Vous trouverez ici :
- I - Une partie de ma vie récente - sur les cinq dernières années - de mari asservi par sa Femme d'alors, soumis au déni d'orgasme, à la chasteté imposée dans le cadre d' UN COUPLE GYNARCHISTE REEL.
-II - Puis de nombreux témoignages, plus récents, actuels, sur le vif parfois... diversifiés... parfois très détaillés, parfois survolés, selon les articles... témoignages de ma vie d'aujourdhui ...
Esclave au service des Femmes Supérieures et Gynarchistes, c'est ce que je suis devenu, au sein du couple, dès ma jeunesse, très vite, alors que , tel monsieur Jourdain avec la prose, je ne savais pas ce que voulaient dire ..." Déni d'Orgasme ", " Power Exchange " soumission ou " Servitude 24/7 " " Gynarchie " " Rapports de D/s "...
Les articles relatifs à ma vie de conjoint asservi - I - sont plus anciens, donc " au fond " de ce blog que j'ai ouvert en Février 2010... vous pouvez y aller directement en " ciblant " les mois du printemps 2010...// ceux évoquant ma vie actuelle - II - sont à votre porté immédiate ...
Dans la courbe de l'escalier, avant de découvrir la haute porte palière derrière laquelle il espérait voir son "ex" lui ouvrir il se revit quelques dizaines de minutes plus tôt, le nez dans le verre de bourbon ayant accompagné son café. Le liquide ambré, après une demi-douzaine de remplissage du verre irradiait la perspective et le projet avait tourné à l'évidence... la nécessité.
Combien de fois dans le passé lui avait elle reproché de ne pas susciter voire mendier des rendez vous lors des phases ou sessions SM de leur vie ?
Il contrait se défendait mollement : " était ce bien le problème " ?
Ne lui était il arrivé déjà de formuler le reproche inverse : celui de devoir "jouer" uniquement uand il en avait envie, lorsqu'il fantasmait trop fort... ou depuis trop de temps.
Même si cette remarque pouvait être fondée, il se savait vaguement de mauvaise foi !!
En fait être demandeur, sur la fin, ne pouvait plus le combler !... ils en étaient trop loin déjà !
Quémander, s'humilier ! O.K... mais il avait eu besoin aussi de succomber à sa volonté de femme impérieuse, exigeante et rapidement patente, à son besoin de le subjuguer... Maintenant que le "désir" était féroce il ne fallait pas vouloir l'apprivoiser ou le calmer d'expédients, comme jadis .
Il fallait foncer... sauter ! comme au but de son premier parachute.
Le risque d'être importun, indésirable faisait partie du "jeu".
Si elle n'était pas seule, s'il la sentait distante, voire simplement non réceptive et froide... il mentirait sur les causes de sa présence... il s'en sortirait par une pirouette.
Mais rien ne pouvait être pire que de ne rien tenter.
Maintenant tout valait mieux que de nouveaux regrets .
Il se jetterait à ses pieds ! lui dirait le poison qui coulait dans ses veines ! l'enfer du dilemne incessant !... du désir et de la résistance au désir.
Il lui dirait que l'emprise qu'elle exerçait sur lui n'avait pas décliné au gré de la séparation et que chercher à s'y soustraire l'épuisait sans vrai résultat.
Il établirait l'implacable constat, pour elle ! lui savait déjà tout : les distances, le temps, les aventures et même les conflits vaseux n'y pouvaient plus rien changer ! le cercle se refermait.
Las de ce vain combat il ne voulait plus lutter pour la vaine liberté qu'il avait trop longtemps cru indispensable, au même titre que l'air respiré.
Ce n'était pas son destin ! la preuve c'est qu'il ne savait qu'en faire depuis qu'il en pouvait jouir à loisir... et même depuis qu'il croyait la tromper avec ses chers fantasmes, bien plus qu'avec des femmes de chair.
A deux marches du palier, d'un coup il songea de nouveau à l' "envoutement" !!
S'il y avait eu "sorcellerie" et manipulation de sa partpour le punir ou le réduire à la suite de leur séparation... si l'hypothèse de quelques uns - à commencer par elle peut être - était fondée, elle ne pourrait évidemment pas le jeter, là, dans qelques instants lorsqu'il allait sonner...
Le coeur de Pierre battait à tout rompre lorsqu'il atteignit le palier etce n'était pas la conséquence de la raideur de l'escalier.
Il n'était pas seulement dans sa poitrine ! Il cognait dans ses cuisses, dans ses doigts et plus que tout dans ses reins !... son bas ventre ! sa tête !!
Ce n'était pas non plus la conséquence d'une montée trop rapide : il hésitait à mesure que le but approchait et ralentissait inconsciemment .
C'était un cocktail délirant, contradictoire d'appréhension, de désir, d'alcool aussi... trop vite ingurgité dans l'attente de l'heure fixée.
Il avait l'impression d'être aussi imbibé qu'une éponge sous l'orage.
Et puis cette attraction-répulsion pour "l'inconnu" qu'il lui faudrait affronter à l'étage suivant s'il allait au bout de son défi à lui-même.
Mais il se sentait flancher . Moins d'une heure plus tôt il aurait ri et haussé les épaules si quelqu'un avait évoqué ce qu'il tentait maintenant.
Avec Diane, au cours de leurs années de vie commune ( tu parle d'un mot : "commune" !! comme si la vie avec son ex pouvait avoir jamais été commune... ordinaire... banale...)
... et même depuis leur séparation !... à chaque fois qu'ils avaient tenté d'inscrire certains fantasmes, certaines pulsions dont ils se savaient habités dans le réel, la démarche initiale avait été préalablement pensée, codifiée, intellectualisée même !... du moins de son côté, à lui ! Pierre !
Etait ce une des causes du désenchantement survenu ? Pierre n'était pas loin de le penser... même s'il savait qu'il y en avait d'autres des causes d'échec !
C'est tellement difficile de tenter de vivre ainsi ! dans la gynarchie triomphante ! même le mot quand ils essayaient d'en parler avec des proches : qui savait ce qu'on nomme ainsi ?
Mais tout à l'heure , voilà que l'idée avait germée ! évidente ! follement absurde !... mais irrésistible !
Il était à Paris dans le septième arrondissement, pour des raisons professionnelles qui l'avaient accaparé moins longtemps que prévu et à la veille d'un dimanche. Il n'avait pas très envie de rentrer . Il était trop tôt pour les boites... la nuit parisienne qu'il avait si bien et si longtemps connu dans sa jeunesse lutécienne agitée ! Il songea tour à tour à quelques amitiés délaissées... à des gens qui se plaignaient de peu le voir depuisqu'il s'était "retiré" à la campagne, après l'officialisation de leur rupture .
Une petite visite à l'improviste; ou après un coup de fil ? L'enthousiasme n'y était décidemment pas !
Et puis l'image de Diane s'était imposée !
Image non banalisée !
chemin non balisé !...
Il était tout près de chez elle à sa sortie du restaurant ! tout près oui ! Il s'était même demandé ce qui diable avait bien pu le pousser jusqu'ici à sa sortie d'un bureau de l'avenue Montaigne ! puis avait souri !... souvenirs ! souvenii... irs !!
Comme annoncé sur "erog" je reviens avec toujours l'histoire de mon asservissement gynarchique... cette fois il s'agira de toutes mes "premières... vécues avec la "première " vraie gynarchiste de ma vie d'adulte DIANE !
C'est Noria qui m'a installé à genoux sur une étroite estrade...
C'est Carmen qui m'a ordonné d'ouvrir ma bouche en grand... et m'a giflé pour ne pas avoir obtempéré assez vite et assez fort à son gré...
- "Laisse ma chatte !" a crié Vanina du bout de la pièce poursuivant, finissant sa phrase, en venant vers l'estrade d'un pas à la fois chaloupé et énergique, ses longues jambes musclées perchées sur ses botte à talons: "il va bien être obligé de l'ouvrir sa gueule avec ça !"
Et après nous avoir rejoint, elle a installé dans ma bouche, entre mes lèvres, un appareil, une fine structure métallique destinée à maintenir mes lèvres écartées de force... quelque chose d'assez semblable à ce qu'un gynécologue insère entre d'autres lèvres, celles vaginales de la Femme, lors d' un examen...
Les autres Filles et jeunes Femmes ont ri ... outre les trois déjà nommées , elles étaient trois de plus ...
Si je les ai considérées comme de simples spectatrices, lorsque mes trois "bourelles" m'ont poussé dans ce lugubre sous sol d'un immeuble de cité, j'ai alors compris qu'elles seraient aussi agissantes que les instigatrices de mes épreuves...
"Neige" ( c'est comme ça que j'ai initialement compris la façon dont ses complices l'appelaient ... en fait il s'agit du diminutif de Nejma )...
Nej donc, la plus vieille du groupe sans doute, belle plante aux rondeurs opulentes, plus proche de la trentaine que de la décennie précédente, la seule en robe aussi, mais avec le même genre d'épais blouson de cuir que les autres, a fait reculer ses six copines jusqu'à un trait de craie, fermement tracé sur le béton de l'immense cave ... Oui ! toutes ! y compris Noria, Carmen et Vanina ...
... et le jeu a pu commencer !
Jeu simple à défaut de très distingué ! Jeu qui en tous cas les amusa beaucoup et durablement !
Il s'agissait, le plus souvent en se raclant préalablement bien la gorge, de cracher en ma direction dans le but d'atteindre mon corps nu ...( Oui ! j'étais nu ! ... alors que la température de l'endroit, heureusement à l'abri du vent mauvais qui soufflait sans désemparer à l'extérieur, ne dépassait sans doute pas les 12 degrés ! )
Mon corps avait prélablement été cravaché "histoire de bien (me) réchauffer avant une longue compétition de crachats ".
Idée exprimée avant l'épreuve de "spiting" par la seule -vraie- blonde du clan, Cathy , vingt à vingt cinq ans, vêtue elle d'une jupe à mi cuisses et d'un vieux blouson bien chaud d'aviateur .
J'ai donc pendant un bon moment : trente minutes? Trois quart d'heure? ... difficile à dire, tant la pénibilité de la situation et de mon "ressenti" ne me permettait guère d'évaluer correctement le temps...
J'ai donc "essuyé" -curieuse expression alors que justement j'étais dans l'impossibilité... d'essuyer !... avec les doigts que je devais maintenir croisés au dessus de ma tête sous peine de me "faire dérouiller" expression de la douce Cathy toujours, pourtant dotée d'un charmant minois juvénile et d'un rire cristallin à faire défaillir de désir- j'ai donc essuyé sans doute des centaines de crachats .
Au début - qu'avais je d'autre à faire pour combattre mon humiliation et le froid qui malgré les coups de paddle, cravache, badine, martinet et même les claques à mains nues reçus sur tout le corps, me gagnait ? - au début j'ai tenté de compter .. à raison de quatre à cinq glaviots à la minute , j'en ai compté quarante deux ... donc pas loin de neuf ou dix minutes vraisemblablement ... mais j'ai perdu le fil et j'en ai reçu sans doute quatre à cinq fois plus fois plus après ... c'est ce qui me fait pencher pour la demi-heure ou les trois quarts d'heure au moins...
Encore une lettre retrouvée ( la conservation informatisée, c'est vraiment fabuleux : Combien de caisses m'aurait il fallu pour transporter et conserver tout ça d'un domicile à l'autre ? ...) et au vu des conditions de mes départs successifs, ces derniers temps, sûr que sans mon petit écran magique ces lignes aujourd'hui sur mon blog seraient impossibles :
Ma chérie,
Cette fois j'ai suivi tes deux derniers conseils... c'est ça oui ! deux d'un coup ! tu ne pourras plus me reprocher de ne tenir aucun compte de tes avis !
Alors... voyons ça !
Un : Je suis, "enfin" diras tu sans doute, allée "visiter" ton grand ami Yannis, qui n'a pas tardé à me culbuter dans son lit ! Compte tenu de ta description du bonhomme, je m'attendais un peu à subir ses assauts ailleurs que dans un lit ! mais bon ! faute d'originalité, j'ai eu la qualité annoncée... Là je trouve que tu es même en dessous de la vérité ma poule ! Yannis c'est la qualité ET la quantité... Putain ce braquemard !! au repos il doit pas être loin des vingt centimètres... si je n'ai pas plus de précision dans mon évaluation basse, c'est qu'à vrai dire je ne l'ai guère vu " au repos. Là tu ne m'avais pas menti non plus ! Bref je dois lui faire autant d'effet que toi ! Hihihi !
Le bonheur !!
Deux : Mon mari a dû demander à notre ami et amant la permission de faire des photos de moi... et nous avons commencé à suivre ton amusant conseils dans un parc.
Evidemment très vite ( après avoir mimé l'hésitation, Yannis a "finalement accepté" tu t'en doute ! ) je me suis collé tout contre mon bel homme, l'embrassant à pleine bouche... Lui, sans se préoccuper outre mesure du manque d'intimité , me pelotait les fesses... en soulevant ma robe !
Du coup, ton beau-frère s'est trouvé un peu gêné au début... mais il a continué, mais il a quand même continué à mitrailler.
Il ne pouvait certes pas dire qu'il me voulait... seule ! Et puis Yannis lui a dit, mimant une irrésistible complicité avec mon cocu, qui me fit rire sous cape plusieurs fois - j'aurais aimé que tu vois ça ! toi qui en as eu l'idée ma chatte - " Si tu veux quelques jolies photos de nu dans ton album, je veux bien, mais on va pas faire ça au parc tu t'en doutes. Il suffit que tu ailles réserver une chambre sympa, avec vue sur la mer pour le petit déj de demain, et on t'y rejoindra dans la soirée . "
J'ai omis de te dire qu'on était à Sanary !
Ben il l'a fait immédiatement mon locdu ! sauf que... dommage pour lui, "dans la soirée" c'était une info bien vague, très approximative !
Quand je t'aurai dit que Yannis et moi on est allé au ciné, puis dîner... très bien !... puis danser, très bien aussi et très longtemps, pendant des heures , au cours desquelles mon étalon ( c'est ça ! maintenant c'est le mien ! tu discutes pas !) m'a fait mouiller comme une folle ... et bien quand nous sommes arrivés à l'hôtel, cocu s'était endormi dans un fauteuil !
Yannis l'a réveillé un peu brutalement en lui tirant les oreilles :
- "Les photos c'est maintenant loser ! On va pas te garder là toute la nuit tu sais "
Moi, j'ai recommencé à me déloquer seule, avec des gestes d'effeuilleuse avertie ! ... tu aurais vu la tête de ton beauf, ses yeux exorbités !! ... Il a bien insisté pour me "faire quelques photos de plus", mais Yannis n'a rien voulu savoir et lui a filé une claque pour "son insistance déplacée"...
La suite, je ne te raconte pas ma chatte... tu connais "mon" Yannis et tu dois avoir une petite idée...
Ton beau-frère a dû réveiller le gardien de nuit pour avoir une chambre... à côté de la nôtre - en fait une gardienne qui le lendemain lorsqu'on a quitté l'hôtel, tous les trois réunis, n'a pas cessé de toiser mon mari, sans se départir une seconde de son sourire méprisant et d'une ironie de bon aloi, si ce n'est pour jeter un ou deux regards salaces .
Bref Yannis et moi te sommes reconnaissants ma chatte, de tes suggestions avisées... moi je te reconnais bien là, Yannis lui, a été un peu plus surpris - agréablement- de ta "perversité "
Suit une série de baisers au rouge à lèvres, que mon Adorée à l'habitude de laisser sur le papier qu'elle embrasse en guise de conclusion .
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