asserviparmonex

Ma nuit de samedi à dimanche, dans le peu que j'ai appris, indiscret, en écoutant à la porte de la chambre de Ma Maîtresse,  m'a donné envie d'en savoir bien  davantage sur la " carrière " de cocu de Régis et les pratiques candaulistes de son couple... de Murielle, ma Maîtresse , son épouse...

Par chance, lundi , je me suis trouvé seul avec lui chez notre Maître à tous :  Joseph...

 il y avait un énorme ménage à faire , et la préparation d'une réception pour la fin de la semaine..., nous avions du temps devant nous  je l'ai très vite branché sur le sujet . Régis n'est pas du genre à cacher quoi que ce soit !

On l'a vu, il aime bien être un cocu  humilié , et  là  il y avait " matière à se délecter " !

Il a  confirmé que le premier amant de sa Femme auquel il a été confronté , s'appelle Gregory... Greg pour les intimes ! ... et intime Murielle l'est devenue ! assurément ! 

Aucune difficulté pour me  raconter ce que j'avais déjà entendu, à la porte de la chambre de sa Femme, et de la propre voix de Madame , avant d'être surpris par la Soumise. 

Selon Régis, son épouse avait eu quelques amants éphémères pendant les premiers mois de leur union... il a insisté :

 Lui, Régis  n'est pas dans le  schéma  classique des adeptes du cuckolding   il est " plutôt  bien membré "  ( ça je l'ai dit déjà ! je n' insiste pas )... viril, très amoureux, toujours prêt à satisfaire sa " chère Murielle "    et ne la décevant pas , en dépit d' " un énorme appétit sexuel "....

Si je redis tout cela c'est pour que l'on sache bien, encore une fois, qu'on est dans une forme de candaulisme... " pur "... " gratuit " de "vrai plaisir"... et pas de  "  compensation ", pas destiné à palier l' " insuffisance mâle "

 Toutes ces expressions entre guillemets... je les ai reçues de Régis le cocu , qui tient à prouver que son besoin d'être cocu et humilié  trouve un  " merveilleux écho chez Madame " ...sans aucun motif... sans la moindre  " excuse " physique.  

Oui il a...  dès que Murielle a senti - et exprimé - qu'elle avait un réel 

 " attachement " pour le nommé Grégory... il a su que sa condition de cocu serait irrémédiable désormais ... il a compris que plus jamais il ne serait tranquille et que le risque existait que Murielle le quitte ! 

Il a compris aussi que Grégory jouerait un rôle actif dans la progression de son asservissement... 

J'ai alors insisté pour qu'il me raconte... la première fois où il s'est trouvé dans " sa " chambre conjugale... mais avec un amant de Madame, dans " son " lit... à " sa " place ! 

Et j'ai eu le récit de sa mise à genoux, face au lit, obéissant et zélé ...

... là encore, si Murielle n'avait plus la scène en mémoire, l'autre personnage masculin... son mari !... ni plus ni moins ! la raconta avec la même précision , semble-t-il que celle déployée devant Marie-France par Gregory .           

 Et dire que Murielle était en train d'expliquer à France :

- qu'elle avait déjà baisé avec le mec qui leur avait fait l'amour, à toutes les deux, un peu plus tôt dans la nuit !! 

- que cette " première " avait eu lieu devant Régis  son mari, agenouillé devant le lit conjugal ! menotté, dans l'impossibilité de se branler !!

... j'avais quitté, la mort dans l'âme, l'embrasure de la porte au moment où , répondant à une question de Marie-France, elle lui disait quelque chose du genre :

 " Oui ! bien sûr ! mon cocu bandait de voir Greg me faire des chose qu'il n'a jamais été autorisé à me faire !... la sodo ... la bête à deux dos ! ce vicieux bande toujours quand je lui permets d'assister à mes ébats... mes baises, mes parties de jambes en l'air quoi !... ahaha !  " ...

... j'enrageais  que la lumière trop vive du couloir se soit allumée à ce moment ! ... j'aurais tant voulu rester ! mais après ça ! impossible !... d'autant que des pas se rapprochaient maintenant de l'endroit où j'étais.

Des pas venant de ma gauche, c'est à dire de la direction des chambres  toujours emplies de murmures et de manifestations de plaisir ... de  jouissance.. mais aussi de la droite ... et là je reconnaissais le bruit des mules à talons de Guénola la Soumise  !

 Elle venait du dortoir ... ce que je redoutais  le plus, car approchant ainsi, à pas nerveux, elle ne pouvait que me chercher !

Elle avait dû finir par se réveiller... ne m'avait pas vu  près d'elle ... avait entendu les  Femmes, dont ses Maîtresses, prendre du plaisir !

- "  Qu'est ce que tu fais là esclave ?  " 

j'avais entrepris de faire demi tour !...à la recherche d'un salvateur recoin,  mais trop tard ... et puis je marchais de nouveau vers la porte  entr'ouverte sous l'effet de ma curiosité ! j'arrivai juste devant, quand Murielle et France , alertées par le bruit des pas, puis la voix de la Soumise sortirent  de la chambre , pour voir !!...  me rejoignant en quelque sorte ...  elles étaient à deux pas, au sens propre  !!

Mais Guénola était déja sur moi et me gifla sans attendre de réponse à sa question...

 - " je... j' ! "  impossible de produire un argument ! ... un regard  honteux en direction de ma Maîtresse m'indiqua qu'elle n'appréciait pas forcément que la Soumise m'ait giflé ... léger espoir pour moi  !... mais qui ne dura pas :

 France se chargea de le réduire à néant... la gifle de la Soumise de sa mère la fit rire ouvertement , en se blotissant, très chatte, contre le buste généreux de Murielle et en étreignant ses hanches ...

Emue, déconcertée sans doute par la réaction  de sa jeune amie, Murielle , finalement , n'osa pas tancer Guénola qui pourtant , à ses yeux, clairement  avait outrepassé ses droits... 

Alors pour Guénola, plus de raison de tempérer ses ardeurs : elle m'attrapa  l'oreille, en la tordant durement, et, tourner encore mon regard vers ma Maîtresse, comme pour obtenir l'appui qu'elle avait bien failli, un instant m'accorder, ne servit plus à rien... France avait fait la différence !...  

Et pour moi, humiliation maximum !

- " Tu crois pas que tu aurais dû me réveiller quand nos Maîtresses sont rentrées ? C'était pas de ça que tu avais l'ordre ?  " ...

... elle continuait à maltraiter mon oreille et c'est presqu'à genoux  que j'ai suivi sa trace...

Le pire c'est que Murielle et France sont retournées dans leur chambre sans esquisser un geste de sympathie ou de compassion à mon égard... mais au contraire en riant ... de voir la jeune  Soumise avoir ce type de comportement avec moi !    

 Après m'avoir fait laper, dans le salon, le " sirop de corps d'homme " que contenait le vagin de France - voir précédent article - Murielle m'a ordonné d'achever de dénuder son amie...

...  et elles ont gagné , flanc contre flanc, se tenant par les hanches, la chambre de ma Maîtresse, qui elle demeura vêtue...

Cela accentua mon sentiment qu'elle aussi avait fait l'amour avec un homme ! Sinon pourquoi ne pas me demander de la déshabiller ? comme elle faisait avant d'aller au lit , quelles que soient les circonstances ...

J'ai voulu en avoir le coeur net ! J'ai monté au plus vite dans l'autre chambre, celle des trois autres Maîtresses : Marie-Paule, Emma et Agathe ... les boissons qu'elles m'avaient commandé ... 

Initialement je craignais qu'elles ne me retiennent pour quelque service intime ... elle étaient en effet de nouveau en plein tribadisme, quand elles m'ont ordonné d'entrer dans leur grande chambre  ! ... 

Mais ma crainte fit évidemment place sans délai au plaisir de voir d'aussi excitantes et belles Femmes se livrer sans retenue et nues au plaisir des sens...

Je fus un instant partagé entre la crainte que je viens d'exprimer ... et le désir de les servir... ou de rester là, près d'elles ! à les admirer dans l'amour , simplement !

- " Tire toi ! On te sifflera si on a besoin de toi ! " 

Par cette phrase  brutale et  vexatoire , Marie Paule régla sans le savoir mon dilemne ... J'eus simplement le temps de me glisser dans le couloir menant à la chambre de ma Maîtresse pour échapper aux regards  ...

Bee rentrait enfin  à son tour ... j'entendis sa voix... elle était avec une Femme, à la voix c'était incontestable, elle ramenait quelqu'un .... 

Une  chambre d'amis les avala toutes les deux... j'entendis leurs rires derrière la porte, le coude du couloir nous avait rendu invisible l'un à l'autre, mais cette chambre n'était pas si loin ... 

Elles se déshabillèrent rapidement ! ... elles avaient clairement faim l'une de l'autre...

Je pouvais m'abandonner à mon obsession du moment : approcher assez de Maîtresse Murielle et de Marie-France, pour arriver à savoir SI LA FAVORITE de Maître Joseph AVAIT, dehors, dans la nuit, FAIT L'AMOUR AVEC UN HOMME !!

 En  déployant des trésors de discrétion, j'ai réussi à tourner le loquet de leur porte sans le moindre bruit ... cette porte, par chance ne grinçait pas :

Elles étaient là !... toutes les deux en plein soixante neuf, nues  au beau milieu du lit !  c'était sublime !

J'étais comme hypnotisé ! ... Il ne me fallait pas pour autant perdre de vue mon objectif : savoir si Murielle avait baisé elle aussi ... je l'ai dit : cela tournait à l'obsession !

Je n 'étais pas assez près pour déceler sur elle des traces de sperme ... et d'ailleurs peut être étais je arrivé trop tard... peut être la langue de France avait elle fat disparaître " les  preuves " ! 

Oui ! vous voyez ! je parle bien  de preuves ! j'étais de plus en plus persuadé qu'elle avait fait l'amour ... Etrange sensation, étrange  sentiment que j'essaierai d'expliquer plus tard ...

Et puis D'UN COUP LA CERTITTUDE : SUR LA CHAISE , A GAUCHE DE L'EMBRASURE DE LA PORTE , LA PETITE CULOTTE DE MURIELLE !! 

Elle faisait partie de ce lot de slips Féminins que je lave tous les jours ... il n'y avait aucun doute !

Je me suis AGENOUILLé dans le couloir , au bord du cadre de la porte , POUR RENIFLER le bout de tissu couleur lilas, mais avant même L'ODEUR DU SPERME qui me submergea , l'HUMIDITé  DE LA PARURE  m'avait renseigné :

MA MAÎTRESSE AVAIT BIEN FAIT L'AMOUR AVEC UN HOMME !!! 

UN AUTRE QUE NOTRE MAÎTRE COMMUN !  

Il allait juste me falloir prendre en compte cette nouvelle donnée ! mais c'était énorme !  Murielle , qui ne prenait plus la pillule, avait fait l'amour avec un autre homme ... un homme qui n'était pas notre Maître  !!...

 et sans préservatif !!...  se souciait elle donc si peu de savoir que son Maître, Joseph, serait ou nom le père  de son enfant ?!! ... cela me parut totalement impossible !