les dents pendant une heure peut être ! ...mais lui commençait à grogner de plaisir ... il avait même attrapé ses chevilles avec ses bras de chaque côté de sa tête ... pour m'ouvrir encore plus l'accès à son cul ... il finit par lâcher une vesse ! ... je parvins quand même à éviter de lui dégueuler dessus ... ce qui ne fut pas une mince affaire ! ... et je me sentis mieux... dès qu'il m'eut repoussé du pied !
- " Maintenant tu peux sucer ma grosse bite ! tu vois bien ! c'est quand même pas la mer à boire ! "
Et pendant que sa verge coulissait une fois de plus dans ma bouche il poursuivit :
- " Je pense que ma chère Joy sera contente de moi ! Tu as vu ... elle insiste pour que je t'apprenne bien où est ta place ... ce serait quand même con pour toi si tu t'imaginais que le mariage va changer quelque chose à ta misérable condition ... Pas vrai lèche cul... non ne répond pas ! continue !
Je bande pas trop bien ce matin mais en insistant , je vais finir par te cracher à la gueule ! Ahaha ! " ...
Et c'est ce qui finit par arriver ...
Son gland sortit d'entre mes lèvres alors que j'avais déjà pris deux bonnes giclées au moins dans le gosier !! Le reste il tenait sans doute à m'en asperger le visage , les cheveux !
Contraste énorme entre la scène d'amour, il y a peu, avec ma future
Epouse/ Maîtresse et ma soirée de dimanche sous l'emprise brutale du beau-père de Joy ... ( qui sera également le mien si mariage il y a ! et ça me fait tout drôle de le penser... )
Hier matin en appelant son mari et exigeant une liaison par "skype" ma future belle-mère m'a peut être épargné ce que je redoutais tant ( voir mon article précédent ) : avoir à lécher et sucer au réveil les cul et bite malpropres de son mari ...
Elle a voulu me parler et me voir... précisant, je l'ai entendu avec plaisir, que c'était aussi le désir de Joy ...J'avais été réveillé par l'appel...
Il n'était pas encore sept heures.
Robert m'a alors hurlé de me lever et de venir, à genoux, jusqu'à la table ou trônait l'ordi ... Joy était légérement en retrait par rapport à sa mère ce qui me permettait de la voir moins bien mais presque jusquà la taille et donc d'admirer encore sa nudité resplendissante ... elle sortait du bain selon sa mère...
Mareen demanda d'abord à son mari si je me comportais correctement depuis leur départ.
Ce salaud répondit qu'il y avait eu " un léger problème avec la bouffe " mais qu'il m'avait " bien calmé ", et qu'il pensait qu'à l'avenir j' "allais sûrement plus ramener (ma) gueule "
Mareen fronça les sourcils et gronda
- " Je compte sur toi Bob et sur ton savoir-faire ! Tu sais que j'ai toujours apprécié chez toi ce talent de dresseur de p'tits mâles qui oublient parfois leur condition réelle et leur état servile ... n'hésite pas
à recommencer dès que tu le jugeras nécessaire ! Si ma fille épouse
ce chien, je veux qu'il soit complètement maté ... et qu'il ne donne aucun souci ! tu as notre feu vert... en tous cas le mien !
J'avais espéré lire un peu de sympathie, voire de compassion sur le beau visage de "ma" Joy ... je ne vis que ses sourcils froncés , pareils à ceux
de "mamou " ... Pire ! elle renforça même l'appréciation de sa mère :
- " Le mien aussi Bob ! Je crois même qu'il faudra revenir sur cette affaire à notre retour ! Il ne doit pas profiter de ton âge ... prendre
ta supposée faiblesse pour un encouragement à faire ce qu'il veut...
Tu as carte blanche ... et il me paiera ça à la fin de la semaine ! "
A ces mots qui faisaient mal, elle baissa son regard , tenant compte de ma position agenouillée et agita, menaçante, l'index de sa main droite ... cela fit osciller merveilleusement ses beaux seins lourd et fermes et me fit frissoner de désir autant que de déception, de crainte !
- "Tu as entendu '107' ? ne t'amuse pas à ça ! ... je ne veux plus entendre que tu profites de l'âge de Bob pour n'en faire qu'à ta tête ... On t'appelle de bonne heure parce que tu dois aller travailler à la superette aujourd'hui en plus de tes rendez vous avec Nadia ou Norma ... ( elle haussa brutalement le ton ) .... mais compte tenu de ce que je viens d'entendre je te préviens esclave ! tu n'as vraiment pas intérêt à la ramener ! ni là bas ! ... ni pendant ton service de midi " ...
... sa mère la coupa avec un sourire inquiétant vers moi ... Puis elle revint toute douceur vers sa fille :
- " T'inquète pas mon ange, on a parlé un peu avec Nadia l'autre jour et elle m'a dit que s'il faisait le mariolle elle dirait son secret à ... Clara je crois ... c'est une nièce, une petite courageuse qui bosse le midi au restau pour payer ses études ... il aura l'air malin quand la moitié du personnel saura quel trou du'c il est ! ... cette fois c'est Joy qui reprit la parole...
... tournée vers sa mère et ... rieuse d'un coup :
- " Clara tu dis ! mais je la connais ! ... c'est une sacrée déconneuse ! ...
on a fait la fête ensemble pour Halloween ... ahaha ! ... elle m'avait invitée aussi pour un bizutage dans son école ! elle a pas froid aux yeux ! "
elle revint vers mon image sur écran :
- " Si j'étais toi je ferais tout ce qu'il faut pour qu'une fille comme elle ne sache pas quel pov'mec tu es ... elle est impitoyable avec les losers dans ton genre ... et moi en tous cas j'hésiterai pas à la mettre au parfum si tu joues au con ! ... d'ailleurs ...je .... je me demande si je vais pas l'inviter à la noce ! ... ahaha ! j'y avais pas pensé ! c'est pourtant l'invitée idéale pour un tel mariage ! "
On le voit cette connection m'avait peut être évité de risquer de gerber en mettant ma bouche, mon nez, ma langue dans des recoins repoussants , mais je n'obtenais pas le réconfort attendu du contact avec ma chère Joy ... bien au contraire !
Maligne, sous couvert de gentillesse à son égard ( bien surprenante ! ) elle m'avait un peu plus "grillé" auprès de son beau-père , présentant ma désobéissance, dont j'ignorais bien sûr que si légère ... elle aurait pourtant de si facheuses conséquences ... comme une exploitation de la " faiblesse " du vieux militaire ...
Faible l'officier ? allons donc ! ... mais en disant cela , elle justifiait par avance tout ce qu'il pourrait me faire subir !!
Et puis maintenant la trouille de cette Clara que je n'avais même pas encore vu !...
C'est vrai que je comptais sur ce boulot, hors de ce milieu, qui était le seul, depuis si longtemps, que je fréquentais ... pour regagner un peu d'estime de moi ... être enfin pour des gens autre chose qu'un troudu'c , un loser, un esclave ... un moins que rien ...
Joy l'avait senti ... Joy ne voulait rien de tel !
Il n'avait pas menti hélas : il est revenu après s'être soulagé le ventre avec une conséquence immédiate : plus de bruits intestinaux incongrus comme pendant mon châtiment ...
Je sais ! je dis " hélas " en parlant de son retour , alors qu'il m'a laissé dans une bien pénible posture ... pénible physiquement et tellement humiliante : allongé sur un long tréteau je le rappelle, bras et jambes fixés aux pieds du triste objet...
Je n'avais certes pas envie de dormir là ... encore que !
...j'étais tellement ivre de fatigue avec ma peau si douloureuse que l'essentiel étaient que les coups se soient arrêtés et qu'il ne soit plus là pour me foutre la trouille et me torturer davantage ... je me demande si sans son retour, je n'aurai pas fini par m'endormir ...
J'avais aussi peur qu'il me fasse lécher son cul que d'être enculé ... Roberto m'ayant raconté qu'il le faisait parfois avec lui , en s'essuyant à peine ... l'horreur !!...
il m'obligea à sucer son gland et sa verge " dans ton intérêt " dit t il
" pour pas te déchirer la rondelle " et côté odeur , la proximité de ses parties intimes me renseigna sur ce que j'étais en train d'éviter ... dans mon malheur !
Oui ! dans mon malheur ! ... car la sodo fut très pénible ... il y alla sans la moindre précaution ... sans préparation, sans autre lubrifiant que ma salive, avec comme il le dit , l'intention de " me casser le cul " ...
Heureusement son exitation était si forte que ça ne dura pas trop ...
Enfin ! c'est ce qu'il commenta lui même après ! car pour moi je vous prie de croire que ça me parut très long ! ... mais je reconnais que je n'avais aucune objectivité ... quand il se retira aprés avoir joui en gueulant comme un porc ... j'eus la sensation d'un anus impossible à refermer tant il l'avait forcé ...
Il me détacha et me dit :
- " va te laver le cul salope ! "
Je ne me suis pas fait prier pour aller dans une douche minuscule , situé dans un ancien débarras au bout du couloir , la seule à laquelle j'avais droit à l'étage ... En revanche il n'en fit pas autant contrairement à ce que j'avais espéré et je me remis à craindre, pour plus tard... d'avoir à le sucer ou lécher ...
Quand je revins il était en train de déguster sa blanquette ... et de bien l'arroser ... il me fit remarquer que mon lit était prêt : un lit de camp de toile , aux pieds d'acier qui datait de ses campagnes militaires quand son aide de camp dormait auprès de lui ... je frémis pour le pauvre aide de camp !!
Mais avant il me fit remarquer que je devais manger quelque chose et me montra, bien évidemment... les reliques peu ragoutantes du poulet qui par ma faute avait séjourné un bref instant dans la poubelle ...
Il s'en trouvait badigeonné de cendres de cigare ayant roulé dans les résidus de cendrier ... il m'autorisa quand même, à ma demande, à aller passer sous l'eau ces morceaux sur lesquels il n'y avait d'ailleurs pas grand chose à manger ... Après ce qu'il appela un " dessert " constitué de ses croutes de fromage ... il me " permit " de me coucher ...
A part la difficulté à trouver une position , la moins douloureuse possible, en fonction de mon état ... je peux dire que j'ai sombré assez vite ...
Nécessité de tout oublier !!
Je l'ai appris presque par hasard et à la denière minute !
... vous l'avez peut être perçu dans mon dernier article, mais je suis depuis hier soir sous l'autorité, la surveillance et le contrôle de mon vieux futur beau-père .
Dans un autre ancien article ( mais assez récent ) j'ai pris la peine de dire que cet ancien officier supérieur était aussi dominant avec les représentants de son sexe ... qu'il était soumis à la plupart des créatures du sexe féminin ... et j'ai raconté alors comment il me l'avait prouvé d'emblée !
Bien sûr, il a tenu à ce que je reste à proximité de lui quand je ne travaille pas à l'extérieur et j'ai donc migré vers le petit appartement que lui réserve Mareen dans une autre aile du bâtiment central, donc pas tout près de sa vaste chambre - qui n'est plus vraiment conjugale - et de la salle de bain personnelle de Madame .
Les Femmes sont donc parties vers les pistes enneigées hier dimanche en fin d'après midi... et aussitôt Maître Robert - il exige que je l'appelle ainsi - m'a trouvé " des occupations " .
D'abord le nettoyage et le rangement de sa chambre , son antre ... et de son bureau ! Depuis que je suis là je fais ça deux fois par semaine et c'est toujours le bordel : des fringues qui trainent partout, propres ou sales...
... des cartes d'état-major ouvertes sur son bureau, ou à même le sol, quand ce n'est pas sur le lit , des jumelles d'un côté , un boitier de l'autre ... ( l'homme fait souvent de grandes ballades à pied ... Il lui est même arrivé de faire venir Roberto un après midi rien que pour porter son sac à dos pendant des heures )
Hier il y avait une carcasse de poulet dans un plat et même deux ou trois os par terre !!... cela ne m'a qu'à moitié surpris ... il déjeune ou dine parfois " dans ses appartements " comme dit avec ironie sa femme .
Quand il m'a vu aller vers la poubelle pour jeter tout ça il a gueulé :
- " Eh ! couille molle ! ... je l'aurais fait moi même ! je te l'ai gardé pour ce soir ... moi je vais me finir une blanquette qui est au frigo... avec un bon Bourgogne se sera parfait, mais y'a pas pour deux et j'ai rien pour toi ! ... si tu veux pas jeûner ..."
j'ai marqué un temps d'arrêt et ... mal m'en a pris !... j'ai quand même fait glisser les reliefs de son repas dans la poubelle . "
Il m'a regardé intensément et j'ai senti aussitôt que j'avais fait une erreur... une grosse connerie même !
- " Fallait surtout pas faire ce que tu viens de faire " trouduc' " ! ... ça non !! fallait pas ! tu commences mal avec moi ! ... commence par ramasser ce que tu viens de balancer comme si je t'avais rien dit ... NOON BÂTAARD AVEC CE QUI TE SERT DE BOUCHE ! "
Et comme il avançait vers moi après avoir haussé dramatiquement le ton ... comme il s'était emparé d'une cravache d'équitation suspendue au mur j'ai plongé - bien à contre-coeur ... vous l'imaginez ! - mon museau dans la poubelle .
J'en ai extirpé la carcasse et quelques os pour les recracher dans le plat que j'avais toujours en main ... mais le vieux militaire était sur moi et mon obéissance immédiate ne l'avait pas calmé ... il était , comme souvent dans sa chambre, vêtu d'un pull over kaki de laine , mais nu à partir de la mi-fesses ses pieds étaient chaussés de ses chaussures de marche qu'il me faisait cirer deux ou trois fois par semaine ( parfois sans les quitter , à genoux devant lui ) ...
Je suis tombé lâchement à genoux ... sans laisser tomber le plat duquel la carcasse faillit glisser et j'ai dit
- " Oh noon Maître ! je vous en prie ! il faut m'excuser !! je... je ... "
Mais la cravache avait déjà mordu mes fesses ! ... par deux fois !... et la deuxième fois la carcasse avait " valsé "
- " Ramasse , et va porter le plat sur la table... gibier de potence ! après tu vas te mettre à plat ventre sur le tréteau et tu m'attends ! "...
il y avait un tréteau en effet ... Roberto m'avait dit que pour les punitions, " le Maître " comme il disait parfois, le faisait mettre à plat ventre dessus et liait ses chevilles et poignets aux pieds de l'objet... objet qui n'avait de positif que le fait d'être gainé de vieux cuir sur la barre où il fallait bien , la mort dans l'âme, s'allonger...
j'ai tenté un stupide et lâche " pitié Maître ! ",
...lâche... parce que je le suis !
... stupide parce que Roberto m'avait bien prévenu : " quand il voit que tu as peur de lui et que tu es prêt à faire n'importe quoi il se met à bander comme un malade ... là tu peux te dire que t'es fait ! ... Alors que par ailleurs il a de plus en plus de mal à bander !... tu penses si ça le mets en joie ..."
... je m'étais bien rendu compte que ses érections , n'étaient pas toujours ... enviables, et qu'elles étaient longues à venir ...
ET LA IL BANDAIT COMME UN JEUNE HOMME ! ... surtout après m'avoir donné deux nouveaux coup de cravache - en entendant le dernier témoignage de ma trouille et de ma lâcheté - cette fois sur les mollets !
Je suis allé m'allonger sur l'instrument de supplice ... j'ai eu du mal a caler mon bas ventre... pour que ma CB me gêne au minimum et j'ai trouvé le temps très long pour son retour !
Quand il revint, dans mon dos, je le vis d'abord dans la grande glace murale qui couvrait tout le pan de mur, juste en face de l'instrument de torture...( et cela n'avait rien d'hasardeux ! )
Il avait remplacé son pull par un simple gilet de cuir noir qui laissait voir sa bedaine blanche et lisse ( le seul endroit de son corps dépourvu du moindre poil) et aussi la masse de chair molle de ses seins au coeur de laquelle on distinguait à peine deux petits tétons pales ... il avait à la main un fouet court ... il s'accroupit, derrière puis devant moi pour fixer mes membres au pieds du traiteau ... quand il passa devant je sentis son haleine avinée juste sous mon visage ... je voyais aussi ses fesses en goutte d'huile et blanches et l'écartement de ses pieds, pendant qu'il se penchait vers l'avant, m'offrit une vue imprenable sur sa raie poilue ... il sentait la transpiration ... autre preuve de son excitation ( toujours selon Roberto ... et un autre soumis occasionnel qui m'avait aussi parlé de la peur qu'il lui inspirait ) ... j'ai pourtant tenté une nouvelle prière ... toujours plus répugnante et inutile ...
- " Tu perds ton temps pauvre larve ! tu n'as pas encore compris ça ? ...
à l'avenir tu m'obéiras ... tu verras ! ... ça t'aura au moins servi à ça ! "
Entre ses jambes maigres blanches et poilus fléchies je ne voyais plus que son braquemard dressé à mort et tout rouge avec son long gland violet et luisant ... parfois, dans cette position, l'odeur de sa bite et de sa raie ouverte l'emportait sur celle de transpiration ... quand il eut fini de m'attacher, il se mit un peu plus de côté leva un bras et m'ordonna :
- " lèche " ... il avait les longs poils de ses aisselles si trempés de sueur qu'ils collaient, par paquets , j'ai lèché , le coeur au bord des lèvres , le corps nauséeux ... il m'a tendu l'autre aisselle pour que je fasse la même chose, puis s'est levé mais sans s'éloigner de moi , fier de me mettre son érection sous le nez :
- " Embrasse ma bite sale chien ! Là ! juste tes lèvres sur mon gland ... en signe de dévotion ... peut être que tout à l'heure elle ira dans ton cul ... on verra ... mais je dois dabord te corriger pour t'apprendre l'obéissance et le respect ... je suis sûr que ma fille m'en saura gré ! "
Il disait presque toujours "ma fille" en parlant de Joy ... quand elle ne ratait jamais une occasion de préciser qu'il n'était pas son père !
Ensuite ... en effet il m'a fouetté !!! ... les fesses , le dos , les épaules .... les cuisses , les mollets ... j'avais l'impression que ça ne finirait pas ... ou que je tomberais dans les pommes tôt ou tard ! ... mais j'ai tenu...
j'ai crié , même si Roberto m'avait dit qu'il fallait éviter ( toujours cette idée de l'exciter au minimum ) mais comment faire !
Il m'a dit en s'éloignant , comme si rien ne s'était passé :
- " je ne te demande pas de me tailler une pipe ... je vais revenir tout à l'heure pour t'enculer ! tu m'as mis en forme lopette ! "
J'ai vu ses fesses balloter comme un sac pas assez rempli quand il s'est éloigné en disant :
-" Je vais couler un bronze et je reviens ! ... attends moi hein ! "
.... et ça l'a fait rire !
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