asserviparmonex

Armelle, au moment de ma dernière humiliation, dans l'arrière boutique ( vous vous en souvenez peut être ) avait exigé que je l'appelle, faute de     " balancer "... si je m'avisais de faire le " mariole "

... et il y avait ces photos de ma faute et de ma honte !!

Alors je lui ai obéi ...

 C'est par manque de temps que je ne livre pas maintenant  de détails sur cet épisode :

 quand ai-je appelé Armelle  ?...

Et ...que m'a-t-il fallu déjouer, contourner, différer  comme contraintes quotidiennes pour passer quelques heures chez cette Femme ? etc... etc...  ( car notre rencontre, chez elle, a quand même eu lieu la semaine dernière, déjà !... et je crains d'être débordé... de devoir passer sous silence certaines choses, qui finiraient par rendre incompréhensible les développement de mon histoire à ceux qui me font le plaisir de me suivre ... certains depuis longtemps maintenant, si je détaillais trop ! ) .

Arlette/Armelle - il est vrai qu'on ne l'appelle Arlette qu'à son travail, j'ai pu m'en rendre compte - vit dans un appartement assez quelconque, d'un immeuble banal,  mais dans un cadre magnifique ! ( Pour celles et ceux qui connaissent Marseille, je ne peux résister à en dire un peu plus  : il est situé sur la corniche Kennedy, sans vis à vis !! de sorte que  de la plupart des fenêtres de cet appartement, on voit la mer ! On NE voit QUE la mer... et sur un côté , le chateau d'If ! 

Et voilà que je me suis retrouvé prisonnier face au chateau d'IF ! ...

... aux mains d'une Femme imaginative et rouée dont je peux déjà dire        - sans préjuger de la suite - qu'elle n'a pas l'intention de me lacher comme ça ! ....

Oui ! ... sûr que cet après midi aura une suite ! ... aucune raison que ce chantage dans lequel je m'enlise s'arrête là ! ( Oui ! je m' " enlise", je me

" vautre " là dedans, il me faut bien le signaler comme ça quitte à choquer un peu, puisque - vous allez finir par me croire (( sourire ))   -  je n'ai pas le temps de  tout dire )

Bref je suis arrivé dans ce cadre... quelconque et merveilleux, peu après quatorze heures; mais elle m'attendait pour déjeuner ... Non  ! pas pour déjeuner avec elle !... pour lui préparer son repas et le lui servir ! ...

Comme pour  son appartement , au premier abord, quand elle m'a ouvert sa porte, j'ai trouvé la Dame plutôt quelconque :

Pas coiffée, le cheveux un peu gras... pas maquillée ! ... j'ai eu peine à reconnaitre la coquette et " curvy "  vendeuse rousse...

... Ses généreuses rondeurs  étaient bien toujours là !... mais sortant crument d'un peignoir  mal ceinturé, dont ses gros seins blancs et nus maltRaitaient le haut, tandis que ses cuisses charnues et constellées de taches de rousseur éprises elles aussi de liberté... dévoraient le bas , me rappelant la dernière scène de  l'arrière boutique !

Elle n'était pas parfumée non plus : quand après avoir refermé la porte palière elle m'ordonna de la saluer à genoux, ouvrant cette fois délibérement les deux pans de son peignoir avachi... je fus saisi à la gorge par l'odeur  aigrelette et âpre de son minou ... Senteurs rudes  en partie tapie sous sa rougeoyante toison drue !