asserviparmonex

 Juste quelques mots pour signaler que je viens de publier une nouvelle "page"... car je les trouve moins visibles que les articles sur les blogs et j'aimerais bien qu'elle ne passe pas... à la trappe  sans un regard  . 

Elle s'appelle tout bêtement " MODE D'EMPLOI " dans la rubrique " Bonheurs d'esclaves ".

Cela peut peut être aussi vous donner envie de lire mes autres pages , beaucoup plus anciennes... et peu nombreuses  car je n'ai jamais vraiment très bien su comment uitiliser cette possibilité... Si quelqu'un peut, au passage, à la faveur d'un commentaire par exemple, m'éclairer sur  " l'utilité " réelle de ces pages...

Vous voulez savoir ce qu'est cette photo que j'ai évoquée hier dans mon premier article de cette catégorie ?

Celle que j'ai présentée comme étant, au même titre que ce petit fétiche de plastique "disséqué" dans mon précédent  article,  une de mes rares reliques, un des gri-gri  ayant survécu aux tumultueuses aventures subies ou provoquées ces deux dernières années  ?

Allez !... Sur  l'image c'est Hannah radieuse , sourire d'un blanc éclatant induit par l'émail de ces dents.    Elle arbore une coiffe et un voile de mariée tout aussi blanc et, deux gants à la Gilda  - blancs encore - grimpent jusqu'au delà du coude... Elle n'a plus beaucoup d'autres vêtements...

Je suis, genou à terre, à ses pieds chaussés de hauts talons, en train de faire glisser un bas - blanc toujours - le long de la jambe que ce faisant ma main semble sculpter...

Elle est assise sur le bord du lit nuptial.

L'autre bas grimpe encore, grâce au porte-jaretelles, jusqu'au milieu de sa cuisse... et je frissonne de nouveau aujourd'hui, là !... maintenant ! devant la photo que je détaille pour vous...         

Comme j'ai frissonné alors,  lorsqu' Hannah, me montrant sa cuisse d'un doigt tendu, impérieux, j'ai su que je devais l'embrasser, tout là haut, sur la chair tiède ...

Les photos ne restituent hélas ni la chaleur, ni les senteurs : je me souviens que l'odeur de sa vulve,  de ses lèvres luisantes de désir fondu, avait contribuée à cette irrésistible chair de poule qui l'avait fait rire... Sa petite culotte, que je lui avais ôté avec les dents, sur ordre de son amant  lorsqu'elle était encore debout, deux secondes plus tôt, gisait au sol...( au cas où je ne m'en serais pas souvenu, le détail est imparable :elle est visible tout en bas à gauche de l'image ) 

Rafael lui est invisible, et pour cause, il prend la photo... Tout à l'heure... oh ! il y a juste un instant !... dans la grande salle où nous étions entourés d'un public conséquent, venu assister à la cérémonie...  c'est lui qui a le bonheur  de donner  un long baiser à ma beauté !! ( vous voyez ! j'ai encore du mal à en parler autrement qu'au présent !)

 Et lui eut droit à la bouche, au milieu des rires et  des applaudissements, des cris aussi, de l'assistance joviale, enjouée !... quand moi, dans le même temps, je n'ai reçu que sifflets et sarcasmes...

 Oui ! certains l'auront deviné, cette cérémonie c'est une sorte de mariage BDSM parallèle qu'ont voulu ma Femme Hannah et son"chéri" Rafael, quand ce dernier est entré officiellement, ouvertement  dans sa... dans notre  vie ( par "ouvertement" je veux dire aux yeux d'une grande partie de notre entourage ... alors qu'ils étaient déjà amants depuis un bail. )

La photo n'évoque que ces instants précis où nous sommes dans la chambre d'hôtel tous les trois... débarrassés depuis quelques minutes de la petite foule si humiliante pour moi... Mais les images de la cérémonie me reviennent irrésistiblement à l'esprit quand je regarde, avec une émotion intacte, la terrible et belle image...

( Si vous voulez... si vous me le demandez gentiment  - sourire - je vous raconterai aussi ce que je viens de déflorer et qui a précédé cette scène !)

Mais revenons à l'image : le pied et le genou levé magnifient la cuisse dénudée ... la position offre aussi le sexe vénéré , non seulement à mon sens olfactif, mais à ma vue... le doigt qui effleure sa grosse lèvre verticale saturée et luisante de désir la souligne d'autant plus que je découvre dans ces instants que ma Femme est épilée...

Et puisque mes mots vous ont permis d'imaginer ce qui s'est passé juste avant et ailleurs, faisons une petite incursion dans les secondes qui ont suivi ce cliché :

Ma Femme sourit d'abord... son sourire se fait espiègle, puis moqueur devant mon air ahuri : je viens de découvrir son sexe épilé - qui n'en rend que plus saillantes ses épaisses lèvres brunes  qui m'obsèdent  et auxquelles mon sexe n'a définitivement plus accès - Elle éclate même franchement de rire en regardant Rafael qui a juste fait tomber sa veste de smoking  et m'a ordonné de le déchausser juste avant la photo... puis elle redescend son admirable visage vers moi :

- " Tu aimes ce que tu mois mon p'tit mari? Tu vois je me suis fait épiler la chatoune ... je sais que tu n'aimes pas, mais tu sais bien que ce n'est plus toi qui m'influence à ce sujet ... Rafa adore ! Et puis pour toi tu verras, ce sera quand même mieux de ne plus te prendre des poils entre les dents, sachant que ta principale activité sexuelle est de me lécher et laper nos liqueurs  dans ma chatte ! 

Elle éclate de rire, L'heureux Rafa s'approche d'elle et se penche pour prendre ses autres lèvres. Ils se les mordillent... 

Ils s'embrassent ...

il lui dit qu'il a envie d'elle...

elle me dit de me dépêcher, de finir de la déshabiller et, pendant que je m'exécute, reprend son idée :

- " Je pense que tu peux me remercier lapin ! j'ai quand même pensé à ton confort de "licker" ! ahahah !"                  

Dans le RECIT QUE J'AI ENTREPRIS  et qui a donné le jour POUR L'INSTANT, A CINQ ARTICLES - au passage, si vous ne les avez pas lu lors de leur parution, je  souligne qu' il est préférable de les lire dans l'ordre chronologique... soit 1... 2... 3 etc, pour y comprendre quelque chose  - j'ai atteint un palier, en sombrant dans le sommeil.

 Cela  me permet de marquer un temps d'arrêt, dans la narration de ce que m'a fait subir Irina, qui attendra donc un peu, pour revenir sur les conséquences de ce que j'ai appelé un séisme... 

Les conséquences ! c'est à dire CE QUE JE VIS actuellement, EN JANVIER 2012 : C'est ce dont je commence aujourd'hui à témoigner doucement sous l'étiquette NEWS - ainsi vous lisez NEWS1, et il y aura news2, news3, etc... comme il y a L EX1, etc...

Enfin je proposerai sans doute, mais ce n'est pas pour tout de suite SEISM1, SEISM2 etc... 

... histoire de revenir, sans bâcler, sur ce qui vient de me ramener,  provisoirement je le sens , dans une sorte de "no man's land".   Un territoire  que je trouve actuellement amusant - à condition qu'il ne dure pas plus de quelques semaines ou quelques mois - entre vie "banale" ( que je croyais définitivement écartée pour moi ) et BDSM  à temps plein.

Voilà ! vous avez le mode d'emploi de ce qu'est, et sera  ce blog à moyen terme ! 

Et pour concrétiser NEWS1, voici  une petite narration  illustrée - du gros plan sur ma CB 2000 et son pauvre contenu  -  narration portant sur ce que vient de me faire vivre ma KeyHolder... une Femme que je vous présenterai bientôt plus en détail.

Pour ceux qui ne le sauraient pas, une "Key holder" est une Femme - mais il y a peut être, sans doute même, des KH de sexe masculin et transexuel -  une Femme donc, qui accepte de s'occuper d'hommes comme moi : des individus  qui ayant goûté au déni d'orgasme, à la chasteté contrôlée, ne peuvent plus s'en passer...

S'il n'ont pas une vie fondée sur l'acceptation de leur soumission profonde par eux même et par au moins une partie de leur entourage et bien au moins peuvent ils  aller voir cette Dame, qui peut être une professionnelle du sexe  ( disons que la professionnelle sera plus facile à trouver quand on n'a pas beaucoup de connaissance des milieux fétichistes ) et qui leur posera leur Chastity Belt et leur demandera de revenir - pardon ! qui exigera qu'ils reviennent - à intervalles plus ou  moins réguliers, pour     "libération momentanée" puis soulagement, par masturbation... ou pas , et les rendra à la vie qu'on dit normale... après repose de leur CB. Une Chastity Belt  DONT ELLES ONT EVIDEMMENT LA CLE !

- Au passage, si lecteurs ou lectrices ont quelque chose à ajouter ou à nuancer sur ce que je viens d'écrire, qu'ils le fasse, j'ai juste voulu définir un peu ce mot de Key Holder pour les curieux ou les novices qui en ignoreraient tout -

J'ai donc une accorte personne qui a bien voulu me prendre en charge à ce niveau... que je vois de temps en temps  et qui ne se contente évidemment pas

- de m'ôter MA CB avec SA clé...

-de m'ordonner de me masturber...

- et de me reposer le cadenas en provoquant le petit "clic" de fermeture, si important pour l'homme ainsi condamné à la chasteté  ( encore qu'il paraît que chez certaines cela se passe comme ça... là encore si vous avez des anecdotes et des détails vous savez que j'aime ces détails et narrations dans les  commentaires. (*) )

Ce que j'ai eu envie de vous dire aujourd'hui, c'est que la mienne , qui n'est pas du genre à ne pas s'amuser un peu avec son "patient" m'a bien eu la semaine dernière...

Elle avait introduit un rituel dès le premier jour : Une fois que je m'étais déshabillé devant elle , puis agenouillé, j'avais droit de formuler une requête, de suggérer ou proposer quelque chose... avant d' en arriver à la raison principale de ma présence...  à elle ensuite de décider le sort qu'elle allait réserver à cette proposition ou requête.

Moi, depuis le premier jour, ma demande était insistante : qu'elle veuille bien me soulager de ce collier d'esclave porté en permanence depuis plus de trois ans... 

Un collier  qui en dépit de la gêne occasionnée avait eu longtemps une valeur symbolique et affective forte : il me venait d'Hannah et de son amant Rafael. Je pense d'ailleurs en avoir parlé de temps en temps au début de ce blog au printemps 2010. 

Depuis longtemps il me blessait le cou et avait évidemment beaucoup perdu de sa charge affective et symbolique. L'ôter devenait presqu'une obsession, et je me souviens que lorsque Ludmilla - ma KeyHolder - m'avait refusé une fois - puis deux, puis trois !  - cette faveur  en décembre, j'avais fini par me traiter de tous les noms... me demandant pourquoi grand Dieu je ne l'avais pas fait moi même, dans mes quelques jours de totale liberté... 

Et bien, la semaine dernière... elle a accepté tout de suite ! ... Pour me mettre à la place une simple et courte  chaine en argent à maillons plats ... 

Ouf ! direz vous !... Oouaiis !

Sauf que derrière, je veux dire juste après,  elle m'a demandé de lui apporter un petit coffret posé sur un guéridon. Du coffret j'ai sorti à sa demande un minuscule et fin cadenas, tout  plat , blanc, de matière plastique ... j'allais dire comme celui de la photo... mais non ! C'EST LE CADENAS DE LA PHOTO ! ... avec son numéro 417 936 !

Ludmilla, le premier jour ou je suis allé la voir, m'avait fait vider mes poches, et j'avais dû étaler devant elle tout ce qu'elles contenaient... lui donner des explications lorsqu'elle en demandait... un moyen de fouiller un peu dans ma vie.

 Pour les porte-feuilles, porte-cartes elle avait fouillé concrètement, joué avec les contenus, tout en me donnant des ordres et du coup je n'avais plus fait vraiment  attention... à ce qu'elle faisait, au point de ne pas me rendre compte que mon petit cadenas fétiche n' était plus dans mes  affaires lorsque j'étais reparti...

Et même, quand à sa demande, la semaine dernière  je l'ai sorti du coffret, je n'ai pas de suite pensé au mien ! D'abord il était "fermé"  c'est à dire que la boucle supérieure n'avait pas été coupée ... et à première vue, ça excluait bien sûr qu'il ait été utilisé ...

Je ne vais pas vous faire languir plus longtemps : lors du déballage de mes objets personnels, déjà  évoqué ... Ludmilla  avait finalement gardé mon petit "fétiche" de plastique numéroté ...

Fétiche oui ! talisman ! que j'ai toujours gardé précieusement avec deux photos l'une d'Hannah, l'autre de  ma première Femme ... Pourquoi ? Parce que c'est le premier cadenas non métallique que j'ai reçu, qu'on a posé  sur ma CB 2000, pour la fermer, lors d'un voyage en avion ! Vous voyez d'ici la "charge" symbolique de l'objet ?

Et bien Ludmilla a fait refaire la boucle, entre la confiscation de l'objet et sa réapparition,  ET M'A ORDONNé DE METTRE L'OBJET, DE L'ENFILER  SUR LA CHAINE ... et de le garder en pendentif ... Depuis je porte ce mini-cadenas tellement symbolique autour du cou... et comme la chaîne est courte, faisant juste le tour de mon cou... je vous assure que ce n'est pas forcément facile à porter dans une vie quotidienne ou le vanilla est de retour ! ( je vous parlerai le cas échéant des réactions que cela provoque parfois ... à moins que je ne décide de fermer mes cols de chemises, ce qui n'est pas habituel pour moi...  ou de porter des cols roulés ).

(*) Quand je disais que j'étais friand de commentaires et dialogues avec vous : je rappelle qu'aujourd'hui ... peut être même en ce moment , l'ami soumis que vous connaissez, qui écrit régulièrement ici, se fait tatouer son matricule international, qui en fait un esclave dûment répertorié... J'espère qu'il nous racontera ! ayons une pensée - et même plusieurs - pour lui ! 

  C'est peut être par solidarité que, puisqu'il est question de numéro dans les deux cas - le sien ayant trois chiffres de plus - je vous raconte ça aujourd'hui.