asserviparmonex

J'avais attendu celle PAR et POUR qui j'étais arrivé là près de trois jours plus tôt  ... Je l'avais ATTENDUE ...et tellement REDOUTEE !

J'avais pendant ces journées d'attente vécu des choses terribles , et pourtant à l'approche de l'heure de ces retrouvailles , c'est elle, cette heure déjà vécue et revécue dans ma tête jusqu'à l'obsession ! ...oui  c'est elle dont j'avais peur , elle qui me hantait !!

Tout le reste , que j'ai raconté ici ,parfois avec force détails,  et pas à mon avantage ...

Oui ! tout le reste fut oublié avant même  de me trouver face à elle !

Et je pourrais dire une multitude de choses sur l'heure qui a suivi son arrivée, des choses parfois contradictoires ...

Mais une chose que je ne pourrai pas dire c'est que cette entrée en matière aura été plus douce, moins difficile à vivre que je ne l'avais redouté !!

Oh ça non !!!

Elle est arrivée comme une personnalité  ( je n'avais vu ça qu'une fois jusqu'alors au Centre : l'arrivée d'une "grosse fortune" étasunienne vers la fin de mon premier séjour )

Sa grosse voiture avec chauffeur a pris , pour gagner le quartier du chalet qui lui était maintenant réservé , l'avenue principale  du secteur administratif  ... Entre cette avenue et son chalet , la Place d'Appel  au milieu de laquelle j'étais nu , à genoux dans l'attente depuis plus d'une heure  !

La présence de deux autres esclaves , arrivés après moi, mais exhibés de la même façon au milieu de la place, m'avait tout d'abord vaguement rassuré :

 En attendant l'arrivée de Doña Teresa, qui serait encore en retard,  je n'étais pas le seul pôle d'attraction des passants et curieux qui déambulaient sur cette place stratégique à n'importe qu'elle heure de la journée...

...et pourtant quand la luxueuse voiture noire arriva sur la place , c'est vers moi  qu'au ralenti elle se dirigea sans hésiter ... c'est là que je compris que ce ne pouvait être qu'elle !  

Elle s'approcha encore , jusqu'à presque me frôler , puis s'immobilisa :

Une vitre  du compartiment arrière descendit doucement et je vis son visage  rond ... jovial ... elle se pencha , elle était à un mètre de moi tout au plus ... Parallèlement, je ne sais pourquoi, je fus sensible à " l'explosivité"  d' un esclave nu sortant  en courant  du Pavillon  de la Sécurité Intérieure  et se projetant vers nous :

- " Hahaha ! p'tit homme ! comme tu es drôle ! Si fragile, exposé  sur cette grande place ! Tu as encore fait de grosses bétises sans doute pour être exposé  ainsi  en compagnie de ces deux garnements  !! Je vais savoir tout ça bientôt je suppose  ! .....Et si c'est le cas , j'imagine que tu ne comptes pas m'apitoyer ... tu sais comment je suis maintenant !  Juste ! mais  sévère ! "

Elle ne riait plus ! Elle me fusillait d'un regard noir  qui m'arracha des frissons !  Rien à voir pourtant  avec la fraîcheur qui s'installait sur la place en fin d'après midi , quand il y avait du vent comme aujourd'hui  et  que le soleil disparaissait  derrière des bâtiments !

L'esclave  sprinteur  arriva  à bout de souffle devant la vitre ouverte et me permit d'échapper un bref instant à ce regard terrible ... Il fit mille courbettes obséquieuses devant la Dame et lui tendit un papier , puis s'écarta légèrement .... 

Doña Teresa lut à haute voix , s'arrêtant  .... et  levant  vers moi  son  regard à plusieurs reprises, pour  m'en menacer de nouveau :

 " Madame ! Soyez la bienvenue chez vous ... L'esclave que vous avez réclamé est à votre disposition .......... cependant  si  vous le trouvez exposé sur cette place d'infamie ........... et non dans vos appartements comme vous l'aviez suggéré , c'est qu'il a commis plusieurs fautes répréhensibles .........  au cours des dernières heures .

Dame Clara ainsi que   Paula  jeune et brillante Panthère Verte formée chez nous  souhaiteraient que vous les receviez , ne serait ce que brièvement si votre temps est compté... Dame Clara voudrait envisager avec vous le châtiment qu'il mérite..................... et la jeune Paula voudrait  vous faire part d'un  fait récent qui le concerne "  

Suivait une formule de politesse  très classique .

La chilienne regarda moins sévèrement l'esclave messager :

- " Tu transmettras  à Clara et Paula mes compliments pour leur implication dans la vie de  notre beau Centre ... c'est sans doute grâce à de  jeunes Femmes comme elles , compétentes et déterminées  que notre entreprise est devenue si dynamique et efficace ... Je le leur dirai moi même quand je les verrai d'ailleurs .... A ce propos , mon temps n'est sûrement pas compté quand il s'agit de recevoir quelqu'un qui me suggère d'infliger un châtiment , sans doute mérité  à mon  esclave .............. elle me fixa durement .......un temps qui me parut très long ou quelqu'un qui veut m'informer   d'un fait récent le concernant .... Je les recevrai donc ..... disons dans deux  heures ..... nous prendrons l'apéritif  ensemble . Si l'horaire présente un inconvénient pour elles , un coup de téléphone permettra d'arranger ça ! "

elle donna au messager deux cartes de visite , pour ses invitées ...

- " Allez ! va !! Tu demanderas à la Gardienne de service d'envoyer un de tes semblables ... ou toi même d'ailleurs , pour m'amener  " centsept "   disons dans l'heure qui vient ... un peu plus d'exposition aux quolibets , sarcasmes , insultes ou crachats au milieu de cette place  lui apprendra peut être à se conduire correctement ... je déteste arriver quelque part .... et particulièrement ici ................... (elle me fixa encore durement ) et  entendre aussitôt que mon esclave s'est mal comporté ..."

Le messager partit  remplir la suite de sa mission , après s'être prosterné devant la portière de la voiture .... Doña Teresa avait employé deux fois l'expression " MON esclave " et l'heure supplémentaire d'exhibition sur cette place, après que la voiture fût reparti, sans un mot de plus de "ma " Maîtresse  fut une nouvelle torture .

Ma nuit , collé contre le cul charnu, solide et gazeux de Saskhia la Gardienne fut courte ... mais sans doute la plus agréable de mes nuits au Centre , tous séjours confondus !...

Je l'ai dit, les Panthères Vertes, la veille, m'avaient infligé un milking, et si j'avais mal vécu ce qui avait rendu si fière ma jeune tourmenteuse , je compris très vite que c'était mon  ridicule épanchement  d'un liquide séminal dès plus aqueux , sous les rires d'une troupe de jeunes  Panthères  sans pitié , qui me permettait  d'avoir le pubis rivé au gros joufflu d'une Dominatrice alanguie sans éjaculer dans la minute .

Nuit délicieuse donc , mais courte ...

J'étais bien sûr affecté  à l'entretien des lieux d'aisance  d'un périmètre délimité, à l'intérieur du vaste camp,  ce qui supposait de ne pas trainer au lit, mais le lever de la Gardienne ne pouvait être plus tardif, au contraire : la relève des Gardiennes de nuit se faisait  entre 7h 30 et 8h .... 

Comme elle avait prémédité  une bonne petite séance de cunnilingus et de rimming  avec moi , elle avait programmé le radio réveil . 

Elle n'avait pas pris de douche depuis un bon moment ( en tous cas rien depuis qu'elle m'avait pris en charge dans le bureau de l'Amazone-Inspectrice ) et comme elle s'était beaucoup " dépensée ", avait aussi beaucoup " reçu " , elle sentait de plus en plus fort et de partout .... mais aucune de ces senteurs excessives ne m'écoeura vraiment et je pris encore du plaisir à la faire jouir deux fois avec ma langue ... une fois par orifice ...

Ensuite je préparai son petit déj et toute contente de ce réveil ... et de moi ... elle me permit de manger en même temps qu'elle , et à sa table .

Je me suis bien sûr jeté sur la nourriture et ...ça l'a fait rire !

- " On dirait que tu n'a pas mangé pendant plusieurs jours !! 

- " C'est un peu ça Maîtresse !"

- " La bouffe des esclaves est si mauvaise ? ... Ah ! c'est vrai que toi tu étais au " Travail Forcé " !

- " Oui ! mais il y a aussi qu'hier soir je n'ai pas mangé du tout !"

- " Pauvre chien ! tu aurais dû le dire ... Allez sers toi bien ! en plus tu vas encore avoir une rude journée non ? " 

- " C'est probable  Maîtresse ! "

- " Cette chilienne est vraiment folle non ? ...  ... Oui ! je sais bien ! tu ne vas pas le dire toi ... surtout à une Gardienne hein ! ahahaha ! Tout le monde se méfie de tout le monde ici !

- " Oui Maîtresse !

Je parlais la bouche pleine sous l'effet de ma voracité  de circonstance .... elle ne me le reprochait pas ! ....

Je parlais ... oui ! tout simplement ! alors qu'avec tant de Maîtresses le silence des esclaves  non interrogés est la règle !

Elle m'avait permis de dormir collé contre elle , au lieu de sur la moquette à ces pieds ....  certes  c'était avant tout pour son bien être ! ... mais quand même .

Je commençais à me dire que j'avais mal jugé cette Femme et que j'avais eu tort : certes elle pouvait être franchement grossière ( plus que totalement vulgaire ), cinglante, méprisante  mais j'aimais assez  son comportement : elle ne craignait pas  d'être mise  en difficulté, à l'occasion, par  une certaine familiarité avec l'esclave ... C'était , au fond le signe d'un grande confiance en sa Supériorité ... de Femme , tout simplement ... Et je me sentais très proche de ce regard , décomplexé  mais simple,  sur les rapports entre les sexes .

Elle téléphona pour savoir ce qu'elle devait faire de moi en quittant son tour de garde .... On lui dit  qu'elle devrait me laisser  sur l'Esplanade, c'était juste en bas du Pavillon Administratif  .... elle me transmit  assez mécaniquement les ordres me concernant, après m'avoir ordonné de m'agenouiller devant elle  :

- " Tu attendras à genoux sur la dalle de l'esplanade qu'une Surveillante aux tâches ingrates  vienne te chercher (  Le STI : service des tâches ingrates, c'est le nom qu'on donnait à tout ce qui concernait le nettoyage et l'entretien des sanitaires publics et privés , du réseau d'égouts du Centre  etc ...)  ... allez ! tu peux y aller tout seul ! moi je finis de me préparer ... je te fais confiance ...  Dailleurs  tu  irais où? hein !   - sa remarque la fit sourire -      je verrai  bien si tu es encore là en descendant , quand la relève aura eu lieu  ... et puis méfie toi si jamais tu  voulais faire l'andouille : les fenêtres du dortoir des Panthères Vertes donnent toutes sur l'Esplanade ... A cette heure là les premières filles qui se réveillent aiment bien mater en bas ! ...voir s'il y a pas un couillon dans ton genre exhibé ... Hahahah .... Allez approche ! Je te donnerai bien ma petite culotte sale en souvenir ... je sais que vous, les vieux chiens fétichistes  vous aimez ces cochonneries ! haha ! mais tu n'as pas droit à ce genre de cadeau... on te l'enlèverait  tout de suite pas vrai ? ... Tiens ! ouvre bien ta bouche ! "

Et se plaçant bien au dessus de ma tête , elle cracha  entre mes lèvres ouvertes ... Après avoir dégluti j'ai dit  " Merci Maîtresse " , et me suis relevé ... j'avais un peu de peine à la quitter ! oui je l'avoue ... elle rendis la chose encore un peu plus difficile  en me disant , tout sourire :

- " j'ai bien aimé les moments pendant lesquels j'ai pu disposer de toi au fond ... je vais peut être te regretter au fond ... Hahaha ! tu n'es pas un mauvais esclave !... tu lèches plutôt bien... j'ai eu un mari comme toi, un cocu très obéissant et doux , mais il était très vieux ... c'est la vie ! allez !! ça suffit ! dégage  maintenant  !  Ouste !! "                                           Elle se retourna écarta ses fesses de ses mains et me péta au nez , puis me regarda partir en riant .

En bas sur l'Esplanande, pas question de faire  le mariole , en effet ...

Non seulement il y avait , tout près , les grandes fenêtres des Panthères Vertes , mais je vis  un couple , dans un bungalow assez proche qui me zieutait aux jumelles ... la Femme riait ...

J'étais déjà là depuis une bonne demi-heure quand je vis la première        " Panthère "à la fenêtre ... elle ne l'ouvrit pas et je ne parvins pas vraiment à identifier la silhouette ...mais évidemment , dans la minute suivante  deux fenêtres s'ouvrirent  et ce fut une agitation incessantes pendant une dizaine de minutes ... le temps que le STI viennent m'embarquer ... et là du coup je fus presque heureux " d'y aller " tant  les cruelles " P-V " s'ingéniaient à m'humilier , en gueulant à tue tête , sur  ce que j'avais dû subir ... Paula , qui n'avait pas été la dernière , revint même avec un

porte-voix, du coup quelques passants curieux firent un détour pour  mater  " la bête curieuse " ...

Saskhia , heureusement, était sortie juste avant ... elle me fit juste un petit signe discret de la main, en passant , comme on en adresse à un ami  !!

Elle portait juste une robe légère rouge très décolletée, et qui laissait largement voir ses fortes cuisses ... Ses jambes étaient embellies par des talons hauts , aussi rouges que la robe ...

J'ai senti le premier gonflement    - Ho !  léger !- de ma pauvre verge depuis mon milking par Candy .

Je ne connaissais pas la Surveillante qui vint " prendre livraison " ... Elle avait 20- 25 ans maximum , des petits yeux sombres et cruels , des lèvres presqu'invisibles qui ignoraient le sourire ...pour tout dire , si elle était assez bien foutue côté corps ... elle n'était pas très belle ...

J'ai pu vérifier en arrivant au bureau d'attribution des tâches que sa cruauté n'était pas que dans son regard  ... Elle voulut faire un rapport et fit tout un foin à destination de ses collègues , sur le fait que j'avais dû provoquer les Panthères Vertes et qu'à son arrivée c'était le bordel sur l'Esplanade ....

- " ça fait bien pour les badauds et les clients du Centre qui passent par là ! vraiment ! " cela fit sourire quelques collègues ... mais la chef d'équipe, une bimbo qui n'avait rien à voir physiquement avec la   " méchante " se sentit obligée de demander :

- " Clara ! si tu veux un châtiment tu le demandes tu sais ! .."                      Clara bondit sur l'occasion

- "Ah oui alors! si on laisse passer des choses comme ça !... on n'a pas fini!"

Et la garce obtint   le droit de me donner dix  coups de cravache elle même  immédiatement  et ... c'était bien entendu le pire ! elle fut mandatée par la brigade pour   " aviser  elle même au plus vite  Doña Teresa  de mon COMPORTEMENT DEPLORABLE ".

Elle me cingla  donc elle même avec délectation , dehors , devant le bureau  ... et pas mal de badauds rigolards , juste avant de  me conduire sur mon premier lieu de travail ...

La journée promettait décidemment d'être rude ... comme si la perspective de la soirée annoncée n'était pas suffisante  ! Il fallait que cette garce fasse du zèle !

L'idée d'annoncer elle même mon "comportement déplorable" à celle dont tout le monde ici connaissait la sévérité impitoyable la faisait mouiller sans doute davantage que les coups qu'elle venait de m' infliger  en public ...j'ai d'ailleurs très vite vérifié mon hypothèse ....

Elle m'avait entrainé à l'écart du reste du groupe d'esclaves au prétexte qu'un couple de clients avait demandé que soit  rapidement  nettoyée  leur salle de bain , avant leur retour d'une course matinale ...

Je ne crus pas longtemps à une faveur de sa part, pendant que les autres se farcissaient les toilettes publiques de la " Grand Place "... et j'avais bien raison :   Aussitôt dans le bungalow qui semblait en excellent état , si ce n'est le lit complètement ravagé , elle m'attira vers ce champ de bataille ..  Pieds écartés et bien campés au sol , elle allongea  d'abord  son dos , en écartant les cuisses, sur lesquelles elle remonta hâtivement  sa robe... Elle souleva ses fesses , pour dégager sa culotte ( pas très propre,  la culotte blanche ! souillée  à l'entre jambes, je le vis au passage ) en libéra ses chevilles  en la propulsant au loin  d'un coup de pied aérien ! 

Après il s'agissait juste , en croisant ses doigts derrière ma nuque  - pour ça elle avait de nouveau soulevé le buste - de me montrer la direction de   

son vagin ... Je ne m'étais  pas trompé , ses poils étaient trempés , elle sentait le rut  !!....

- " Fais moi jouir sale bâtard  ! "  et fais vite ! on n'a pas que ça à faire !"

L'injonction était inutile ... et ça ne dépendait absolument pas de moi !

De fait il ne lui a pas fallu trois minutes pour prendre un pied  très bruyant  . Elle avait laissé ses mains croisées sur ma nuque et  quand elle éprouva les derniers spasmes de plaisir elle  m'enfonça ses ongles dans la nuque ... c'était la deuxième à me faire subir ça en quelques jours ... et cette fois je sentis le sang perler à la base de mon cou , en arrière  !

                                          " Chez " les  Panthères Vertes  ( II) Deuxième partie .

Ma tonte, qui fut un supplice équivalent à la première , au printemps dernier , plusieurs filles se la disputèrent ... Mais Béa, qui semblait avoir une certaine autorité sur le groupe , lorsque ça tendait à devenir n'importe quoi, mit la tondeuse dans les mains de Paula , au nom du fait  qu'elle était la fille de celle qui avait amené " le jouet " ...

Paula se délecta ... il n'y avait pourtant pas beaucoup à retirer ( c'était quand même la troisième fois que j'étais tondu, rasé ! la troisième fois en moins de six mois ! ) beaucoup de filles restèrent tout près ,  à rire et plaisanter ,même la première curiosité passée... car j'ai passé toute l'opération  en larmes ! 

 Paula sut la faire durer... ou la cruauté de la chose me la rendit interminable?  Je ne saurai dire ... mais je revois tant de scènes de filles hilares qui me parlent , ironisent , m'insultent , pendant que la fille de la Gardienne passe et repasse  au même endroit  ...

Quand on m'aura enfin détaché,  Dorothée ( la fille aux couettes rousses que j'ai vu d'entrée quand Saskhia m'a trainé là) Dorothée propose "de me pisser dessus pour me laver la tronche et ôter tous ces poils collés par mes larmes de fiotte"  .... Accordé !

On m'allonge sur une grande table  et la mignone petite rouquine au frais minois  qui lui vaudrait l'absolution devant n'importe quel tribunal , vide sa vessie  sur  " ma tronche " .... une autre asiatique ( celle là est vraiment japonaise, elle parle l'espagnol et un peu le français mais avec difficulté ) est déjà montée sur la table  ...  debout  elle  a toujours sa cravate et sa petite culotte verte  ... elle ôte la deuxième , imagine que je dois avoir soif " après avoir tant pleurniché  "  ( qu'est ce qu'elles m'ont foutu la honte avec ça ! )  , deux filles  postées  au sol,  de chaque côté de la table, me maintiennent bouche ouverte à l'aide de quelques doigts qui me donnent envie de vomir  et la japonaise  qui vise juste m'inonde le palais .

J'ai du mal à déglutir, avec ces  doigts qui écartent  à l'excès mes commissures de lèvres ... et puis le débit de l'asiatique est impressionnant ! la table doit être trempée , je le sens sous ma nuque si nue !

J'entends Nadjet ( je ne la vois pas mais je reconnais ses intonations d'africaine , et sa belle voix chaude ) elle me crie dessus  :

- " Essaie de boire  proprement esclave !   tu en mets  partout ! c'est notre dortoir , pas ta porcherie ! "

D'un  coup une des  filles qui tirent sur mes lèvres, mains dans ma bouche, tire encore plus et la douleur me pousse à accompagner son geste pour avoir moins mal : la pisse de  Noami ( c'est le nom  de clle qui achève de se vider au dessus de moi ) s'écrase alors sur ma joue , puis sur la table ...

Les rires redoublent ... Nadjet crie un peu plus ! ... mais Naomi a fini ...Non !

elle vient s'accroupir au bord de mon visage pour que je lèche sa dernière goutte ...Les lèvres de sa chatte épilée  son quasi inexistentes , rentrées , son sexe n'est qu'une fente , pas très longue , mais le pourtour luisant  est tapissé de mouille ... elle sent fort , mais pas la pisse ... elle ne laisse que quelques secondes sa fente sur ma bouche ... elle avance un peu , se cabre , écarte ses fesses à deux mains et dit, sous une nouvelle salve de rires  :

- " lick slave ! lick my asshole !

Je lèche son trou du cul, comme elle dit .... Lui  est tapissé de longs poils épais ... La fille  n'est pas très propre , ses poils sont collés entre eux  et pas seulement par la mouille .... saveur très amère .... odeur très sévère .

Mais je n'y suis pas soumis très longtemps , bientôt elle bouge son cul frénétiquement au dessus de mon visage , puis l'écrase  et j'entends ses râles de plaisir malgré l'étau refermé et ses fesses qui m'écrasent ... Des cris plutôt : très aigus , courts , nombreux ... je ressens ses derniers spasmes dans des vibrations de ses fesses ...

Quand Noami " quitte la scène " elle est applaudie ...

Elles sont plusieurs ensuite à faire la même chose , sans imagination, sans originalité , juste pour faire durer le supplice ... ma honte .

Il y a des restes de bouffe  au bout de la grande table .

Je les ai vu depuis longtemps ! j'ai si faim !!                                           Une fille boulotte toute habillée elle,   croit sans doute continuer à me tourmenter  et s'en délecte visiblement,  quand s'emparant d'un quignon de pain abandonné, elle vient le tremper dans l'urine qui inonde la table sous moi  et le tend à ma bouche :

- " Tiens esclave ! avec tout ce que tu as bu , tu dois commencer à avoir un petit creux ! ahaha ! "

 Je me jette sur le morceau de pain , j'ai honte à le dire ... mais oui ! c'est ce que je fais ! .... une autre fille m'apporte un morceau de sandwich qui garde les traces et l'arrondi des dents  et après avoir épongé la table avec , me le tend , de la même façon ... je le mange ... déplorant juste qu'elle ne me le laisse pas finir ....

Paula , qui regardait les  nombreuses photos prises  au téléphone mobile de ses exploits  à la tondeuse, repasse devant la table et me jette un coup d'oeil dégouté ... Une rousse,  pas  encore remarquée malgré son élégance , et  qui vient de  montrer  à Paula  les quelques photos qu'elle a prise de la scène,   résume ce qu'elles pensent de moi :

- " Ce chien  puant  et vicieux   n'a  vraiment   aucune dignité !! Il a bien ce qu'il mérite ! " Elle hésite un peu puis monte  s'asseoir sur mon visage après avoir ôté sa petite culotte ... elle presse mon nez sous son anus épilé , qui se résume à un trou minuscule, elle le frotte énergiquement sur  mes narines éprouvées,  de sa raie ,tout autour  du trou mignon émane une odeur fétide ... ,Elle se frotte de plus en plus vite ... et jouit très brièvemment :  un cri , deux soupirs  en rentrant violemment  ses ongles acérés dans la peau de mon ventre , jusqu'à me faire crier ...

Une autre fille est déjà sur la table , mais celle qui en descend et m'avait traité de chien puant l'arrête et appelle  Yuki :

- " Tu m'avais promis de me guider pour un milking , tu te souviens? c'est un  bon  moment pour ça  non ? .... l'eurasienne approche , me regarde durement , regarde ses jeunes amies en quête d'approbation ... elle en reçoit beaucoup , signes enthousiastes ... ou muets .. simples mouvements de tête .

- " Tu as éjaculé quand pour la dernière fois ? " .... la question  vient d'elle et s'adresse bien sûr à moi ...

- " Il y a huit jours Madame ! ......  Elle me gifle en riant :

- " Moi c'est Mademoiselle ! ....... puis se tournant   vers l'assistance : .... il  faut  un gant de latex pour Candy   et descendez l'esclave ... portez le jusqu'au gros coussin  de cuir  là bas . " ..... je fus tiré par les pieds sur le parquet mal ciré et inégal et mes fesses furent posés sur l'épais coussin pour les surélever ... il y avait autour de moi encore deux ou trois visages ... je ne dirais pas nouveau mais que je n'avais pas remarqué ... visages intimidants vus de si bas ... car si mes fesses étaient surélevées , ma t^te étaient à même le parquet ... de celles qui n'étaient pas du côté de mes pieds ce n'est pas la tête que je voyais mais les entre-jambes  de filles qui our mieux voir  et de plus près me piétinaient presque , d'ailleurs l'une d'elle monta carrément  sur mon torse pieds joints ... Une autre la rappela à l'ordre :

- " Kelly ! descend veux tu ?

- " Quoooiii ? lança l'effrontée  qui visiblement trouvait son attitude         " normale " elle fit mine de descendre mais remit vite un pied puis les deux sur moi ! je ne voyais pas son visage , mais ses cuisses blanches  et sa petite culotte vert tendre ...  bien plus foncée au milieu , signe que la coquine mouillait !

Candy enfila le doigt de latex sur  son index et le rentra  dans mon anus ... elle était assise sur le coussin  entre mes jambes et deux filles dont Nadjet tiraient sur mes  mollets  de chaque côté , pour soulever mon cul, le coussin faiblissant ... Yuki , assise aussi entre mes jambes tenait son élève par l'épaule et de son autre main faisait le geste qu'elle attendait du doigt  qui s'enfonçait  en moi  à la recherche de ma prostate  .... 

- " Je crois que j'y suis !  "lança enfin la rousse très concentrée   Yuki lui montra alors très précisément ce qu'elle devait faire  ... et que je sentis  se concrétiser en moi ...Yuki visiblement fière de ses connaissances  en matière de milking qu'elle aimait à faire partager  expliquait ce qui se passait.... et ce qui allait arriver :

- " vous voyez ! la verge de l'esclave ne bouge pas , ne change pas de forme ... rien ne se passe .... sa nouille fait toujours ses  deux pouces  et demi , allez ! trois à tout casser ! ( Rires !! ) et pourtant le pauvre bougre  quand Candy  aura bien frotté  la prostate comme je le lui ai appris , et comme je lui montre va connaître un simulacre d'éjaculation ... oh! pas la peine de t'éloigner Dorothée !    ( la fille aux couettes machinalement avait reculé d'un pas )  ... je l'ai dit  vous ne verrez pas de véritable éjac ....regardez bien ... ça va peut être venir assez vite maintenant ... l'esclave a des larmes , il pleure , sans doute par dépit de ne pas connaître d'orgasme , tous ces branleurs ne pensent qu'à ça  ! "( rires )...

Quelqu'un fit remarquer que ma verge  ( qu'elle appela ma  "limace " ) non seulement  n'avait pas d'érection  mais qu'elle s'était un peu rabougri encore ... cela fit encore  rire  .... puis des silences se firent , jamais très longs , mais qui montraient l'attention  ET UN LIQUIDE AQUEUX TRANSLUCIDE SORTIT DE MON MEAT , sans pression , sans spasme,  il inonda ma jambe et mon pubis  au milieu de cris et de rires assourdissants ... Puis des applaudissements  adressés à Candy et lancés par Yuki  se prolongèrent un peu.... Candy  en rougit d'aise et de fierté  et remercia ......

Moi j'avais déjà été " trait ", je savais donc ce qui se passait , mais je fus plus humilié que jamais ce jour là et mes pleurs redoublèrent ....

A travers mes larmes  je vis beaucoup de filles s'éloigner  peu à peu .... par deux ou trois parfois , bras dessus bras dessous , certaines s'étouffant de rire .

Yuki et Candy furent bientôt les dernières à rester près de moi , avec Nadget , qui avait lâché ma jambe , mais était visiblement toujours  intéressée .... Yuki montra à son élève comment se débarrasser du doigt médical .... Il suffisait de rentrer l'index à libérer dans ma bouche et de m'ordonner de le sucer , puis retenir entre mes dents ... c'est ce que fit Candy , vraiment très contente d'elle et de son triomphe .... Nadjet essuya de sa main sur l'intérieur de ma cuisse et mon ventre  le liquide qu'avait libéré mon méat , pour ma plus grande honte ... et me fit lécher sa main :

sa peau gorgée de soleil avait plus de goût que l'humidité  ridicule  qu'elle portait à ma bouche ... elle dut comprendre ma pensée .... elle s'avança  à quatre pattes au dessus de mon visage , m'ordonna d'ouvrir la bouche  et cracha dedans un jet épais  de salive ... Puis elle se leva et partit en riant après avoir   agité ses belles fesses  d'ébène au dessus de mon visage  .

Je restai seul , enfin presque ! pendant de nombreuses   minutes ....

Elles me parurent très longues  ces minutes , car ma vessie , on le comprendra aisément,  commençait à se rappeler à moi avec insistance et je ne savais comment m'y prendre pour être autorisé à aller me soulager sans qu'elles en fasse une nouvelle épreuve .... Je dis " enfin presque car quelques filles vinrent à tour de rôle pisser dans ma bouche, plusieurs sans rien dire, comme si c'était maintenant la chose la plus naturelle du monde ... Deux d'entres elles vinrent séparément par simple curiosité , pour tripoter ma "nouille ", ma "limace" ... voir à quoi "ça" ressemblait après un milking 

La plupart des filles  passèrent un long moment  autour de la table à  se servir à boire, à rire , ricaner ou rigoler ( selon le degré de finesse de leur propos et leur distinction naturelle personnelle )

Quand une nommée  Tatiana  , très classe , vint à son tour s'accroupir  et se liquéfier au dessus de mon visage, après avoir soigneusement ôté sa culotte et l'avoir posée dans une de mes mains pour me la reprendre après soulagement et la renfiler en souplesse , elle ajouta pour Kelly qui approchait et voulait sans doute en faire autant :

- " On ferait mieux de l'emmener dans les chiottes comme les deux autres , avec tout ce qu'il boit depuis un moment  il va bienfinir par avoir envie à son tour ... et là bas on pourrait  lui pisser dessus sans avoir peur de salir ...

- " Pisser ou plus  !"  ricana vulgairement la jolie Kelly dont le minou n'avait sûrement pas séché  depuis qu'elle avait piétiné ma cage thoracique ...

D'une façon générale  les sexes qui m'approchaient au plus près sentaient maintenant presque tous la cyprine , la mouille ! l'excitation avait fait son oeuvre ...

On était certes  plus proche de la petite fille qui se néglige que du bébé Cadum .... cependant quand à quatre pattes, sur ordre  de Béa ( et avec , battant mes cuisses les lanières d'un martinet dont kelly m'avait brutalement entré le manche dans le rectum, invoquant pour un animal domestique la nécessité d'avoir une queue ).... Oui ! quand je suis entré dans la pièce où s'alignaient , face aux douches  une dizaine de             box-latrines , l'odeur du dortoir me sembla , par contraste d'une fraicheur insolente !!!

On me fit avancer dans le couloir entre chiottes et douches ... sur les neuf box deux étaient " occupés" , portes ouvertes :

Il s'agissait de deux esclaves , à quatre pattes eux aussi ... je ne les voyais que de dos . je reconnus celui qui était tourmenté par les " Panthères à mon arrivée ... je reconnus ses fesses grasses et sa bite minuscule était évidemment invisible derrièes ses couilles pendantes ... l'autre je ne l'avais jamais vu.... il était là depuis un moment ! Les deux esclaves avaient la tête plongée dans leur cuvette de WC respective , mais celle de l'inconnu devait en plus suporter le couvercle de la lunette qui était rabattue sur sa nuque ... l'odeur qui venait de celle de " p'tite bite " était cependant bien plus nauséabonde ...

J'avais l'impression qu'on hésitait à me faire rentrer  dans un box déterminé ... finalement Bréa décida :

- " On va s'amuser un peu avec " centtrente " ( c'était le numéro de l'inconnu ... il était tatoué  en gros caractère sur sa fesse droite ).

Dans le même mouvement elle déverouilla la grosse tige qui maintenait la tête fixée au gros tuyau d'évacuation , puis tira la chasse , avant de soulever le couvercle de la tinette ... la tête du pauvre esclave apparut ruisselante  et cela provoqua une nouvelle hilarité générale ...( même s'il y avait moins de monde ici que dans le dortoir )

Lui avait des cheveux , et il me sembla que quelques pépites de matières fécales s'étaient nichées derrière quelques mèches ... du coup , pour une fois je ne fus pas mécontent d'avoir la boule à zéro , car c'est moi qui prit la place du pauvre bougre !!

- " Douchez  bien centtrente avant de le conduire au dortoir !" ......... ordonna encore Béa .

J'ai dû reter là   plus d'une heure encore , peut être plus ... je ne saurais dire car le temps me parut très long , on s'en doutera ! ... 

 J'étais à la merci des envies, des besoins, et des choix des " Panthères "... Des choix ... car elles pouvaient opter pour la cabine voisine où les attendait " p'tite bite" ... plusieurs  le firent ... et parfois  pour la grosse commission : les bruits ne trompaient pas !

Moi , j'ai réussi , en me contorsionnant passablement , à soulager ma vessie ... contorsions, car c'est mon cou qui était relié, assez étroitement  à la grosse canalisation de derrière la cuvette ...

En dehors de quelques pipis deux " Panthères " seulement sont venues vider leurs intestins ....

La première ( encore un inconnue ! décidemment ) m'obligea à utiliser ma langue en guise de PQ , mais là je n'étais pas en terrain complètement inconnu, et même si ce ne fut pas aussi facile qu'avec mon ex Femme , je m'en suis tiré sans catastrophe ... ensuite elle a tiré la chasse alors que ma tête n'avait pas regagné la cuvette et je n'ai donc pas été mouillé

La deuxième  se fut Noami ... elle me regarda longuement , le visage orné  d' un sourire carnassier et cruel avant de pousser brutalement ma  tête , et de me tordre le cou , pour s'asseoir sur la lunette ...

Elle émit beaucoup de bruits familiers en un tel lieu et qui installèrent une odeur lourde , durable .... puis elle se leva , me tendit sa raie à lécher ... cela se passa mieux que prévu car ses petits étrons  étaient  sec , bien moulés et n'avaient pas laissé de traces sur son oeillet .... en revanche  elle partit en baissant le lourd couvercle sur ma tête , sans tirer la chasse  , heureusement mais en m'interdisant  de le faire .

Une fois dans l'eau , et pour un séjour prolongé,  la matière fécale libéra toute sa vigueur odorante  et je passai quelques sales quart d'heures dans la puanteur  délivrée par la belle  et cruelle japonaise ....

Mais d'un autre côté c'est peut être ce qui m'évita de connaître pire : 

Une fille passa ... il me sembla qu'elle s'arrétait  devant la cabine de l'autre toute proche ... elle fit  " Pouah ! c'est dégueulasse ! " puis je sentis qu'elle stationnait de la même façon , un instant devant  " chez  moi " ...

- " Décidemment ! une vraie porcherie ! "

 Elle passa donc à la cabine suivante et je  m'en félicite  encore :

Pas de " sons  et lumières " en l'occurence mais un tonitruant  " sons et odeurs " ... c'est ce qui finit par arriver jusqu'à moi " de chez la voisine "

( et en dépit du couvercle rabattu et  des propres miasmes  de " ma "  cuvette  que je m'efforçais d'apprivoiser !)

Enfin on vint me libérer ... Candy s'en chargea et cela me fit craindre le pire .... mais elle ne tira pas la chasse avant d'avoir libéré ma tête , et m'emmena très vite à la douche ... elle se contenta de m'humilier en jouant un peu avec mon gland  : elle lui donnait des pichenettes , et s'étonnait de l'absence totale de " transformations " de ma verge 

Elle insista ! ....prit deux trois photos  ... me lacéra d'un  ricanant :

-  " T'as jamais dû être un homme toi ! "

Puis m'empêcha de me débarrasser du martinet dont javais le manche entre les fesses :

- " T'as pas de queue devant ! c'est pas mal qu'on t'en ai mis une au cul ! "

Paula arriva à ce moment là et ça la fit rire :

- " Tu m'aides à le mener chez ma mère ? Elle a téléphoné , son étalon va partir  et elle veut  que notre tondu  leur nettoie le cul ... "

Elle prit  la rousse par le cou et l'embrassa  visiblement heureuse !

- " Je suis contente qure tu aies si bien réussi ton milking  ma loute ... c'est un pas dans une formation de Panthère tu sais ! "

- " Oui je sais ! je suis comblée ! ça s'est si bien passé ! et  tu as vu sa tuyauterie ridicule !  Hahahahaha ! "...... elles étaient de nouveau hilares ...

- " Oooh  Oouuiii ! on aurait dit un vieux tuyau percé  qui   libère sans pression l'eau qui jusqu'à là stagnait  !! HAHAHAHAHA !"

A l'image développée par la fille de Saskhia son amie faillit s'étrangler ... elles se firent face dans l'escalier , juste devant moi  et essuyèrent mutuellement , avec tendresse les larmes de joie qui coulaient sur les joues de chacunes ... Elles se regardaient avec   amour .

- " Oui ! 0h! Je suis si contente et fière  d'avoir réussi ce milking ... ça devenait un problème pour moi  tu sais ! ... J'avais limpression que Yuki ne me ferait jamais confiance , qu'elle repoussait toujours le moment de me redonner ma chance Toi chérie ça fait deux mois au moins que tu en fais !

Et là j'ai trouvé si facilement la prostate de  cet esclave ... c'etait comme dans un rêve ! " ..... Elle commença à sangloter  ...Paula prit son visage entre ses mains .... et lui roula un gros patin passionné 

- " Allez ! je suis si heureuse moi aussi ! maintenant quand on sera de service pour traire les esclaves  du Centre , on  demandera à faire  équipe ! On va s'marrer ! "...

Elles  reprirent un accompte de rigolade , s'embrassèrent de nouveau à pleine bouche  et pour finir Candy me gratifia de trois solides coups de cravache sur les fesses :

- " Allez minus ! on va finir par être en retard si on te bouscule pas ! " 

 Cela fit rire encore Paula ...

La suite  se passe  " Chez " Saskhia ... et ce sera le dernier épisode ( plus calme , plus " classique " )  avant, enfin , de retrouver Doña Teresa !!!  

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Désolé pour les fautes ( de frappe ... et les autres ! ) et l'organisation du texte , sans doute moins rigoureuse que d'habitude ... mais vous l'aurez remarqué , cet article est long , plein de "fureurs et de bruits" donc difficile à organiser , alors qu'il me fallait vraiment le finir aujourd'hui  ... Ce soir je suis toujours seul à la villa ... et je ne sais pas de quoi demain sera fait et si l'aventure va continuer ...

Pour en savoir - et comprendre peut être un peu plus - je vous propose de lire ce qu'on appelle les  " pages " ( quatre des cinq actuelles de mon blog ont été écrites ces derniers jours ) mais aussi de " survoler " - au moins - les commentaires , les vôtres, qui suivent certains articles ... je ne pense pas qu'il soient beaucoup lus , et sans doute mes réponses le sont elles encore moins , sauf évidemment par les auteurs de commentaires .... car j'ai constaté que des questions apparaissaient dans ces commentaires ... alors que la réponse à la question avait parfois un ou deux jours , adressée à un lecteur différent   CE N'EST EVIDEMMENT PAS UN REPROCHE .... JUSTE  POUR MOI L'ENVIE DE VOUS PROPOSER UN MOYEN DE MIEUX REALISER CE QUI SE PASSE ACTUELLEMENT ... ET QUI N'EST PAS TOUT SIMPLE !