asserviparmonex

                                                         " Chez " les Panthères Vertes !   ( II )  Première partie

J'ai tout de suite réalisé que je n'avais pas gagné au change ... 

Non , ce n'était plus la lisse  et si séduisante Amazone-Inspectrice que j'ai pris tant de plaisir à lécher  et qui ne m'a infligé aucune torture  ( oui ! le terme d'Inspectrice , au Centre , pour moi suggère  invariablement la torture !  d'où ma crainte ) ...

Dès que j'ai commencé à monter derrière elle l'escalier  menant à sa piaule  ( nichée au dernier étage du bâtiment administratif ) j'ai réalisé  qu'il pouvait se passer à peu près n'importe quoi avec cette forte et grande blonde  à la peau laiteuse, sans doute largement trentenaire  ... La déférence guindée qu'elle avait manifestée à l'égard de sa  jeune supérieure n'était à l'évidence pas de mise  avec moi ...

Oui ! elle  me précédait sur les marches assez raides   et comme elle n'avait pas enfilé sa veste, pour son passage dans le bureau ( ce dont elle avait demandé, platement ,  à sa supérieure de l'excuser )...  j'avais en point de mire ses cuisses  épaisses et son gros  fessier , serrés  dans le  pantalon ....  elle tortillait outrageusement  le tout au franchissement de chaque degré  ...

Elle lacha soudainement un long  pet  sonore que ma  position  me fit prendre  en pleine face  , et ça  la fit bien rire  !

- " Faites excuse mon Prince !! hahahahah ! j'ai bouffé du chou ce soir  et ça me met toujours les boyaux dans un état ! j'te dis pas ! autant que tu le saches ! hein ? " ....

C'est  une rafale cette fois qui me cueillit un peu plus haut  

... " tu vois !  hahahaha ! ... tu verrais  ta tronche ! c'est trop marrant ! " ..... elle s'était tourné vers moi... l'odeur autour de nous se propageait lourde et fétide ... elle allait poursuivre ....monter vers sa chambre à l'étage suivant , mais sur le nouveau palier elle se ravisa ... des rires juvéniles se faisaient entendre  au bout d'un couloir ..

- " Tiens ! suis moi toi ! après tout on a tout notre temps !  enfin ! surtout toi ! je vais te présenter aux Panthères Vertes ... ça va les amuser de voir un ex mâle  nu  et honteux comme  toi !   Hihihi !"

j'ai failli crier , la prier de n'en rien faire ! et j'ai réalisé que ma prière  renforcerait sa volonté de m'exhiber  à ces jeunes  donzelles  que peu de gens approchaient avec plaisir , en dépit de leur beauté souvent indéniable ( les Panthères Vertes étaient  en effet une sorte de petite unité              - Soixante quinze à quatre vingt  membres quand même,  des filles triées sur le volet - Commando d'Aspirantes Maîtresses , voire pour les plus prometteuses , futures Amazones....  toutes dans leur dix huitième  année  ( ou dix neuvième pour les moins "douées  pour l'agressivité dominatrice" : on quittait  en effet obligatoirement  au plus tard cette unité  dans les six mois qui  précédaient  le  vingtième  anniversaire alors qu'on pouvait y entrer  dans le mois suivant celui de la dix huitième année  ) ..

Panthère Vertes  ?... pour les " vertes années " simplement ... le manque de maturité ... , cette folie juvénile , cette insolence ravageuse  qui faisaient si peur à l'esclave  tombant entre leurs griffes ... J'ajoute qu'on tolérait d'elles à peu près n'importe quoi ... c'est du moins ce qu'elles laissaient dire, amusées  et que   leur slogan fétiche proclamait : " Insolence , Sauvagerie, Cruauté ! "

Un tiers des membres de l'unité dormait donc  là, dans un grand dortoir  une nuit sur trois .... prêtes à l'action . 

Le règlement du Centre voulait qu'elles soit les premières à intervenir en cas  de " gros souci " ... comme elles étaient en état d'alerte permanent durant cette nuit  de garde ... le sommeil n'était guère à leur programme  et elle chahutaient pas mal entre elles , histoire de tuer le temps ....

Parfois " on " leur envoyait un  ou deux esclaves qui s'étaient  " très mal conduits "  , et alors c'était encore plus la " java " ou la " corrida " que les autres nuits !...

Si on ne les entendait pas plus de l'extérieur c'est que depuis peu toute l'aile du bâtiment avait été insonorisée !

Mais là , de l'escalier , les rires et les cris de cour de récré  étaient  fort audibles ... la porte du grand dortoir était resté ouverte  hélas ! malheureusement  pour moi !... et c'est ce qui donna cette brillante idée  à mon guide !

- " Salut  Saskhia !  Tu nous ammène un nouveau jouet ahhahah ! "

- " On n'a pas encore cassé les deux autres  tu sais !  "

Une grappe d'une douzaine de filles s'était formée  autour de nous deux !Elles riaient de bon coeur ... et pour n'importe quoi !

La première à parler ( Dorothée ) était de taille moyenne,  rousse avec des couettes  qui la rajeunissaient un peu plus encore , comme si elle avait besoin de ça ... elle portait l'uniforme de l'unité : corsage blanc sur jupe plissée sage, bleu marine  , chaussettes fines blanches et chaussures plates du même bleu que la jupe  ... Traditionnellement ....

- Sur le corsage une cravate club , avec le blason du " commando ".

- Sous la jupe une culotte de coupe brésilienne  d'un joli vert tendre ...

Mais beaucoup, comme  Dorothée ( je m'en rendis compte rapidement ) avaient oublié la petite culotte ... beaucoup ne portaient pas de cravate non plus ... c'était le cas  de la deuxième intervenante  ( Yuki ) d'origine japonaise ... quelques unes ne portaient ni cravate ni culotte  ... et quatre ou cinq ... ( au moment ou nous sommes arrivés  devant la grande porte ... mais deux fois plus quelques dizaines de minutes plus tard ! ) étaient totalement nues et totalement à l'aise ...

Je vis ficelé sur  une chaise  un esclave que je reconnus pour l'avoir vaguement côtoyé lors de mon premier séjour ici ... il était reparti avant moi alors ... mais à l'évidence il était revenu .... c'était un type de 55 ans à peu près , pansu et affublé d'une petite verge ridicule , petite mais très épaisse ! ça m'avait frappé à l'époque ... Une belle noire grande et musclée, totalement nue  était en train de faire courir une tondeuse sur son crâne  devenue sous sa main  ferme complètement lisse ...

- " Et pour Môôôssieu ce sera la boule à zéro aussi ?  " .......  cria une   brune  aux rondeurs très méditerranéennes  difficilement abritées sous son corsage  déboutonné et sa jupe dézippée   qui était près du nouveau tondu ...

J'ai eu le tort  de crier  " noooonnn ! " d'un air affolé, qui a  bien malencontreusement attiré  bien  plus que nécessaire l'attention sur moi !! ...

 Du coup sur un signe de Yuki , Dorothée et  Béa , la brune  qui m'avait apostrophé , vinrent  l'aider à s'emparer de moi mais  plusieurs  autres  filles passablement énervées , alertées par mon cri ....qui leur laissa présager peut être des vélléités de résistance  vinrent  les aider à m'entrainer vers le centre de l'immense dortoir  ...

...j'ai essayé de résister,  croyez moi ! mais c'était peine perdue :

 j'étais de plus en plus tiré par les unes , poussé par les autres .... entrainé irrésistiblement  vers la chaise que libérait  justement le nouveau tondu qu'on finissait de détacher ...

Du coup je me suis tourné vers Saskhia la Gardienne dont je pensais  qu'elle trouverait peu être ennuyeux de se laisser déborder par toutes ces jeunes excitées ... JE N'AVAIS PLUS D'AUTRE ESPOIR !! 

 Je lui ai adressé quelques  regards  vraiment désespérés   ...

C'était MON RECOURS  !  du moins le croyais je :

Après tout c'est par sa faute que j'étais arrivé là !... et peut être  redouterait elle que ces jeunes incontrôlables ne portent atteinte à mon intégrité ... et ne lui attirent des ennuis avec la chilienne  !

Mais c'est moi qui redoutait ces jeunes agitées , qui craignait leurs excès . Pas elle ! ... 

Alors que  mes regards affolés et implorants la firent rire, visiblement  les délires des filles l'amusaient et l'émoustillaient  plus qu'ils ne l'inquiétaient,  .... elle but au goulot dans une bouteille de Coca que lui tendit  une grande fille auburn , nue et  dotée d'une toison  qui aimanta mon regard  : elle  courait en un  large triangle sur  toute la zone pubienne  et s'achevait  par une ligne d'abord fournie,puis  de plus en plus fine  jusqu'au nombril ... dans le dos , sur ses reins les poils , abondants et longs jaillissaient   de sa raie culière ...

Saskhia , pour la remercier de la rasade  de Coca  à même la bouteille  ( qui contenait sans doute  des substance moins "neutres " ) lui roula un gros patin sous une poignée d'applaudissements,  puis elle apostropha les deux douzaines de " Panthères " frénétiques   :

- " Les filles ! puisque vous vous proposez si généreusement pour vous occuper un peu de lui, je veux bien vous laisser cet esclave un bon moment ... d'autant que j'ai mieux à faire dans l'heure qui vient ! "

Sa fin de phrase provoqua , après les sifflets enthousiastes du début  un brouhaha indescriptible  avec des phrases plus ou moins audibles qui partirent dans tous les sens !

- C'est pas vrai ! tu retournes baiser ? Tu as le feu au cul !!! .... ou bien :

- C'est  encore l'esclave "vint'trois" qui te saute ?

- Naaann ! c'est "cinquant'six"  un beau trentenaire bien gaulé !!...

- " vint'trois" est parti  il y a quatre jours ! vous le saviez pas ?

 ........................ " Ahahahaha !  "    ..... 

.......des rires fusèrent à la fin de chaque apostrophe ... chaque réplique !... prononcée chaque fois par une fille différente !

- " Maî ... Maîtresse  !  Doña Teresa  a convoqué une réunion pour me tondre demain ! .... elle ne va pas aimer ! ..... Je vous en prie ! ....  Vous ne pouvez pas laisser pas faire ça !!

Un bref silence suivit ma tirade prononcée d'une voix chevrotante ... et je crus que mon audace avait payé ... mais une fille que je n'avais pas encore remarqué fit tout capoter ... elle singea ma voix  tremblante et si mal assurée et répéta :

- " elle ne va pas aimer ! ... Maitr... Maitresse je vous en prie !"  ....

....elle finit même par s'agenouiller  aux pieds  de la Gardienne  qui éclata de rire , entrainant aussitôt l'hilarité générale ...

- " Allez idiote ! relève toi ...  elle lui caressa tendrement la joue ... 

- " Oui Maman !  " ......    et la fille  se releva !...

Oui ! cela devint évident aussitôt : cette fille était la fille de la Gardienne ! même carnation , même visage un peu carré aux joues trop rondes  et colorées , même nez aux ailes frémissantes.... seul son regard  vif et rieur était bien différent de celui malsain et presque constamment obscène de la mère ...

j'avais raison , même si la Gardienne  avait eu Paula  bien jeune  ( c'était le prénom de la jeune fille ... prononcez Paoula à l'espagnole ), elle avait sans doute  aujourd'hui dans les trente cinq ans    ...

 - " Allez ! attachez moi ce  trou du cul et mettez lui la boule à zéro !! c'est moi qui l'ordonne mes biches !  " 

Le silence qui avait repris un peu ses droits vola de nouveau en éclat  sous l'exhortation  ... 

- " Bravo Maman ! " lança Paula hilare !

- " Vive Saskhia ! " proposèrent  Dorothée ... puis Nadget  puis le plus grand nombre ! Pendant qu'on liait mes chevilles aux pieds de la chaise !

- "  Si la veille folle fait des histoires, ce qui m'étonnerait beaucoup  on  aura qu'à dire  qu'il s'est révolté  contre un innocent bizutage que vous lui imposiez et que vous l'avez puni ainsi ... ça s'est déjà produit ici !

- " WWOOOUUUAA i i i i i HHH !   " hurla  Béa sous mon nez,  bouche ouverte sur une haleine très alcoolisée ,  en faisant passer sous mon ventre  la corde qui me liait déja  les poignets  dans le dos ....

Tout était joué ! je n'avais plus maintenant qu'à boire mon indicible humiliation ! ... j'allais vivre cette fois  la honte de la tonte  sous une quarantaine d'yeux  cruels et de jolies lèvres ricanantes !! sous des quolibets impitoyables ....   jusqu'au bout !!

Pourtant , comme si ce n'était pas assez  Nadjet la sculpturale congolaise , nue depuis le début, lança,  en passant sa main dans mes cheveux :

- " Il a le cheveux trop sec ... s'est pas bon pour la coupe ! " .....

...... et sous les bouilles hilares et les regards incrédules  montant vers le plafond , elle posa ses pieds nus sur deux montants de lits différents   ..........." ma " chaise était entre deux lits, la noire  se trouva donc à faire presque le grand écart  au dessus de ma tête  et je sentis bientôt son urine chaude  sur le sommet de ma tête  et les éclaboussures  du liquide ambré et très odorant poussa les filles les plus proches à s'écarter un peu de moi en riant ... 

 Saskhia s'en alla  vers son rendez vous . Mon supplice ne l'amusait plus ... elle savait que j'allais en baver pour un long moment  et c'était ce qui lui importait avant tout   ... Elle  estima qu'elle avait d'autres jeux  davantage de son âge  qui l'attendaient au-dessus ... elle dit juste  à la cantonnade  :

- " Allez ! amusez vous les filles ... c'est pour les nuits sans saveur qu'on   passe souvent ici !!  ... d'ici deux heures pensez à me le ramener  là haut ... je veux qu'il   fasse ma toilette intime avant de dormir ...

- "Boooonne baaaiiiise  Saaasskhhiiiaaa  !! crièrent une douzaine de gosiers au moins , tandis que la vessie de la belle congolaise finissait de se vider sur ma tête ...

L'humidité sur mes joues n'était pas que de l'urine  elle était plus amère encore !!

Ainsi, il importait de me vendre le mieux et le plus sûrement possible à celle qui s'intéressait à l'esclave 107 depuis quelques mois , mais surtout , peut être à sa fille ... qui pour mon malheur , et semble t il depuis  peu, mais cela n'arrangeait rien ! connaissait mon ex belle-soeur...

Ce que je ne comprenais toujours pas c'était à quoi rimait maintenant cette idée d'interrogatoire par une Amazone ...

Interrogatoire au nom de qui ?

....Au bénéfice de qui ?

Maître Rafael avait-il vraiment besoin de ça ? ... ne s'agissait il pas de me conditionner davantage ? 

Que fallait il penser de cette vidéo-conférence  qui avait lieu pendant mes stupéfiantes découvertes  du bureau ?

Qui  donc y participait , outre l'Inspectrice, Maître Rafael ?... Hannah ? 

Si l'Amazone-Inspectrice n'était pas commanditée par lui, au service de qui était elle .... sinon de Teresa  ?

La sadique quinquagénaire - oui ! j'avais découvert qu'elle n'avait pas encore 51 ans !- faisait elle déjà la pluie et le beau-temps dans le Centre ?

Sa fille était elle sur le point de faire un gros caprice dont je serais la cible et la victime désignées  ?

J'ai voulu en avoir le coeur net et me suis dit que ces papiers épars , jouets des courants d'air , n'étaient sans doute pas  les seuls papiers vraiment " édifiants " ...

C'était sans doute qu'une chemise trop légère  s'était ouverte et  qu'il y avait à proximité  d'autres documents ou feuilles à considérer ... 

J'ai donc cherché dans une pile sur le bureau, avec l'espoir ( !! ) de découvrir un dossier à mon nom !

IL y avait bien quelque chose qui me sembla intéressant , mais le nom écrit

en gros sur la couverture  était  " DOMINIQUE "

Le mot "dossier"  avait d'ailleurs quelque chose d'excessif ... pas bien  épaisse la chemise ! ... de nouveaux formulaires ... des notes écrites à la hâte, parfois raturées , dont la lecture ne m'apprenait rien ... quand je les comprenais ....

Je découvris quand même un papier, rédigé sans doute dans la sponanéité  par une collaboratrice, voire une supérieure  ( si l'on considère la fin de la note ) de l'Inspectrice :

                                Chérie,

Tu trouveras le dossier confidentiel concernant l'esclave ... ...  ...  sous la référence ( suivait un code lettres/chiffres ) dans le coffre de ce bureau, avec les recommandations de la hiérarchie quant aux principales orientations à suivre, quant aux informations et  indications  que tu  devras y placer  et même tu le verras,  les conclusions auxquelles TU DEVRAS aboutir.... ne t'embarrasse pas de détails, tu comprendras  vite qu'il ne s'agit pas d'une véritable enquête !

Tout est joué d'avance, et le grand chef attend juste de notre travail qu'il facilite l'opération qu'il mène actuellement .  La marchandise doit donc être attractive et sûre aux yeux de " qui "  s'intéresse  à l'affaire ...

 ( Et sur ce QUI, le  dossier , lui , fourmille d'informations  qui t'apprendront beaucoup ....  Ce qu'elle attend en fonction de sa personnalité, c'est ce qu'il faut " lui servir ".

 C'est parce que je sais  que tu   es habile dans ce genre de " maquillage " que j'ai proposé ton nom lorsque l'Amazone D... m'a demandé si j'avais une Inspectrice fiable, ayant l'esprit communautaire ( l'esprit " maison " comme  elle dit )  et suffisamment expérimentée à lui proposer  ( j'ai compris immédiatement ce qu'elle voulait dire !)

Ne me remercie pas ma grande , je n'ai fait que renvoyer l'ascenseur ... si j'en suis là aujourd'hui, c'est bien grâce à toi et à ta merveilleuse mère ...

J'embrasse  ta babasse  odorante,  aux poils hirsutes  et constamment  humides .

                Soror .  "

Ainsi, il m'était impossible d'aller plus loin dans l'appréhension de tout ça ... sauf que  " tout ça " était de plus en plus sidérant .... il y avait bien un plan,

quelque chose de pré-établi !

 Il apparaissait de plus en plus clairement  que j'étais instrumentalisé  et que mon Maître,  et sa conseillère suprême : Maîtresse Madeline ! ... avaient  décidé de me sacrifier, de me perdre   pour atteindre leur but  !!

En me rasseyant, effondré , dans l'attente de celle que " Soror " appelait

" chérie "  ( et dont le sexe était " constamment humide " ) ... je vis une dernière feuille dans un coin du bureau... une dernière feuille ...un courriel..

Il avait été rédigé par l' Amazone que j'avais fait jouir avec ma langue moins d'une heure plus tôt ... et dont l'odeur éprouvante ne me quittait pas.

Le papier me confirma que lorsqu'elle s'était adressée à mon Maître en l'appelant par son prénom elle n'était pas dans la familiarité répréhensible L'amant d'Hannah et elle avaient eu , au moins UNE relation  ! ...Récente ?

Plus ancienne que ses retrouvailles explosives avec mon Adorée ?

Je l'ignore , mais le contenu de ce courriel n'avait aucune ambiguïté :

                    "   Rafy chéri ,

Je te remercie  de me faire confiance et de m'attribuer le contrôle de ton esclave ... ... ... en ton absence ... Je sais combien une utilisation judicieuse de cette créature ( sic! ) peut t'aider à parvenir à tes fins ... Mady a encore insisté  récemment  sur ce point ... 

Sache que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir dès qu'elle arrivera, pour qu'il lui soit livré avec  promptitude et qu'elle en tire toute la satisfaction  qu'elle est en droit d'attendre ...

Je n'avais pas assuré le suivi de cet esclave  lors de son dernier séjour au Centre , mais tous les rapports et billets des Amazones par lesquelles il est passé nous apprennent combien il a peur d'elle , combien il la craint ...

Cela se voit tellement que certaines filles , des Surveillantes en particulier, en ont fait un sujet de plaisanterie .

Doña Teresa aussi le sait ! et son sadisme manifeste y trouve évidemment son compte ...

C'est sans doute une des raisons majeures -je suis bien d'accord avec toi- qui pousse ta future associée à ne jurer que par lui actuellement...          je crois , tout comme toi , que ça lui passera, cet esclave n'ayant - je le pense comme toi ,même si je le connais peu -  rien d'exceptionnel ...

mais en attendant, et même en redoutant que  l'indifférence n'arrive plus vite que prévu ...il serait bon que l'esclave qu'elle réclame appartienne le plus complètement possible  au " paysage " de notre base .

Sous quelle forme  " juridique " ? c'est ce que toute l'équipe ici s'efforce d'approfondir , pour te proposer au plus vite les plus judicieuses solutions ...

Ton idée de le rattacher totalement au Centre et de le placer sous ma férule permanente  est intéressante ... Il est clair cependant que si , non seulement  Doña Teresa , mais aussi sa fille , puisqu'il en est question , manifestent toujours plus d'intérêt pour  107 il faudra faire le nécessaire pour le leur céder sous une forme ou une autre ...

Vente pure et simple ?

Monnaie d'échange ?

Cession " subtile" au Centre ?

Teresa y exerçant des fonctions   le  rattachement préalablement de l'esclave  effectué, l'autorité directe  passerait en douceur de moi à elle ... simple transfert de pouvoir !

Il sera temps alors peut être  de passer à une forme de co-propriété ..."

Cet e-mail imprimé ( pourquoi ?) se terminait "chaleureusement" sans que je puisse en conclure cependant qu'il y avait davantage entre eux, aujourd'hui.... que du " professionnel "

                                           §§§

Je  reviens dès que possible .... mais mon service ,au présent, à la villa, me réclame ... le weekend est tout proche ( sera ce le dernier ici ? c'est la question que je me pose depuis le précédent avec une probabilité en constante augmentation... vous vous en rendez compte je pense en me lisant ces jours ci !!! )

Je  n'ai pu revenir plus rapidement au récit de tout ce qui s'est bousculé  dans la première quinzaine d'août  au Centre , j'en suis désolé car j'aimerais que l'on comprenne bien que mon avenir se joue actuellement peut être sur un coup de dés , sur des mouvements d'humeur ... ou tout autre chose que je ne connais pas ... 

Mais en attendant  des décisions qui ne se prennent plus totalement, plus vraiment  à la villa , c'est le moins qu'on puisse dire ! c'est là que je vis  de nouveau  depuis  le 23 août dernier ... là que j'essaie de servir au mieux celle que je ne verrai peut être plus , avec laquelle je n'aurai plus aucun lien, si ce qui se trame actuellement réussit !!... Et ce service  est plus exigeant que jamais ... de plus je m'efforce d'être le plus irréprochable possible , avec l'espoir , sans doute idiot ,

qu' Hannah pourrait alors faire tout pour me garder auprès d'elle  ... envers et contre tout ... et tous !

Voilà donc la suite  ( voir article précédent ) de mes premières quarante  huit heures au Centre catalan  :

 Dans le bureau  je découvris d'abord une lettre manuscrite et mon trouble franchit un nouveau palier quand je me rendis compte qu'elle était de la main de ...Madeline !! Oui ! mon ex belle-soeur ! .... 

.... et bien que je vis, par la suite, qu'il y avait  dans ces feuilles éparses jonchant la moquellte du bureau , des courriels, des imprimés , des formulaires peut être plus importants pour moi ... c'est sur cette feuille que toute mon attention s'est  initialement  " focalisée " ...

Trouver une lettre de  la soeur de mon " ex " m'intriguait , évidemment !

mais aussi me ramenait  à toutes ces observations et constats faits au printemps... Au moment où je cherchais à évaluer quel  rôle et quelle place  cette Femme  ( que je découvrais alors  si manipulatrice !) avait tenu dans l'asservissement imposé par mon épouse....

Une place considérable ! ce fut ma conclusion alors ! et c'est là que j'ai cessé de sous estimer Maîtresse Madeline ... cessé  de ne voir en elle qu'une "soeur de ..." jouisseuse et passablement cruelle .... mais le temps avait estompé tout ça ! 

Voilà que cette lettre  ramenait Madeline  sur le devant de la scène  ! Alors même que je pensais que la reprise de la belle histoire d'amour entre Maître Rafael et ma Reine l'avait marginalisée !

  Je m'apprêtais  donc à découvrir  combien cette Femme .... que je croyais  pourtant  avoir appris à ne plus mésestimer ,  jouait et ALLAIT JOUER un rôle déterminant dans mon histoire !!

Je l'avais si longtemps vu au début de notre mariage en particulier,  comme sous influence... à la remorque de sa soeur  Hannah,  !  j'avais découvert au printemps une autre réalité pourtant !

Une perverse, une dangereuse  manipulatrice !!  voilà comment je voyais Madeline alors  !! Mais c'était comme si , la découverte passée ( on se souviendra  pourtant sans doute de tout ce que j'ai pu en dire !) elle était redevenue secondaire .

Je pense que cette tendance à la sous estimer , malgré tout ! est venue de la renaissance du couple dont j'avais été l'esclave dans un épique " ménage à trois "...

On se souviendra peut être que je me suis demandé un moment - c'était en juin dernier je crois - comment Hannah et son amant ( qui était aussi celui de mon ex belle-soeur ! ) allaient lui présenter leur retour de passion ..

.L'image que j'avais d'elle  n'avait donc  plus rien à voir avec celle  d'une Messaline .... ( pourtant ceux qui ont lu mon autre blog " tindick-scuckold" lors du dernier printemps savent combien elle avait démontré alors toute l'étendue de sa perversité sournoise !!)

Oh ! désolé ! je viens de  réaliser que je suis encore le seul à connaître le contenu de cette lettre dont , dans un premier temps, seule l'écriture  a retenu mon intention  et lui a donné de l'importance   .

 Le mieux est donc de reproduire l'essentiel de cette lettre ici  ( oui cette fois il s'agit bien de l'essentiel , et non de mot à mot comme j'ai pu le faire dans le passé avec des lettres , les siennes parfois,  que j'ai pu reproduire entièrement )... Là ,  on comprendra  aisément que je n'avais pas , lors de mes stupéfiantes  découvertes , les moyens  de  noter mot à mot .... mais le contenu revêtait pour moi une telle importance que ma mémoire a gardé  assez précisément ce que j'ai eu la possibilité de fixer dans les grandes lignes dès le lendemain :

                      "            Rafy chérie ,

           D'abord laisse moi te dire combien je suis heureuse que tu vives de nouveau  de si belles chose  avec mon  Anouchka ...

Tu sais que j'ai toujours considéré la présence de  son italien  dans sa vie comme  une catastrophe  et que leur mariage m'a terriblement déçue et peinée...

Pour moi , le seul avantage de cette histoire et de sa vie de quelques mois dans la péninsule,  fut de mettre un terme assez brutal  à son lien avec son précédent mari, devenu  pour tous " l'esclave 107 ".

Ah si ! un autre avantage, non négligeable... mais souviens toi qu'il avait commencé bien  avant la rencontre de l'austère italien et que je t'avais reproché alors  de ne pas l'avoir  vraiment  officialisé, contractualisé :

la propriété qu'elle te transmettait de son ex mari asservi ( par elle ... par toi ... et finalement quand on y pense  aussi par moi ! non ? )

Cette propriété d'un authentique esclave ( nous nous sommes assez démenés pour ça ! ) qui à n'en pas douter te revient aujourd'hui ... c'est ce que je te propose de " valider " maintenant , faute d'avoir fait le nécessaire alors ...

J'ai envoyé ce jour sur le bateau , en même temps que ce courrier personnel, une formule , valant titre de propriété en bonne et due forme  qu'il s'agira pour Hannah de complèter puis de signer , en s'assurant qu'elle porte la date , non de ce début d'août 2010 , bien sûr ,mais de la fin de l'année 2008 ( là  ! peu importe la date exacte )

Je maintiens que, pour négocier avec ta redoutable future associée chilienne , déjà principale donatrice de ton Centre , il sera vraiment souhaitable de posséder un tel titre de propriété ...

il réduira également à néant , toute éventuelle - bien qu'improbable - tentative d'une des autres femmes de l'entourage de " 107" , pendant le premier semestre de cette année , de faire état d'un droit sur lui...

... ça pourrait après tout se faire  au nom de ce qui s'est passé  chez nous pendant la période communautaire qu'Hannah ou moi avons eu l'occasion de te raconter dans ses grandes lignes ....

Bien sûr, de mon côté  je n'entends pas mettre en avant cette période pour revendiquer une part de ce qu'on appelait alors une " propriété collective " ...  J'imagine qu'Hannah non plus ( même si tu me dit qu'elle tient "étrangement " - c'est le mot que tu as employé - à cet esclave ).

En tous cas, pour elle , je pense que tu auras les arguments !

Il faut qu'elle signe ce certificat de propriété après l'avoir établi de sa main ... et enfin que tu le signes à ton tour ...

Pour la chilienne ce sera une garantie de plus ...

Elle est dans son monde , que veux tu ! ... 

... et dans ce monde la philosophie d' OWK et la réalité d'aujourd'hui se télescopent depuis longtemps , tu le sais  ( d'où d'ailleurs , depuis qu'OWK ne lui est plus accessible cette fixation sur ton Centre ...)

Je connais moins bien que toi celle dont tu tiens visiblement à faire ton associée  ( il est vrai qu'elle ne tergiverse pas sur le montant de sa participation ! mazette !) mais il se trouve qu'Olinda , sa fille, est une relation , certes assez récente , mais  "sérieuse " .... et pour répondre à la question que tu m'as posée il y a une quinzaine : Oui  j'ai cherché  à intéresser cette femme à " ton" esclave  - ou "notre" esclave selon ta formulation d'alors -      ... Oui c'est bien moi .

 Et je pense qu'elle a eu le loisir  de  réfléchir à ce que je lui ai dit  alors ( jouant au mieux sur le registre de la confiance à une amie .. tu me connais ! ) et que, l'intérêt de sa mère aidant , elle ne va pas tarder à manifester pour lui une curiosité, puis  je l'espère  un attachement qui, pour le pauvre chéri ( Hihi !) justifiera bien autre chose qu'une présence de quelques semaines par an " aux côtés " ou " sous" la mère  ou la fille...

En tous cas , j'ai noté avec plaisir , tu l'imagines, son attention croissante pour le sujet à mesure que " je lui  vantais la marchandise " ...

Aux dernières nouvelles - ça aussi c'est moi qui lui ai soufflé ! ..... et  je t'assure que je m'entends parfaitement avec elle ! -  la vicieuse Olinda  envisagerait peut être même un mariage avec " ton" esclave !

Oui ! tu m'as bien lue !!  

Par ailleurs , encore une fois mon chéri, je me réjouis que les feux de la passion aient ressurgi entre Hannah et toi .

 J'étais certes heureuse, tu ne peux en douter , de ce qui s'est passé  entre nous deux au printemps,  et qui m'a rappelé tant de merveilleux souvenirs de jeunesse ! Mais je vois aussi combien votre amour  est porteur  de grandes perspectives dans tous les domaines.

Chéri , je t'embrasse avec tout mon amour , tout cet amour que le commun des mortels ne comprendra jamais ... et  j'espère que tu  feras bon usage des informations  comme des papiers qu'il va falloir utiliser au mieux dans les prochaines semaines  .    "

J'ai évidemment aussitôt cherché , dans la petite liasse de papiers en désordre, la fameuse proposition de titre de propriété ...

Tout simple : A côté de quelques formules et imprimés il offrait une présentation manuscrite  de " l'acte de cession " que Madeline suggérait au crayon , afin que sa soeur la reprenne de sa main ... la date était également en blanc ( proposition : entre septembre et décembre 2008...

c'est la période au cours de laquelle , en effet, j'étais devenu , suite au " don " de mon épouse , la propriété de son amant )