asserviparmonex

Je fais beaucoup de  " cachot " actuellement dans la vie d'esclave avec laquelle  j'ai renoué  dès le début de l'année .

Cela contrarie fortement  mon besoin d'écrire , et donc la régularité  de mes publications , et bien sûr je le regrette ! ... mais cela me laisse  aussi beaucoup de temps pour penser .    ... Oui ! j'ai tout " loisir" ainsi pour réfléchir à ce que je vis  désormais, comme à mon passé , proche ou plus lointain...   Réfléchir aussi sur  le fait d'écrire , ici précisément , sur ce passé  extraordinaire, sur ma vie  avec mon Epouse et Maîtresse ...  et puis mon Maître , son amant ...

Oui ! cette  NECESSITE d'écrire  et ce temps vide de toute activité  , ces longues heures passées ces temps ci , dans  la solitude  du sous sol  !!!

Et puis encore l'inconfort exigu  de la trop petite cage métallique  que l'usage , favorisé par Odile , fait appeler " cachot " , voilà  tout ce qui favorise grandement ma réflexion ... Ainsi, avec le recul, au coeur de ce temps mouvant j'arrive encore à découvrir des choses ...       Des choses  de mon passé dont j'apprends à mesurer l'importance ...

Un exemple ! j'ai dit  combien  ont été décisives  les étapes  qui m'ont  mené  à une sexualité personnelle,  d'abord sous contrôle   total et permanent  ( CB oblige ! )  puis  niée dans son expression la plus aboutie  ( interdiction de faire l'amour et de pénetrer mon Epouse ) .

Je sens depuis quelques jours  qu'un "décret ", en apparence plus anodin , moins "méchant", à constitué une sorte de point d'orgue , magnifiant  ces terribles oukazes ...  Ce "décret "  ?  un fait important  en lui-même , mais tellement moins  que l'interdit de pénétration ....

Ce décret : LE FAIT DE M'INTERDIRE LE LIT CONJUGAL MEME EN L'ABSENCE DE L' AMANT ,   MON  REDOUTABLE  MAÏTRE .... Voilà ce qui m'a fait entrer  définitivement dans le monde  des esclaves ....

Avant qu'étais je d'autre qu'un mari  cocu  très soumis ,  certes  et acceptant le ménage à trois inéluctable... servant  en tout   l'Epouse  tellement désirée et l'amant envié, respecté , craint  déjà  ? ...  Un adorateur masochiste  de sa Femme, acceptant que sa sexualité soit étouffée , moquée , contrainte, niée ....

Voilà ! j'étais cela ...

j'aimais obéir à mon Adorée ,

j'aimais entendre ses ordres claquer  comme coups de cravache ... et la cravache derrière si nécessaire  ...  

J'aimais  qu'elle soit dure !!

j'aimais le contraste  entre  sa dureté envers moi , son sensuel visage sévère ou dédaigneux  et  la douceur souriante qu'elle affichait avec  ses, puis SON unique amant avec ses familiers , nos proches...

 Son injustice, comme les vexations qu'elle me faisait subir me faisaient bander même si sous CB,  bander devenait de plus en plus douloureux et sans espoir ( d'autant plus douloureux que c'était vain , sans espoir !!...) je faisais de plus en plus de ménage , de corvées domestiques , mais dans la grande maison  une  femme de ménage venait encore deux fois  trois heures chaque semaine ... et une fois supplémentaire  lorsque la grande maison était pleine durant les weekend  !

Quand j'ai subi l'interdit de pénétration , comme par hasard , rapidement dans les jours  suivants j'ai appris que la dame en question  ne viendrait plus qu'une fois   -   mais pour quatre heures -  

MAIS C'EST QUAND LE LIT  D'HANNAH  M'A ETE INTERDIT QUE LA FEMME DE MENAGE A DEFINITIVEMENT DISPARU .

Je suis en train de me rendre compte, dans les longues heures passées  " au cachot " que tout ça fut systématique , pensé , avec une vraie volonté  d'enchaînement ... comme  un mouvement d'inéluctable engrenage . 

L'esclavage s'affichait ouvertement , et pour l'encadrer , le stimuler , l'attiser           sans cesse , le désir fou que j'avais de ma Femme ....

Je me souviens  :" Ta  femme  ne le sera plus , mais toi tu restes son mari ! "  ... c'est ça , d'une certaine façon qui a cessé  avec l'interdit de lit conjugal... je n'étais plus qu'esclave   ... esclave domestique , totalement : tout retard , toute erreur , toute maladresse, toute tentative de discussion ou plus encore de contestation ... oui ! tout  faisait l'objet  de châtiments corporels ... 

Annah avait parfaitement assimilé les idées d'Elise Sutton , et la présence d'un homme , la complicité d'un amant dominateur m'avait dès lors exposé  totalement ...  Car si je , si l'on me savait plus adepte de D/s que vraiment maso physiquement , il était alors évident qu'eux prenait plaisir à me  punir physiquement , à me  " corriger  " ...   Ils s'en excitaient mutuellement ... Il n'était que de voir  leur fougue , l'intensité de leurs étreintes  après  " une bonne rouste " (selon l'expression d'Hannah) pour désigner  ce qu'ils m'infligeaient  .... j'étais à leur merci !!

 Rien d'étonnant alors à ce que ce terrible moment où le lit conjugal me fut interdit  soit aussi  l'époque où en quelques jours mon Adorée a pris l'habitude d'utiliser ma langue dans sa raie profonde et sur son anus  après chaque  soulagement naturel  - et non plus de loin en loin  comme précédemment - et puis aussi de vider sa vessie dans ma bouche assez fréquemment plutôt que de se lever , lorsqu'elle était confortablement  et paresseusement  calée dans le canapé ..

Tant de signes concordants  ne peuvent tromper sur l'évolution de ma  " condition  profonde " 

Quand,  après  qu'elle aie  cessé d'être ma Femme , c'est moi qui je ne fus  même plus  son mari , même pour des nuits platoniques en l'absence de  mon Maître...  je ne fus plus autre chose que leur esclave !!!  

Dès lors  quand elle  se mit à utiliser systématiquement   ma langue comme PQ sur sa raie anale , cela  cessa vite de me  " soulever le coeur " ....

Je ne suis pas scato , et les rares    - fort heureusement  ! -  approches de " la chose " que j'ai eu dans ma vie de soumis et d'esclave , ont été vécues comme ce qu'elles étaient c'est à dire  de terribles punitions,  terriblement dégradantes  ... mais là ! dans ce contexte  tellement particulier , tellement surprenant .... c'est devenu quelque chose d'invraisemblable ... sans doute difficile à comprendre de l'extérieur , mais  que j'ai attendu chaque jour ....

Je l'ai déjà dit je crois  sur mon autre blog à propos d'Odile : l'amant le plus comblé  ne peut entrer dans une intimité plus intense avec la Femme désirée, adorée .... que ce qui constitue ces moments   !!!

Oui !! j'étais fier d'être en toute circonstance  le lèche-cul, de celle qui me nommait encore assez facilement son mari .... Cela faisait après tout de nombreux mois qu'ils utilisaient ma bouche  et ma  langue  pour rafraichir , assainir , toiletter  leurs intimités après leurs ébats , leurs pénétrations , leurs étreintes   !

Prendre place au moins une fois par  jour  à genoux  devant la cuvette des  WC  ,  entre les cuisses  de ma Désirée, en les massant ... ou son ventre , sur son ordre pendant son soulagement ....Voilà qui sera bien sur perçu comme plus avilissant !!                                Lécher sa raie au plus profond des fesses qu'elle écarte de ses mains  après s'être retournée , tâche accomplie ,  fera frissonner peut être  de dégout ?  Pas moi !!

Avili certes , homme déchu.... mais je le répète , plus intime que ne l'a jamais été aucun homme  avec ma Déesse ...  Cela seul m'importait ...; et je croyais que cela seul suffirait à rendre notre " union " indissoluble  ...