Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Le deuxième soir, ayant très peu mangé depuis mon arrivée, tant le contenu des gamelles métalliques cabossées, qui nous servaient d'assiettes était infect je me suis dit , après l'humiliante exposition et l'appel du soir, que , quel que soit le " plat du jour "j'allai cette fois manger , je sentais confusément qu'il le fallait , que je devais me faire une raison, que mes forces faiblissaient et que je n'allais , sinon, pas tenir...
Je n'eus pourtant pas le loisir de vérifier ma détermination à manger n'importe quoi :
Une Gardienne , que j'avais remarquée dès mon arrivée ( elle était alors près des bureaux de l'administration ) avec ses rondeurs débordantes et surtout son sourire moqueur permanent en direction des soumis et esclaves, vint vers moi quand je me dirigeais vers le réfectoire :
- " esclave 107 ! tu ne vas pas manger ! Tu es attendu au bureau des Amazones pour une information te concernant ... ensuite tu iras au service des Investigations, Contrôles et Recherches Essentielles ( le SICRE ), tu attendras à genoux la venue d'une Amazone Inspectrice ... " Suis moi ! "
Au bureau des Amazones, une Quadra plus élégante et distinguée que la moyenne m'a appris que " Doña Teresa " arriverait demain mais pas avant dix sept heures ..... " Tu n'iras donc pas sur le chantier demain " ....ma joie fut de courte durée ... " en conséquence je t'affecte de six à dix heures du matin au nettoyage et à l'entretien des latrines publiques et serviles ...ensuite tu seras douché et conduit aux cuisine, à la préparation des repas et la plonge, puis tu reviendras au Service Investigations, ton dossier est actuellement très mince et incomplet et il faudra revoir des choses qui seront sans doute déjà quelque peu précisées dès ce soir"
- " Et je dors où cette nuit Maît... "Je me pris une grande baffe en pleine face ... fort de mes précédentes expériences ici , j'avais pourtant pris la précaution de ponctuer ma phrase par " Maîtresse " même si elle ne m'avait pas laissé le temps de finir ...
- " C'est d'être l'esclave de Rafael qui te fait croire que tu peux me parler ainsi , sans autorisation , comme d'égal à égal minus ? A genoux !!"
....j'y étais tombé spontanément , dès la gifle reçue . Je savais , avec ma courte expérience du lieu , que la colère d'une Amazone , même pour ce qui semblait " trois fois rien " pouvoir avoir des conséquences démesurées .
J'ai demandé pardon , tête basse , mine contrite ... comme si je venais de faire une faute majeure ... et mon humilité craintive a dû lui plaire :
- " Tu vois quand tu veux ! "..... Elle a écarté puis soulevé le pan de sa jupe " portefeuille"
.... " tiens ! on n'est pas pressé après tout ... l'inspectrice chargée de ton interrogatoire n'arrivera sans doute pas avant une bonne demi-heure ! lèche moi !! j'ai lu sur une de tes fiches que tu faisais ça assez correctement ... Donne moi envie de l'écrire aussi dans mon rapport sur toi !!
Plus élégante et distinguée que la moyenne ! ... oui ! je maintiens qu'elle l'était extérieurement ! avec aussi un visage assez noble, classique , aux traits réguliers, un maquillage judicieux , pour une Dame devant en imposer, une coiffure impeccable !...Mais dès que mon visage, mes lèvres, mon nez entrèrent en contact étroit avec son vagin mon opinion se fit plus nuancée : Elle sentait l'urine et la marée , la deuxième odeur étant plus tenace ... et la première plus agressive ... pourtant , je ne serai pas hypocrite , en dépit d'une approche délicate , d'un début de nausée , je finis par prendre plaisir à lécher cette Femme de pouvoir ...
Jétais en train de prendre conscience que quelque chose se passait vraiment, qui pouvait sans doute bouleverser ma vie :
C'est que les règles du jeu étaient en train de changer et que plusieurs " actrices " , inconnues, mais qui avaient le chic pour se rendre vite crédibles, me surprenaient sans cesse ....
Ce n'était évidemment pas qu'au niveau du langage, mais plusieurs répliques , au cours de ces derniers jours, me confrontaient à une réalité que personne ne m'avait vraiment décrite ! ...
Par exemple tout se passait comme si je n'étais plus vraiment l'esclave de la Communauté drômoise ...plus trop l'esclave de mon ex belle-soeur,
d' Hannah, de sa fille ... mais essentiellement celui de Maître Rafael, que l'Amazone , qui allait bientôt jouir dans ma bouche avait appelé simplement Rafael ... ce n'était pas la première fois qu'on me désignait comme " l'esclave personnel du Patron " et maintenant il y avait cette histoire de dossier incomplet ... d'enquête ! ...
Enquête pourquoi ? sur quoi ?
Ma préoccupation , ma perplexité , me rendirent moins performant , moins impliqué que je ne l'aurais dû ... L'Amazone le constata ...
La belle , aux odeurs vraiment écoeurantes ... ( maintenant que ma salive dégoulinait aussi entre ses fesses , ce sont les relents de ses senteurs anales défraichies qui m'assaillaient ! ) allait bientôt jouir ... pourtant entre deux halètements accentués qui démentaient son propos elle lança cruellement :
- " Tu ... ne lèches ... pas .. si bien ... Tu n'es pas .... à ... ce que ... tu fais !"
Elle jouit dans les trente secondes suivantes ; et se rajusta vite , car on marchait dans le couloir ...
-" En tous cas je n'écrirai pas que tu lèches bien ! sans doute aussi une légende ! " ..... la garce ... elle faisait tout pour m'enfoncer , m'humilier !
Les pas ? c'était une Surveillante , qui montra beaucoup de déférence en parlant à la Femme qui venait de jouir - preuve sans doute de son importance ici - et qui précisa que l'Inspectrice ( à qui je devais avoir affaire ) ne serait sans doute là que dans trois quart d'heure ... elle justifia cette majoration du retard par la vidéo-conférence qui réunissait actuellement cette Inspectrice et "Monsieur le Président Directeur Général " ... c'est ainsi qu'elle appelait Maître Rafael .
- " Bien ! conduis quand même l'esclave dans son bureau ! je ne peux plus m'occuper de lui maintenant !
-" Je range son dossier Madame ? "
- " Non ! il n'est guère fourni , et elle va en avoir besoin tout à l'heure ! "
Je dis " Au revoir " très respectueusement à la puissante Amazone si malodorante ... mais dans son esprit je n'étais déjà plus là - elle rajustait son maquillage devant une glace au dessus d'un petit lavabo de bureau - elle ne jugea pas utile de me répondre .
La Surveillante m'introduisit dans le bureau de l'inspectrice ... Je me mis d'abord machinalement à genoux , puis je réfléchis qu'elle ne serait pas là avant un moment ... La Surveillante avait refermé une fenêtre, remarquant un courant d'air lorsqu'elle m'avait ouvert la porte et déjà , elle sortait de la pièce sans le moindre mot pour moi ....
C'est en me relevant que je vis quelques papiers sous le bureau et sous une table-desserte proche ... sans doute avaient ils volés avec le courant d'air ...
D'abord j'ai pensé les ramasser, par simple souci de l'ordre... puis j'ai vu qu'il y en avait aussi deux ou trois , épars au bord du bureau , comme prêts à tomber et je les ai rassemblés ... une petite liasse d'une demi douzaine de feuilles ... Une fine chemise étant à demi ouverte sur le bureau, j'ai pensé qu'ils venaient de là ... mais pouvais je les placer sous la chemise ? ma première intention fut de les poser dessus avec quelque chose d'un peu lourd pour les maintenir en place ...même s'il n'y avait maintenant plus de vent .... ET JE VIS SUR PLUSIEURS DES FEUILLES RAMASSéES..... OU MON NOM - oui ! le vrai !! _ OU MON NUMERO MATRICULE !!! celui qu'on m'a tatoué sur la peau au printemps ( voir les articles de cette époque sur " tindick " ) celui qui a servi à m'appeler - l'usage voulant qu'on n'en reprenne que trois chiffres , comme à la villa - et utilisé par l'encadrement ... puisque je l'ai dit , au moins les " travailleurs forcés " ... nous ne sommes ici que des numéros !!!
Ainsi ces feuiles me concernaient !!! ....mon coeur se mit à battre plus fort !!..
j'en survolai rapidement le contenu , voulant découvrir un maximum de choses en un minimum de temps ... même s'il y avait peu de risques que je sois dérangé dans les minutes suivantes ...
Et ce que je lus me confirma dans l'impression , déjà maintes fois mentionnée , qu' IL ETAIT EN TRAIN DE SE PASSER DES CHOSES QU'ON NE ME REVELAIT PAS VRAIMENT, MAIS QUI POURTANT ALLAIENT PEUT ETRE - allaient sûrement ?!! je ne savais plus ! j'avais peur de savoir ! - BOULEVERSER IRREMEDIABLEMENT MA VIE D'ESCLAVE ...
J'avais peur de savoir ... mais je lus frénétiquement tout ce que je pus lire !... c'est ce sur quoi portera mon prochain article ( indépendement des quelques " PAGES " rédigées aussi ces jours ci )
C'est, aussi , ajouté à mon " interrogatoire " à suivre ... à MES interrogatoires suivants - puisqu'il y en eut d'autres ! - ce qui , chaque jour un peu plus , me fait redouter un avenir qui promet - comment en douter maintenant ? - d'être sans cesse plus sombre ...
Cette deuxième journée fut longue mais elle a quand même finit par s'achever ... J'ai pensé alors qu'au moins, deux jours s'était - péniblement- écoulés depuis mon arrivée et qu'il ne m'en restait plus que cinq à tirer ...
Qu'est ce qui était le pire ? cette question était devenue une sorte de leitmotiv ...
- Ces journées de travail , exténuantes, abrutissantes , épuisantes ?
- Ces visites exaspérantes de clients à la recherche de sensationnel ou de frissons pervers ?
- La bouffe écoeurante , les humiliations incessantes , les brimades permanantes ...
........ ou bien la perspective d'être , dès qu'elles arriveraient livré à la perverse et diabolique Teresa et à sa fille ? comment était sa fille ? aussi sadique que sa mère ? que me feraient subir ces deux Femmes ? pourquoi me voulaient elles à leur totale disposition une semaine ?
Ce sont les questions que je m'étais posé la veille de retour au dortoir , ce sont les mêmes qui m'assaillaient le lendemain au même endroit ...
Nous avons vingt minutes - pas une de plus -le soir au retour du chantier , pour nous reposer un peu , et nous préparer pour l'appel du soir ( mais je l'ai dit aucun des "travailleurs forcés " n'a droit à la cagoule protectrice d'anonymat et notre temps de préparation est donc nul )... ensuite c'est le diner puis une nouvelle période de repos , une demi-heure cette fois , avant le coucher ...
C'est dans l'une de ces brèves périodes que l'autorité de garde nous attribue l'autorisation de parler entre nous ...Ceux qui sont "signalés" par une Surveillante sont privés de cette demi-heure ( ou de ces vingt minutes ) de parole autorisée ... pour rendre effective la mesure , les punis sont regroupés dans la cour au pied du bâtiment dortoir ... ils restent à genoux, sur de petits gravillons blessants , à la vue de tous les passants potentiels pendant ces trente ou ces vingt minutes ... et le plus dur, le plus humiliant c'est bien sûr cette exposition...
Je le sais : j'y ai eu droit ce soir là ... j'ai, parait il " répondu " à une surveillante , Agathe , en cours d'après midi , alors que lorsque ces Dames et Demoiselles nous parlent, c'est généralement pour nous faire une remarque ou nous donner un ordre , et nous devons obtempérer sans "moufter"... j'ai peut être maugréé en effet ... ( la dynamique Agathe ne m'avait pas épargné le moins du monde lors de la visite collective que je viens de raconter et c'est vrai que j'avais un soupçon d'énervement à son égard , de là à lui "répondre" ? je ne le pense pas ... mais je n'ai évidemment rien contesté ... il n'empêche que la jolie garce en a profité pour me punir ...
J'ai donc passé les vingt minutes avant le repas exposé , nu , à genoux , entre deux compagnons d'infortune , puni comme moi ... exposé aux quolibets et aux crachats éventuels des passants ( oui! ils peuvent cracher sur nous et même nous donner des coups de pieds ! heureusement toutes et tous ne le savent pas , ou n'ont pas lu entièrement la brochure distribuée à l'entrée ) .
La petite peste asiatique que j'avais dû affronter le matin même , pour mon malheur passait par là ... et connaissait les possibilités ... Elle et son ami , nettement plus âgé , mais prêt à faire tout ce qu'elle voulait , à l'évidence , m'ont copieusement craché au visage et donné quelques coups de pieds non simulés !
Des passants riaient , dont le seul projet était sans doute, au départ, de voir le baraquement servant de dortoir aux plus mal lotis des esclaves ... certains , qui n'étaient pas nécessairement du groupe d'asiatique de ce matin , se sont enhardis et nous ont craché dessus , tiré les cheveux ... Mais heureusement, contrairement à ce qui se passa lors du passage de la jeune asiatique, le calme - relatif - est revenu après elle : les suivants ne " s'intéressèrent "pas qu'à moi ...
J'étais en train de rédiger ce qui précède .... d'écrire sur ( et de décrire ) ce qui m'est arrivé il y a déjà presque un mois en Catalogne ( alors que mon Maître et mon ex épouse étaient sur la Méditerranée en bateau et que j'aurai dû être avec eux !. )... Et voilà qu'Hannah est entrée nue, à l'exception d'un string, dans la pièce de la villa où je me réfugie désormais pour écrire ...ceci n'est donc qu'une parenthèse , je reprendrai le récit de mon épreuve " Teresesque " dès que possible , mais ceux qui sont curieux et veulent avoir des informations sur ce qui se passe chez mon ex aujourd'hui deux septembre et pas seulement comment s'est passé mon mois d'août perturbé, je leur suggère d'aller lire ce qui vient de se passer , dans la rubriques " Pages " dont je ne me suis servi qu'une fois jusqu'alors ... peut être n'est ce pas l'utilisation la plus judicieuse , mais je ne vois que ça pour pas multiplier des bonds dans le temps qui pourraient rendre un récit déjà de plus en plus perturbé , proprement incompréhensible . Avant de reprendre la lecture du cours de mes tourments ceux qui le veulent ont donc rendez vous dans la rubrique " pages" ici... cela les distraira un moment et leur permettra de mesurer le grand écart qui s'installe, en ce qui me concerne , entre ce qui m'arrive à la Base, et ce que je vis encore ( mais pour combien de temps ? ) Ici !
Le deuxième matin l'Amazone resposable de l'unité " travail forcé " appela Inès , pour savoir ce qu'on faisait de moi ... j'avais pu me lever une heure après les autres, qui étaient donc déjà sur le chantier ...
On ne réveille semble t il pas la fille du patron dès l'aube ...
Là , le temps de la toilette et du petit déj. bien moins appétissant que celui de la veille et il était huit heure et demie ... La belle n'était évidemment pas réveillée ... ou pas opérationnelle et c'est son secrétariat qui répondit en fonction des instructions qu'elle avait j'imagine donné la veille ... Le propos fut clair :
Toujours rien du côté de la bienfaitrice chilienne !
J'étais donc remis à la disposition du camp en qualité de "main-d'oeuvre servile et corvéable et au moins pour la journée " ...
Je fus donc conduit sur le chantier .
Je dus le gagner en courant, encadré par deux Surveillantes qui chevauchaient de belles motos et me stimulaient à coup de fouets ... Quand essouflé j'arrivai à destination, il y avait un groupe de visiteurs,
des asiatiques .... une douzaine de membres dont deux tiers de Femmes ...
Mon arrivée entre les motardes ne passa pas inaperçue ...
Ces deux là étaient des Amazones dont l'une , la rousse, assura la relève de celle de la veille ... ( il y a toujours au moins une Amazone, une responsable de rang supérieur par groupe de soumis ou d'esclaves )
Celle là s'appelle Katiochka ... Elle répondit avec bonne humeur aux questions du groupe , qu'Agathe traduisait ...
Agathe était d'ailleurs la seule "survivante" des groupes d'hier , peut être justement parce qu'elle parlait la langue asiatique employée ...
Je l'ai dit , mon arrivée tardive et bruyante et avec un tel encadrement fit de moi , bien involontairement " un personnage " qu'ils crurent digne d'intérêt ...
Photos , regards inquisiteurs ! J'eus droit à tout !
( Ici je dois rappeler que les photos, pour les esclaves de ma catégorie - je crois avoir déjà parlé de ça dans un précédent article - ne sont pas interdites ... En règle générale , au camp, c'est de la responsabilité et du bon vouloir des Maîtres ... celui qui veut préserver l'anonymat de son esclave lui fait porter la cagoule .. mais sur les " chantiers S.T.F " - Service du Travail Forcé - ... aucun anonymat n'est autorisé - on nous le serine dès le premier jour très explicitement ! L'amazone chargée de l'info ajoute généralement, dans un langage coloré, que nous n'avons" aucun droit sinon celui de trimer et de fermer ( nos )gueules" - les Maîtres qui permettent l'emploi de leurs esclaves par le S.T.F savent donc parfaitement à quoi s'en tenir et le font en toute connaissance de causes ...)
Ces photos , ces regards , ces questions me mirent un peu plus au supplice , mais c'était la règle cruelle en vigueur ... j'avais d'autant moins de chance que l'Amazone de service semblait beaucoup plus favorable à la présence de ces visiteurs que celle de la veille ... Ils étaient pourtant très excités !...
La veille une Surveillante ou une gardienne serait intervenue pour les faire accélérer , leur dire que leur présence à même le chantier et au milieu des esclaves pouvait être dangereuse ...ou tout simplement pour leur faire savoir assez rapidement que pour les questions c'était terminé ...
Là rien de tel ... Katiochka semblait ravie et coachait elle même le groupe, répondant aux questions avec des sourires entendus et un plaisir évident .
Une touriste d'une vingtaines d'années qui me regardait travailler sous tous les angles ( un coup de cravache d'une gardienne , qui les avait bien fait rire , m'avait confirmé son propos : je ne devais pas me servir de la présence de visiteurs pour ne rien faire ) finit par demander jusqu'à quel âge les esclaves travaillaient ainsi ... Elle reçut la réponse de l'Amazone par la voix d'Agathe " Il n'y a pas d'âge , si leur état de santé est à peu près satisfaisant ( sic )...la semaine d'avant il y eut deux esclaves de 71 et 73 ans ... au printemps un de 75 ... Lui , de toute façon c'est l'esclave personnel du patron " alors ! ...Décidément la jolie jeunette insolente semblait me trouver très vieux .
Elle insista : " Quel âge a t il ? "... sembla étonnée de la réponse et demanda la permission pour une photo avec moi ... on dut me permettre d'arrêter le travail un instant ... elle voulait quelque chose de précis .
On m'expliqua que je devais me mettre à genoux devant elle , elle mit un pied sur une grosse pierre du chantier pour se hausser et pouvoir poser l'autre sur mon épaule ... dans une attitude de triomphe elle leva le menton et mit son bras en angle droit en signe de victoire !
Cela fit rire !
Mes compagnons de galère avaient évidemment beaucoup trop de distractions pour travailler efficacement , les coups de cravaches volèrent donc ...excitant encore davantage la petite troupe visiteuse !
La position de la petite peste - et la mienne à ses pieds - me permirent , en contre-plongée, d'admirer sous sa courte jupe malmenée , sa jolie culotte rose d'où des paquets de longs poils raides et noirs jaillissaient de tous côtés ... C'est son petit ami qui prit les photos ( car bien sûr elle en voulut plusieurs ! Une surveillante finit quand même par lui expliquer qu'il serait bon d'arrêter ... elle et son copain se dirigèrent en riant vers une autre partie du chantier ... mais moi je n'étais pas au bout de mes peines ( je veux dire avec ce groupe ... pour le reste bien sûr ...)
On aura peut être remarqué que l'Amazone eut la "malencontreuse"
idée - mais sans doute intentionnelle - de préciser que j'étais " l'esclave personnel du patron " ...je ne fus donc pas " débarrassé " quand la jeune insolente s'éloigna ...
Une quadra voulut une photo avec moi à genoux entre elle et une autre jeune Femme dont elle semblait très proche ... c'est une Surveillante qui nous prit ... et naturellement les questions redoublèrent ...
Puis l'Amazone, qui depuis un moment semblait prendre beaucoup moins de plaisir , finit par indiquer que la visite devait s'achever , entrainant un long murmure de déception dans le groupe ... mais le reflux commença .... le calme finit par revenir .
Et la joyeuse troupe partie , il fallut quelques coups de fouet et de cravache biens sentis , que nos Surveillantes et gardiennes distribuèrent généreusement, pour rétablir l'atmospère laborieuse qui sied à l'endroit....
Il y eut d'autres visites dans la journée, plusieurs couples mixtes , homos ... Deux autres groupes ... mais aucun nouveau débordemment !
J'ai donc travaillé comme un FORçAT du début du siècle dernier au bagne ( je vous promets que le mot n'est pas trop fort) et ce PENDANT ...DEUX JOURS !!!
Nous étions une trentaine d'hommes totalement nus , quadra ... quinqua... une poignée de sexagénaires , comme moi . Nus vraiment , tous ! c'est à dire sans nos CB et rasés ou épilés de frais ...
Pour la nudité , je pense qu'entourés , cernés , épiés toute la sainte journée par une dizaine de surveillantes /gardiennes, il n'y avait pas à craindre de branlettes intempestives ...
Surveillantes ? Gardiennes ?
Les secondes sont en uniforme , comme celles qui sont venus me chercher dans l'appartement d'Ines ... On dirait des " kapo " ... je ne saisis pas encore parfaitement ce qui les distingue, je veux dire statutairement des premières , pour le reste c'est simple ! on passe de l'uniforme à ... presque rien :
Aux pieds des Surveillantes bottes , bottines ou sandales tenant à l'aide de longues lanières de cuir qui montent jusqu'au sommet du mollet .
Sur la partie la plus charnue de leur anatomie des shorts, ou bien des jupettes, genre tennis... dans les deux cas généralement très courts ... sous les jupes presque la moitié sont sans culotte ...
Au dessus de la ceinture , c'est la que la variété l'emporte : certaines sont topless, d'autres uniquement parées d'un soutien-gorge assorti au reste, d'autre d'un top très court qui naturellement découvre leur nombril presque toujours orné d'un bijou.... une ou deux porte un chemisier ...
Quelques unes portent des casquettes très modes , quelques autres des casquettes d'uniforme, comme les Gardiennes , mais de leur propre initiative ...
Je n'ai pas fait semblant de travailler , je peux vous l'assurer ( d'ailleurs quand par deux fois j'ai baissé un peu de rythme, le premier jour, une Surveillante - Agathe - m'a cravaché cruellement ... la deuxième fois elle s'est contenté de me montrer du doigt à une Gardienne proche de moi et c'est cette dernière qui m'a donné trois coup de cravache ... en hurlant je ne sais quoi dans une langue inconnue )... mais j'ai eu, aussi parce que c'est dans ma nature, la possibilité d'observer ....
Certaines Gardiennes sont très belles , plus que certaines Surveillantes ... dont quelques unes sont assez ordinaires ( je ne dis pas laide : pour moi une Femme n'est quasiment jamais laide , ... vous l'aviez peut être déjà perçu )...
Certaines sont plus cultivées, ont plus de distinction naturelle, parlent mieux ... mais là encore ça traverse les catégories ... l'âge n'est pas en cause non plus , même si les Surveillantes qui n'ont guère plus de vingt ans sont particulièrement nombreuses ( mais j'ai eu affaire le deuxième jour à l'une d'elle qui avait bien la quarantaine )... chez les Gardiennes la moyenne d'âge est sans doute légèrement supérieure à trente ans ... mais celle qui m'a fait sortir du rang le deuxième jour pour me fouetter ( j'avais cassé deux carreaux de verrière en les transportant ) avait entre dix huit et vingt ans , tout au plus....
J'ai aussi pu observer les organes génitaux de mes semblables :
Jamais je n'avais vu, d'aussi près autant de sexes masculins inutiles réunis ... Lors d'un séjour à OWK peut être , il y a quelques années , je me suis trouvé entourés d'autant d'esclaves qu'ici ... poney-boy... etc... mais beaucoup portaient une CB....
Plus jeune, dans des soirées échangistes ... mais je ne peux parler alors de sexes "inutiles" ou anormaux ...
Là j'ai pu mesurer combien, les sexes qu'on affuble presqu'en permanence et pendant de longues années de Chastity Belt finissent par être rabougris, rétrécis , escamotés ... même chez de bien plus jeunes que moi ... Les modestes mensurations initiales ne sont certes pas négligeables , s'il s'agit d'expliquer ce procesus , mais les verges les plus pitoyables sont souvent celles d'esclaves durablement encagés !!...
J'ai mené ma petite enquête là-dessus pendant ces deux jours ... Discrètement, car nous ne pouvons parler entre nous dans la journée qu'une demi-heure , le soir avant le coucher et ce qu'on appelle " l'extinction des feux " et au moment des " repas " ( le midi, servis en plein cagnard , à même le chantier , sur des pierres et des madriers , une soupe infecte , sans doute élaborée à partir des restes de la veille des clients résidents : du gras de jambon , des croutes de fromage , des fanes de radis , de la salade cuite , du pain rassis et j'en passe ) ... et bien chaque fois cela s'est confirmé : les verges les plus ridicules, diminuées atrophiées, sont celles d'esclaves les plus sévèrement et durablement "appareillés" ... Nous sommes aussi ceux dont le bas ventre porte clairement les traces des parties saillantes de la cage ( cela aura facilité ma petite enquête informelle : je n'interrogeais pas vraiment au hasard ) ... ceux encore qui n'ont plus jamais eu , et depuis longtemps, évidemment , la possibilité de pénétrer un sexe féminin ...
Je ne l'avais pas encore dit je crois : nous travaillons , nous les esclaves, sur un chantier de consruction d'un petit parc de chalets et pavillons destinés à de nouveaux clients, la fréquentation de l'établissement ne cessant d'augmenter ... (Ce qui est très bon, évidemment pour les affaires de mon Maître et celles de Teresa , qu'il bichonne et qu'on ne saurait contrarier !... c'est pour ça que je suis là ! )
Je me suis rendu compte , après ma première journée de travail forcé , que nous qui travaillons sur ce chantier avions les conditions de vie les plus difficiles et mortifantes ...
Un exemple évident : la nourriture ... en particulier le midi : vous le savez , j'ai déjà séjourné ici et si la bouffe a toujours été " limite " cela n'avait jamais été à ce point !
L'appel aussi nous distingue : Nous restons entre nous totalement nus ... comme la nuit dans le baraquement ( mais la lumière reste allumé et de nombreuses caméras
" balayent "l'espace en permanence) .... aux chiottes ? caméras aussi et ... pas de porte !
dans les douches ? même chose !
Il faudrait être insensé pour oser se masturber dans ces conditions et personne ne le fait ... Vers la fin de ma première nuit un type a peut être essayé, ou la Gardienne de nuit , a cru voir sur l'écran qu'il essayait , à plat ventre en essayant d'onduler imperceptiblement du bassin ...
Qu'il l'ait voulu ou qu'elle l'ait seulement cru ... le résultat est le même ...
Esclave, vous ne pouvez pas tenter d' argumenter . Pas dire quoi que ce soit qui aille à l'encontre d'une affirmation de Femme , quel que soit son statut... Lui le savait bien , il n'a même pas essayé ... La gardienne a hurlé en le désignant par son numéro ...
( il est gravé sur nos colliers de chien ... " tu vois bien que vous n'êtes pas tout nus ! " a ricané Madeline quand je lui ai parlé de ce collier avant hier à la villa )...
En tous cas ça nous a évidemment tous réveillés ... les gros projecteurs ont éclaboussé le dortoir d'une lumière blafarde qui nous donnaient des gueules de malades - mais est on vraiment en bonne santé !! -
" 73 " , c'est son numéro, a glissé hors de sa paillasse avant qu'une Gardienne n'arrive devant notre travée de lits , et m'a dit sans trop articuler et en mettant rapidement sa main devant ses lèvres comme on fait quand on a peur d'être surpris
( car dès l' " extinction des feux "- ce n'est qu'une expression bien sûr, les lumières restant allumées je l'ai dit - nous avons interdiction TOTALE d'échanger le moindre mot)
Il m'a dit " j'ai rien fait tu t'en doute mais je vais morfler c'est sûr ! "
Autre chose que je trouve très humiliant et très éprouvant : Sur le chantier , dans la journée , nous avons de nombreuses visites :
Des couples mixtes , les deux Dominants ... ou seulement la Femme et qui viennent comme au spectacle , voir les nouveaux forçats !
Ils peuvent pénétrer pratiquement jusqu'au coeur du chantier , parmi nous , à condition d'être accompagnés par une Surveillante ( car ils ne peuvent, s'ils le souhaitent , nous poser quelques questions , donc "nous distraire de notre tâche" qu'en passant par notre encadrement habituel )
Pour ma part je n'ai pas eu de questions , mais en passant devant moi, une jeune Femme aux fraiches senteurs de chez JP Gaultier , dont le soumis portait l'ombrelle qui la protégeait du soleil à son zénith, a dit , à son intention , hautaine , en me toisant :
- " Tu vois chéri ! il est guère plus âgé que toi ! Tu veux finir comme ça ? C'est ce que je te réserve si tu n'es pas pus obéissant et dévoué ... Tu le sais ! "
Le chéri en question ( son mari ou son conjoint soumis ?) s'est jeté à genoux , tenant l'ombrelle à bout de bras pour ne pas heurter sa tête et la décoiffer :
- " Non Maîtresse ! Je t'en prie ! je ne discuterai plus jamais tes ordres ! mais je ne veux pas finir ici ! "
" Maîtresse " a ri ... et la Surveillante l'a imitée :
- " Vous savez nous n'avons pas de condamnés ici , pas d'esclaves qui resteraient pour de très longues durées ... c'est ce que semble croire vôtre soumis et ..."
- " Oui je sais ! mais même pour quelques jours ou quelques semaines , mon petit mari a très peur que nous l'envoyions chez vous ... c'est mon amant qui a découvert l'existence de votre Centre remarquable et j'ai exigé de mon mari qu'il nous offre ce séjour ... afin de mesurer ce qui l'attendait si mon amant et moi nous décidions .... ça lui donne à réfléchir , croyez moi !...
- " Oui j'imagine ! On reçoit beaucoup de courrier ici ! ... pour nous remercier ! Beaucoup insistent sur l'effet produit sur les maris et conjoints ...."
La suite ? elle m'a échappé , car le trio, après que le mari se soit relevé a continué son " instructive visite " et je n'ai pas pu suivre davantage la conversation ... et puis comme forcément cela nous avait distrait , des Gardiennes sont intervenues pour distribuer quelques coups au passage, et au hasard , fustigeant " notre paresse " ( sic) .
Un peu plus tard c'est un couple de jeunes et jolies lesbiennes qui est arrivé . Elles étaient accompagnées d'une Soumise , trentenaire , très sexy et totalement nue comme nous qui tenait l'ombrelle pour ses Maîtresses ... Elles ont posé pas mal de questions ... mais trop loin de moi pour que j'entende ...
Une question - ou sa réponse - a provoqué pas mal de rires . Rapidement une des deux jeunes Maîtresses, comme incommodée , a sorti un mouchoir pour le mettre sous son nez, elles s'était rapprochées du coeur du chantier où j'étais ....
La soumise a dit timidement , la voix tremblante , mais avec détermination
- " On s'en va ! ...S'il vous plait ! "
Celle des Maîtresses qui ne se protégeait pas le visage a précisé à l'intention de la Surveillante ...
- " Les sexes d'hommes lui répugnent et il y en a tant ici !"
- " Oui ! bien sûr ! mais parler d'hommes est un peu exagéré non ! Vous pensez que de telles verges peuvent impressionner ? ... Ahhahah ! ".... Rire contagieux ... rires blessants !
- " Non ! ...mais leur nombre à quand même un je ne sais quoi ... de préoccupant voyez ... c'est difficile à expliquer " a dit l'autre jeune Femme en écartant un instant le tissu de son visage .
- " Et puis faut savoir que ça sent le fauve ! " a gloussé en regardant les autres , fière de sa réplique , celle qui n'avait pas protégé son visage
- " On s'en va ?! "...... a gémi la Soumise si charnelle , aux superbes rondeurs !
- " Allez ! Tu as raison ! On y va ! On a assez vu d'horreurs et de monstres pour aujourd'hui ! "
Celle qui trouvait qu'on sentait le fauve , déçue par l'effet produit par sa remarque avait tenté un dernier trait " d'humour " ... il fit sourire sa Compagne et la Surveillante ... cette dernière poliment ! Le plus beau sourire qu'elle récolta fut en fait celui de l'excitante Soumise vers laquelle nombre d'entre nous ne pouvaient s'empècher de tourner les regards ....
- " Oh oui ! On y va ! " Là les rires des autres furent spontanés ... La dernière image que je garde de ce charmant trio me vient des fesses très généreuses de celle qui était si pressée de partir ... Je ne crois pas être le seul dans ce cas ...
Quelques coups de fouets , toujours distribués au hasard nous recentrèrent sur notre pénible travail ... L'expression " donner un coup de fouet " quand on est apathique ou anémié viendrait elle de quelque chose comme ça ?
Quand est arrivée la voiture de Luna , nouvelle surprise : à ses côtés ce n'était pas Al1 qu'elle venait d'épouser, mais Ines, belle-fille de Maître Rafael je le rappelle ...
Boris ( Al1 ) pourtant était bien là ! mais allongé à l'arrière entre les deux rangées de sièges .
Je m'étais agenouillé sur le gravier - comme j'en avais reçu l'ordre de mon Maître avant son départ - lorsque la BMW avait franchi la grille, et j' ai bien sûr salué respectueusement les trois arrivants , mais aucun ne m'a répondu .
Le soumis quitta sa place , sans trop de regrets je pense , pour me la laisser , et prit celle occupée par Ines, à l'avant, auprès de sa Femme , l'espagnole préfèrant être derrière Luna ( avec laquelle elle papota tout le reste du voyage )...
L'intérêt principal pour elle fut de m'avoir sous elle et d'avoir ses pieds sur mon visage... J'ai passé les trois quarts du trajet à lécher sa plante des pieds pas très propre ( non qu'Inès soit sale , mais dès qu'elle le peut elle marche pieds nus, n'importe où )... à sucer un à un , encore et encore tous ses orteils comme s'ils s'agissait de petites bites ...
Ensuite , elle me fit rincer ma bouche avec une lotion bien " décapante " et j'ai passé la quasi-totalité du temps restant à lui faire minette et d'avantage ... ce dont je ne me plaindrais jamais : J'adore les odeurs intimes d'Ines ! Je ne les avais pas savouré depuis bien longtemps ... Son anus , dont l'arome et les fragrances naturellement épicées m'ont toujours donné la chair de poule sentait cette fois , sans doute possible, le sperme ... elle avait joui par son petit trou bien peu de temps avant de prendre la route ! c'était certain .
Ines, à la base de loisirs représente son beau-père ... Lors de mon précédent séjour , je n'avais pas trop eu affaire à elle , mais je savais qu'elle incarnait l'autorité , du fait de sa filiation, et plus encore évidemment de son intérêt indubitable pour la Domination et le fétichisme sous toutes ses formes ...
Quand nous sommes arrivés à la base , il n'y avait encore aucune des deux femmes à cause desquelles j'étais là ... C'est alors que j'ai su que Luna et Boris , les jeunes mariés allaient séjourner là , dans un bungalow , une dizaine de jours , car Ines , qui connait bien sûr le Centre comme sa poche les a installé ...
En attendant l'hypothétique arrivée de la chilienne et de sa fille , ils ont bu un pot tous les trois , que je leur ai servi, de nouveau vêtu de ma seule CB, c'est à dire de nouveau nu... ( ça m'a fait tout drôle d'ailleurs de reporter des vêtements à l'occasion de ce voyage ! sans insister là dessus , c'était la première fois depuis bien longtemps que je quittais la villa et que j'avais besoin d'habits... oh ! si peu à vrai dire ! c'est l'avantage de l'été : un vieux short informe en toile de jute grisâtre, un tee-shirt trop grand et mité d'un rose très pâle , aux pieds des claquettes dans une autre variété de rose !! ) Le réfrigérateur de la chambre était bien approvisionné ... et j'ai servi un deuxième pot , puis un troisième ... avant de faire un cunni à Luna , qui elle aussi avait fait l'amour - avec son Boris sans doute - avant de partir, sans passer à la douche ensuite ... Moi qui adore les senteurs féminines d'urine et de cyprine sans mélange extérieur d'origine mâle , ce n'était pas mon jour ! ... mais lècher les trésors savoureux de Luna , toujours très humides étant un plaisir rare je me suis appliqué comme toujours ... J'ai de nouveau fait la même chose entre les cuisses d'Inès avec un plaisir renouvelé ( je sais bien que ce n'est pas le but , mais toutes mes obligations ne me donnant pas autant de plaisir ... loin de là ! je me plais à le souligner ... d'autant que la suite fut moins agréable pour moi ...)
La suite ? une fellation prodigué au " jeune marié " ... Il a fait durer le plaisir ... Son odeur gardait le souvenir agressif d'un passage récent dans le rectum de sa Femme ... sur la fin il m'a pris par les oreilles pour imprimer un mouvement plus rapide et rythmé à ma tête et se branler dans ma bouche ... Il a giclé deux fois au fon de ma gorge et pendant que j'avalais , il m'a aspergé le visage et le crâne de son sperme très grumeleux ..
Mes cheveux qui ont quand même repoussé depuis ma dernière tonte ( même si je trouve que c'est désespérement long ! ) étaient couverts de foutre !
Luna a dit :
-" Tu devrais être content esclave ! .. il parait que la semence masculine , quand elle est de qualité , facilite la pousse des cheveux ! "..... mais la " réponse " d'Ines m'a replongé dans la détresse ... alors que leur absence, sans le moindre signe jusqu'alors m'avait fait oublier brièvement les deux Femmes dont la détestable insistance m'avait éloigné de mon ex Epouse :
- " Oui ! Oh !! ça n'a pas d'importance ! je pense que Teresa à l'intention de le retondre !
Plus de huit heures après notre arrivée , Teresa et sa fille n'ayant pas donné le moindre signe de vie ... Inès qui avait mangé au restaurant du Centre avec Luna et Al1, servi par des esclaves ( moi j'ai reçu leurs miettes, restes et déchets accroupi sous la table , ou à genoux devant eux , puis j'ai sucé et léché une dernière fois , toujours sous la table , les jeunes mariés ...) puis qui est allée danser et boire dans une des deux discothèques de la Base : celle qui accueillait des esclaves sexuels en petit nombre pour les Amazones , Aspirantes ou Maîtresses solitaires et en manque ...Ines m'a emmené dans l'aile du petit chateau qui trône au milieu du complexe ... c'est là qu'elle vit lorsqu'elle séjourne ici.
Je n'y étais pas venu lors de mon précédent séjour , mais je savais par la rumeur que cette partie de la résidence était très luxueuse...
Ce n'était pas une légende ! L'esclave sexuel qu'elle avait choisi pour la nuit dans le club, ouvrait lui aussi de grands yeux bleus étonnés , et admiratifs devant tant de belles choses : des tableaux , des tapisseries , des tentures , des salles de bains avec des baignoires bien plus proches de la taille d'une petite piscine que de la baignoire-sabot ! des sanitaires magnifiques , étincelants , de grands miroirs partout !!!
L'esclave était brun, le cheveu très court ... cela m'a étonné car j'avais toujours vu Ines , lorsqu'elle était avec un homme ( car elle est aussi très bisexuelle ) accompagnée d' athlétiques grands blonds, frisés le plus souvent et presque aussi jeunes qu'elle ... mais je crois que celui là elle l'avait élu pour son sexe épais, d'une longueur enviable mais surtout très vigoureux ( il n'avait pratiquement pas débandé, ni même simplement ramolli pendant tout le temps qu'il passa avec nous dans la discothèque ) ... Pour le reste il était bien jeune , comme elle , 22ans ...
En dansant avec lui , elle lui avait demandé son âge et s'il était bisexuel et il avait répondu oui ... j'avais entendu car il dansèrent presque toujours à deux pas de la table basse à laquelle était fixée ma courte laisse qui ne m'autorisait que la station accroupie , quand elle ne m'ordonnait pas de rester à genoux ...
Le beau gosse aux érections insolentes me regardait , depuis le début avec un mélange d'ironie et de pitié ... en dansant , ils avaient pas mal bu ... moi j'étais privé et de nourriture et de boisson depuis mon départ de la villa ... je souffrais surtout de la soif , mais chaque fois que j'avais demandé , au restaurant comme en boite ... et comme en arrivant chez elle, la réponse avait été la même : " plus tard ! tu ne vas quand même pas nous déranger pour ça ! "
Chez elle , lorsque j'ai demandé de nouveau elle a pris son plus beau sourire de garce qui
la rend encore plus belle :
- " Décidemment , c'est obsessionnel chez toi ... tiens Brandon ! ( c'était le prénom de l'esclave ) avec tout ce que tu as bu ces dernières heures tu dois bien avoir envie d'un gros pissou ... urine dans sa bouche ! Fais lui plaisir puisqu'il a soif !
Brandon a eu un sourire cruel semblable à celui de l'espagnole et a pointé son gland violacé vers mes lèvres, puis il a vidé sa vessie , en effet bien pleine, dans ma bouche ...
J'ai fait de gros efforts pour que le carrelage de la pièce n'en souffre pas et je m'en suis pas mal sorti ... je maîtrise pas mal... il faut dire que ces derniers mois , ma bouche a beaucoup servi à cela ... de la part des Femmes plus encore que des hommes .... puisqu'elles sont bien plus nombreuses à la villa, mais c'est la même " technique " de base ... pour moi s'entend ! ...
Ensuite je les ai ... mis "en condition" , selon la formule d'Ines ... comme s'ils avait besoin de ça ! ... c'est à dire que je les ai léchés , sucés , reléchés recto et verso ... lui était très poilu de partout et particulièrement sur le pubis puis entre et sur les fesses , sa raie sentait très fort et son anus était - déja ! .. à 22 ans ! - ravagé comme un champ bombardé ... comme un cratère épuisé , miné ... ... c'était le seul endroit de son corps où sa beauté était démentie ... mais Ines n'en avait que faire !
A son tour , accroupie au-dessus de mon visage ( j'étais allongé sur le dos ) elle a pissé sur moi, et dans ma bouche grande ouverte ... aussi longuement que l'esclave sexuel peu avant ...
J'avais certes ingurgité du liquide ... beaucoup de liquide ! mais très salées, leurs urines m'avaient donné encore plus soif .... Quand elle estima que j'avais bien contribué à les exciter et que je ne leur servirai plus à grand chose , elle songea d'abord à me remettre entre les mains d'une Amazone ( j'aurais donc passé la nuit dans un de ces bâtiments de bois servant de dortoir aux esclave " du tout venant " ... mais elle a aperçu la très étroite et basse cage métallique arrondie suspendue au plafond au bout de son lit ...
Sur son ordre Brandon l'a baissé ...
Ines m'a alors autorisé à faire mes besoins dans la seule partie du beau bâtiment non restauré et je fus accompagné, sur son ordre , par l'esclave sexuel dont la présence indiscrète m'a encore terriblement humilié (je dus faire mes besoins sous son regard méprisant et railleur : ces quelques box n'ont pas de porte ) mais j'avais tellement eu peur d'être encagé sans pouvoir me soulager qu'au fond , cela ne me parut pas trop pénible ...
C'est l'esclave qu'elle avait appelé entre temps pour les toiletter et servir après l'amour ... rôle que j'avais espéré tenir ... qui me fit entrer dans la cage , dans laquelle je tenais à peine accroupi ... Il ferma la porte arrondie , constitué des mêmes barreaux que le reste de la cage et alla poser la clé sur la table de nuit de notre Maîtresse ...
Puis , sur son ordre , et aidé par Brandon, au moyen d'une corde ,il leva la cage accrochée à une petite poulie , au plus près du plafond !
C'est là que j'ai passé cette nuit , dans la pire des positions pour trouver le sommeil ... surtout avec les cris et gémissements de la belle ( Ines jouit très bruyamment ) mais aussi de son amant du moment ( qui ne fait pas non plus dans la sobriété ) ... Au passage j'enviais le gus , appelé de dernière minute, qui lapa dans et sur les temples de l'espagnole ,ses sécrétions et celles de l'autre esclave , servi lui par ses mensurations !!!
Au matin ,c'est l'esclave lapeur et suceur qui leur prépara le petit déjeuner , le leur apporta ... j'étais toujours suspendu , toujours aussi ridicule ... je n'avais trouvé le sommeil que tôt le matin ... Après son déjeuner Ines téléphona pour savoir si on avait des nouvelles des deux Femmes pour lesquelles j'étais là ...
Toujours rien fut en gros la réponse du service chargé de gerer les entrées ... alors Ines fit un autre numéro : celui du Service du Travail Forcé ( S.T.F ) et j'entendis :
- "Allo ! c'est Ines K... Directrice des Ressources et de l'Approvisionnement Servile ( le R.A.S selon le sigle employé ici ) ... j'ai ici un esclave réquisitionné à la demande de nos actionnaires Teresa et Séverine S , qu'on attend, mais qui ne sont pas encore là ... Il faudra venir chercher cet esclave dans mon appartement d'ici une trentaine de minutes ... Faites le travailler comme les autres tant que nos Dames ne sont pas là ... quelqu'un vous préviendra si elles arrivent en cours de journée ... il faudra alors le conduire au service Hygiène et Santé pour le préparer avant de le leur livrer ... si elles n'arrivent pas avant ce soir, ou demain ... il couchera dans le dortoir le plus proche de la Clinique- Résidence ... Aucun traitement de faveur , s'il vous plait ... Donnez lui simplement un peu plus à manger et à boire ... il ne s'est pas alimenté depuis hier midi ..."
Elle racrocha , demanda à son heureux amant et à l'autre esclave de descendre la cage , dont je sortis difficilement ... On m'emmena à la douche et quand je revins ce fut pour accompagner Ines aux toilettes pour sa grosse commission ...
La chose faite, ma langue officia sans difficulté particulière entre ses fesses écartées
elle demanda ensuite à l'esclave arrivé auprès des amants dans la nuit de m'apporter " quelque chose à manger rapidement avant qu'on vienne (me) chercher " ce dont je n'ai pas manqué de la remercier avec diligence , sans réaction de sa part ...
Puis elle disparut avec Brandon dans une autre partie de l'appartement sans plus faire attention à moi et j'eus juste le temps d'engloutir les tartines et le café ( mal fait ... mais je l'ai savouré ) apporté par l'esclave ...
Quand les deux gardiennes en uniforme sont arrivées j'ai su qu'une nouvelle éprouvante journée commençait ... mais je me disais , bêtement , que ça ferait une journée de moins avec celle qui me faisait si peur !!
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