asserviparmonex

Malgré l'air du large qui pénétrait par la baie  ouverte au tiers de son amplitude , l'odeur  du sexe d'Armelle  " au naturel "  ne me quittait plus ...

 Quand elle a délaissé le séjour pour gagner la chaise longue qui trônait au milieu du balcon... cela après m'avoir ordonné de lui " passer " le bas d'un " deux pièces" trainant par terre  - lui " passer " , c'est à dire lui enfiler ! ... elle s' est appuyée de la main sur mon épaule , levant tour à tour chacune de ses affolantes cuisses , et brassant l'air alentour , encore paré des senteurs de son ventre -.... et  elle a encore jeté des regards amusés sur mon bas ventre !!

Et pendant qu'elle livrait, pour quelques dizaines de minutes, avant le déjeuner, ses rondeurs potelées aux caresses d'un soleil vigoureux " de midi "  ( heure solaire) ... je fus assigné à la préparation du repas et sommé de dresser la table  ... 

Cela après présentation verbale, à haute voix , à partir du balcon dont elle ne bougea plus jusqu'au repas , des ustensiles et objets nécessaires ... et de leur emplacement dans la cuisine , dont j'ignorais évidement tout  ( Elle s'énerva d'ailleurs deux ou trois fois du fait que je ne trouvais pas assez vite ce qu'elle      " m'expliquait fort bien pourtant  " et cela s'accompagna même d'un   ...

- " Tu vas voir que si je me lève tu vas t'en prendre une ! ... mais tu trouveras mieux après ! "

Bref ! je ne fus pas mécontent de lui avoir évité de se lever !

Puis son téléphone sonna :

- " Apporte le moi ! ... il doit être dans le couloir ! ... dépêche toi donc ! " Un peu après ce fut :

- " Apporte moi  à boire  ! Une vodka - orange  ! "

J'obéissais , encore et encore ... J'avais des questions ( emplacement des choses , dans la cuisine .... dosage de la vodka ... ) mais aussi je me sentais incapable de trop l'interrompre ... de risquer de la contrarier ...

Des indices me permirent de penser qu'elle parlait à une fille... à sa fille ... et cela se confirma , car évidemment je n'avais rien d'autre à faire de mon esprit qu'à l'écouter , pendant mon service domestique ... et elle ne faisait rien pour me cacher son propos  - ni d'ailleurs aux voisins potentiels , comme lorsqu'elle avait crié son plaisir sous ma langue , tout à l'heure -

De la cuisine, équipée aussi d'une porte-fenêtre , en se tenant près de l'évier , il y avait moyen de la voir aussi ... pas seulement de mieux l'entendre ... et pour moi d'admirer son corps charnel... obsédant :

En arrivant, je l'ai dit dans mon premier article de la série , son peignoir m'avait donné  une impression   de " laisser aller " , de propreté douteuse ... confirmée par ses cheveux en désordre et un peu gras ... mais son corps était vraiment somptueux !!... tellement excitant .

Le terme qui me vient le plus facilement dans ce cas là ( et je sais bien qu'il manque assurément de classe ) c'est ... BANDANT ! Il est savoureux aussi , dans ma bouche pour qui sait combien la bandaison... me pose problème        - plus pour des raisons techniques que psychiques ! -

Je sais aussi que certain(e)s, qui me lisent attentivement , et pas d'hier, auront remarqué que mes critères de beauté féminine sont plus proches de ceux du XIX e siècle - pour faire court -  que du notre ...

Bref les courbes à la COURBET m'affolent ... quand celles qu'affiche le mannequin standard me fait douter de sa bonne santé , physique et mentale !... 

Bref ! les goûts ça se commande pas , n'est ce pas ? Toujours est il que la charnelle Arlette/Armelle, avec...

- son bassin " méditerranéen " de Femme accomplie , mûrissante...

- ses fesses rebondies, larges et bombées à souhait ( les miens ! ),

-ses " mamelles " opulentes ... qui lui valent son surnom : Armelle/ Mamelle  ...        Oui ! toujours est il  qu'à mon sens cette Femme n'est pas loin de ce qui se fait  de plus convaincant  dans le genre Femme Supérieure capable de me faire " perdre la boule  "... ou  de me " donner les boules " comme on voudra !... de me faire " perdre la   boussole ", peut être ... et encore, de  me " mener par le bout du nez "...( je veux bien prendre en compte toutes ces expressions imagées )...

Elle n'est en tous cas pas loin  de ce qui se fait de plus émouvant physiquement !!...  

  Alors si vous ajoutez à ça un chantage qui a encore  pris une autre ampleur    à la suite de cet après midi  là !... vous voyez que je suis " dans de beaux draps  " !... Mais je vais revenir vous conter la suite immédiate... sans trop philosopher, car je sens bien que je pourrais lasser !

 Déjà je devine certain(e)s en train de se demander ce qui m'arrive ... moi qui ne fait que rarement des descriptions physiques détaillées de celles et ceux qui évoluent dans mes histoires... dans ma vie ....

Oui ! j'ai eu quelques reproches " privés " à ce sujet déjà !

Allez ! ... on se calme !... à plus tard !

Armelle, au moment de ma dernière humiliation, dans l'arrière boutique ( vous vous en souvenez peut être ) avait exigé que je l'appelle, faute de     " balancer "... si je m'avisais de faire le " mariole "

... et il y avait ces photos de ma faute et de ma honte !!

Alors je lui ai obéi ...

 C'est par manque de temps que je ne livre pas maintenant  de détails sur cet épisode :

 quand ai-je appelé Armelle  ?...

Et ...que m'a-t-il fallu déjouer, contourner, différer  comme contraintes quotidiennes pour passer quelques heures chez cette Femme ? etc... etc...  ( car notre rencontre, chez elle, a quand même eu lieu la semaine dernière, déjà !... et je crains d'être débordé... de devoir passer sous silence certaines choses, qui finiraient par rendre incompréhensible les développement de mon histoire à ceux qui me font le plaisir de me suivre ... certains depuis longtemps maintenant, si je détaillais trop ! ) .

Arlette/Armelle - il est vrai qu'on ne l'appelle Arlette qu'à son travail, j'ai pu m'en rendre compte - vit dans un appartement assez quelconque, d'un immeuble banal,  mais dans un cadre magnifique ! ( Pour celles et ceux qui connaissent Marseille, je ne peux résister à en dire un peu plus  : il est situé sur la corniche Kennedy, sans vis à vis !! de sorte que  de la plupart des fenêtres de cet appartement, on voit la mer ! On NE voit QUE la mer... et sur un côté , le chateau d'If ! 

Et voilà que je me suis retrouvé prisonnier face au chateau d'IF ! ...

... aux mains d'une Femme imaginative et rouée dont je peux déjà dire        - sans préjuger de la suite - qu'elle n'a pas l'intention de me lacher comme ça ! ....

Oui ! ... sûr que cet après midi aura une suite ! ... aucune raison que ce chantage dans lequel je m'enlise s'arrête là ! ( Oui ! je m' " enlise", je me

" vautre " là dedans, il me faut bien le signaler comme ça quitte à choquer un peu, puisque - vous allez finir par me croire (( sourire ))   -  je n'ai pas le temps de  tout dire )

Bref je suis arrivé dans ce cadre... quelconque et merveilleux, peu après quatorze heures; mais elle m'attendait pour déjeuner ... Non  ! pas pour déjeuner avec elle !... pour lui préparer son repas et le lui servir ! ...

Comme pour  son appartement , au premier abord, quand elle m'a ouvert sa porte, j'ai trouvé la Dame plutôt quelconque :

Pas coiffée, le cheveux un peu gras... pas maquillée ! ... j'ai eu peine à reconnaitre la coquette et " curvy "  vendeuse rousse...

... Ses généreuses rondeurs  étaient bien toujours là !... mais sortant crument d'un peignoir  mal ceinturé, dont ses gros seins blancs et nus maltRaitaient le haut, tandis que ses cuisses charnues et constellées de taches de rousseur éprises elles aussi de liberté... dévoraient le bas , me rappelant la dernière scène de  l'arrière boutique !

Elle n'était pas parfumée non plus : quand après avoir refermé la porte palière elle m'ordonna de la saluer à genoux, ouvrant cette fois délibérement les deux pans de son peignoir avachi... je fus saisi à la gorge par l'odeur  aigrelette et âpre de son minou ... Senteurs rudes  en partie tapie sous sa rougeoyante toison drue !     

Quand Murielle est entré j'avais  encore le  plus gros de la verge  épaisse  de son amant dans la bouche  et ses odeurs  corporelles intimes, musquées à souhait!... terriblement épicées, me cernaient...

C'est que  j'avais dans la minute précédente léché sa raie et son anus ... Mon Maître apprécie beaucoup ma langue entre ses fesses , et il exige souvent de moi ce service lorsque Murielle et lui se rejoignent ... je l'avais presque oublié ! 

Il me faut avouer une fois de plus ... inlassablement !... que j'aime ça ! ...

 Là encore c'est étrange : généralement je n'ai du plaisir, de l'excitation comme " lèche cul " que lorsque je sers une Femme ... C'est un plaisir très vif pour moi, quand les senteurs qui règnent dans ces antres et recoins   merveilleux sont supportables... ( et au féminin,  elles le sont le plus  souvent ! ) ...

 A l'inverse - et heureusement les hommes n'ont pas très souvent cette exigeance -  il peut m'arriver de trouver  répugnant  d'oeuvrer de cette manière sur le  " verso " d'un homme  ( qui parle de cohérence ? de logique ? ... En quoi ces termes concernent ils la sexualité ? )

... Mes plus fidèles lecteurs se souviennent peut être , que j'ai renoncé à un magnifique mariage , il n'y a que quelques mois .... principalement parce que le beau-père de celle qui me faisait l'honneur de vouloir m'épouser  était un vieux dégueulasse qui m'imposait trop souvent de lui lécher la raie et le cul !

Des parties de son anatomie, qui, de plus, étaient bien souvent dans un état repoussant !!

Bien sûr, il s'agit là d'une situation assez extrême , mais qui me permet de confirmer aujourd'hui  que, non seulement l'usage de ma langue entre les deux fesses larges , charnues et musclées de Maître Joseph n'a rien d'un pensum... mais que  j'appelle de mes voeux presque chaque fois que je l'approche ... 

Bref quand Murielle , entrant dans la salle de bains, a sauté dans les bras de son amant, j'ai dû à contre coeur abandonner  le sceptre  qu'il me faisait sucer ... mais je restai imprégné de ses denses et lourdes  odeurs !! 

Il se releva et ils restèrent " collés serrés " l'un à l'autre debout un long moment ... lui nu ... elle vêtue d'un minuscule top à fines bretelles et d'un  très court short moulant... si court qu'à genoux  derrière elle ( je n'avais pas bougé après  la perte de mon énorme sucre d'orge , glissant hors de mes lèvres ) je ne voyais plus que ses deux émouvantes  fossettes  fessières...

Chacun  dévorait la bouche de l'autre , comme s'il voulait  récupérer ainsi  tout ou partie du temps perdu ... de tout ce temps qu'ils avaient passé séparés ...

  Chaque fois que je les ai vu se retrouver , ces deux là... j'ai repris confiance ... en mon étoile  : " comment pourraient ils se quitter ? " voilà ce que je me dis quand je les vois aussi fusionnels !...

Je vois mon Maître avec d'autres Femmes, à commencer par Janique , sa légitime ... et puis Jenna ... et puis ... Non ! Ces gestes, ces étreintes, ces regards ... ces mots ne transpirent pas la passion et le désir à ce point là... et ce qu'il faut bien appeler l'amour ! ...

 Il a avec Murielle ce mélange détonnant et étonnant de douceur tendre et de virilité machiste qui, je le vois bien la bouleverse ... du coup elle aussi est avec lui comme avec personne d'autre ! ... ce n'est peut être pas très bien dit  ... mais c'est quelque chose de presque palpable ... leurs corps  également traduisent cet étrange  état  ...

Et cela j'adore ... car dans ces moments là je suis un peu moins certain du pouvoir absolu qu'exercerait  Grégory sur les sens et l'esprit de ma Maîtresse !

 C'est dans cet abîme de reflexion que m'avait plongé l'observation " par  en dessous "  des fossettes  fessières  de  Murielle , à trente centimètres de son cul sublime :

- "  Baisse le short de ta Maîtresse esclave  ! "  la voix grave, caverneuse et chaude  de Joseph me tira de  mon rêve éveillé ...

- " Embrasse mon cul ! et va  attendre dans la chambre ... on aura besoin de ta langue à un moment ou à un autre ! "

... cette fois c'était la voix de Murielle... je venais de la  débarrasser de son micro-short  ...

Ils eurent en effet beaucoup et souvent recours à ma langue dans les heures suivantes.